La Vérité Existe T Elle

assertions construites à partir de P et de Q. L’opérateur logique « et » L’assertion « P et Q » est vraie si P est vraie et Q est vraie. L’assertion « P et Q » est fausse sinon. On résume ceci en une table de vérité : P \Q V F V V F F F F F I G U R E 1 – Table de vérité de « P et Q » Par exemple si P est l’assertion « Cette carte est un as » et Q l’assertion « Cette carte est cœur » alors l’assertion « P et Q » est vraie si la carte est l’as de cœur et est fausse pour toute

l’illustration par excellence de l’idée de progrès, c’est-à-dire d’un changement historique constamment orienté vers le mieux. Pourtant l’accumulation des connaissances scientifiques ne procède pas seulement, ni même principalement par addition. Il existe des révolutions scientifiques qui détruisent les théories jusqu’alors admises. Les théories scientifiques, ces ensembles de concepts rigoureusement liés entre eux par les mathématiques et globalement articulés au réel par l’expérimentation, sont périssables

différentes étapes, et n’est donc pas immédiat). Position du problème La question n’est pas seulement de savoir s’il existe des évidences trompeuses :  il y en a !… mais de savoir si l’on peut admettre l’évidence comme critère général du vrai. (point de vue objectif) et de se demander, plus largement, quelle doit être notre attitude par rapport à la notion de vérité : y a-t-il des vérités qu’on doit admettre sans aucun examen critique, justement pcq ce sont des évidences. Ou bien toute proposition,

croyances, d’habitudes, de faits. Or, un acte n’est légitime que parce qu’il est justifié par un raisonnement, parce qu’il applique une vérité : il ne peut être valable simplement parce qu’il existe. Lorsque des hommes se soumettent à des valeurs idéologiques comme le nazisme ou religieuses comme les extrémismes, ne doit-on pas s’interroger sur la valeur de vérité de leurs croyances ?La croyance est adhésion, opinion, soumission à des habitudes et préjugés que nous ne cherchons pas à fonder. Elle

| Dissertation de Philosophie | Faut-il refuser l’évidence pour rechercher la vérité ? | | Astrid Lise | | | Devoir de Philosophie Sujet : Faut-il refuser l’évidence pour rechercher la vérité ? Nous pouvons distinguer deux notions importantes en philosophie: l’évidence et la vérité. L’évidence est une chose évidente qui s’impose à l’esprit, comme une vérité, ou sans qu’il n’y ait besoin d’aucune preuve ou justification. Le contraire de l’évidence est le doute, le mystère,

réponse) Dans ce texte, Russell souligne les maints aspects que peut prendre la vérité dépendamment de la discipline qui l’affirme. Ainsi, contrairement à la vérité immuable de la religion, la vérité scientifique a un caractère provisoire. Cependant, et en décrivant tout au long de ce texte le souci et le succès de la science àépouser le changement dans ses théories, Russell dénonce un scientisme, ou la croyance en une vérité scientifique absolue chez les pionniers de la science. Ce qui nous incite à

philosophie tout doit passer au crible de la réflexion, il faut ne rien accepter, ne rien rejeter d’avance, il ne faut non plus se fier à aucune des certitudes qu’on n’a pas passés à l’examination du raisonnement. A vrai dire, après avoir passé tout ce qui existe au crible du doute, Descartes entreprend ici de faire retour sur l’acte de douter jusqu’à en ressaisir la condition, en affirmant que : « je pensai qu’il fallait […..], que je rejetasse comme absolument faut tout ce en quoi je pourrais imaginer le

façonner leur monde à partir de celles-ci. On peut définir la certitude comme étant l’état de l’esprit qui consiste en l’adhésion ferme à une vérité connue, sans crainte de se tromper. L’évidence est ce qui fonde la certitude. Autrement dit, on est certain de quelque chose, quand on porte un jugement qui exclut le doute et la crainte de l’erreur; telle vérité me paraît certaine parce que je vois bien qu’il ne peut pas en être autrement. On peut diviser la certitude à plusieurs niveaux: du point

En effet, la pensée religieuse repose sur une certitude psychologique - tout chrétien croit que Dieu existe - qui va servir au final de vérité absolue même si cette vérité n’a en aucun cas été prouvée et encore moins approuvée. Ainsi, les croyants prétendent qu’ils disposent de La Vérité mais ne sont en rien capable de prouver cette vérité qui est pourtant à la base de leur foi. A l’inverse, la pensée scientifique se distingue

problématisation ...     Peut-on soutenir : « A chacun sa vérité ? » Attention à la formulation précise du sujet. Ne confondez pas : soutenir à chacun sa vérité » (ou ses vérités : être d'une franchise un peu brutale) et : dire « à chacun sa vérité »... Les guillemets signalent clairement qu'il est ici question de la locution proverbiale, qu'on cite souvent pour clore un débat. Ce que vous savez q L'expression « à chacun sa vérité » est ordinairement utilisée dans un contexte précis, lorsqu'il