La Vérité Biologique

fondamentaux, sur la société, sur le savoir, cela afin de mieux orienter l’action indiv. et collective. La base de la philo est l’argumentation logique. Basé sur : * Concept : représentation générale et abstraite d'une réalité. * Ex : vérité, justice, liberté * Jugement : pensée qui décide de la valeur d'une proposition, cherche à dire le vrai ; (sens, valeur). * Raisonnement : Valide, on vx arriver à une conclusion dite fondé, en philo il faut être formel. Le discourt religieux

que j’existe mais a titre de sujet pensant, « je pense, je suis ». Quatre conséquences : - logique méthodique : le cogito nous donne la première expérience de vérité absolue, donc il sert de point de départ à la reconstruction de nos connaissances, Hegel dit « avec la conscience de soi nous sommes entrés dans la terre natale de la vérité » - le dualisme : La chose qui pense distinctement du corps mais étroitement unis. Le dualisme cartésien affirme l’existence de deux substances : la matière et

ordonner, classifier les éléments (description / observation méthodologique). c. La synthèse : diviser les ensembles par degrés. d. Le dénombrement : revue générale pour être sûr de ne rien oublier. BUT : éviter les erreurs et accéder à la vérité, rompre avec l’emprise de Dieu : ce sont les prémices de la démarche scientifique. Selon la morale cartésienne, l’Homme est un être moral : c’est parce qu’il est être de raison que c’est un être moral (qui engendre la loi, les règles de vie pour

aimable. Pour Schopenhauer, par exemple, l'amour est un ruse inconsciente de la reproduction du vouloir vivre de l'espèce. Cf. Cioran: "Tous les sentiments puisent leur absolu dans la misère des glandes." Le sentiment n'est que l'effet vécu de causes biologiques inconscientes. D'où cette conséquence: le sentiment n'est pas libre et ne peut pas fournir ses justifications. Pascal: "Le cœur a son ordre; l'esprit a le sien qui est par principe et démonstration. Le cœur en a un autre. On ne prouve pas qu'on

est encore plus remarqué, l'individu agit dans un sens qui s'oppose à ses propres données biologiques, socio-culturelles, il fait de la résistance en agissant librement. Il est pleinement sujet. Chacun de nous, observe Bergson peut en attester car il ne s'agit pas d'une théorie ou d'un discours métaphysique. Le philosophe s'appuie sur le vécu, sur l'expérience desquels il est possible de dégager une vérité générale ou une loi, dit-il. Ces expériences, celles qui illustrent la conscience endormie

d’un processus de naturalisation qui nous fait vivre comme naturelles des logiques qui sont en vérité arbitraires. Il y a aussi bien chez Bourdieu cette volonté de déconstruction des significations de sens commun. Exemple : Dans question de sociologie, il y a un texte : La jeunesse n’est qu’un mot. Pour Bourdieu la jeunesse est une donnée biologique mais il s’empresse d’ajouter que cette donnée biologique est « socialement manipulée ». Pour Bourdieu, l’expression « la jeunesse » est critiquable car

s'apparente à la foi mais aussi à l'opinion, au préjugé, etc… La croyance est dite aveugle et ne fait aucunement appel à la raison. Ainsi on serait a priori tenté de dire que la croyance conduit à l'erreur, qu'elle n'est pas compatible avec la quête de vérité, et la sagesse voudrait qu'on ne se fie qu'à la raison bannissant le recours à la croyance. Mais peut-on vivre sans croyances ? Il faut d'abord définir ce qu'est une croyance car nous verrons que ce mot recouvre de multiples facettes puis nous pourrons

mettre à l’écart la différence jugée dangereuse, ils permettent de dévaloriser l’autre ce qui nous valorise. Le préjugé fonctionne de plus comme une prophétie auto réalisatrice car on ne voit que ce que l’on cherche. 5. « à chacun sa vérité » suppose que la vérité dépend de chacun, donc qu’elle est relative et subjective. Or elle se doit de par sa définition d’être objective et universelle. Si toutes les opinions se valent, tout peut être vrai mais alors rien n’est faux. Et si rien n’est faux, rien

vie, d’en prendre conscience sans passer à coté en étant obsédé par la fin de toute manière inéluctable. La connaissance est un rapport d’adéquation entre l’esprit humain et son environnement. La vérité est ce qui est, et la connaissance tente de saisir et de formaliser cette vérité. A l’instar des sciences, elle évolue par essais et réfutations successives, mais comporte une part d’absolu : une connaissance est vraie aujourd’hui tant qu’elle n’est pas formellement réfutée. Le scepticisme

fatalité biologique de la libido. DJ = objet impuissant d’une force supérieure. - détournement des valeurs de la justice & de la raison : il retourne les valeurs, le lien légitime de fidélité devient une source d’injustice. - constance & fidélité = force négative : conquête amoureuse = vie, mariage = mort Fidélité = antinaturelle - universalisation fallacieuse : instrument rhétorique = faire apparaître le libertinage comme allant de soi grâce à un discours de vérité générale.