La Vérité Relative

sont-elles toutes fausses? Peut-on les classer en fonction de certains critères ? On peut donc supposer que certaines opinions ont plus d’importance que d’autres mais n’oublions pas qu’elles restent néanmoins des incertitudes. -L’opinion, qui n’est pas vérité, peut-elle paraitre plus vraie qu’une autre dans certains domaines ou bien toutes les opinions se valent-elles puisque toutes les incertitudes sont équivalentes ? Faut-il donc prendre en compte des critères précis et majeurs pour certaines opinions 

défier : porter le doute, mettre au défi de ses fondements de la vérité. * Non-contradiction : * L’apparence : formes que l’on voit en premier (lieu de séduction) * Une norme : Elle possède une même unité, elle est impartiale, conventionnel. Elle sert de référence, c'est un critère qui permet la distinction, entre 2 valeurs, deux opinions. C'est ce qui règle la conduite ce qui oriente le parcours. * La vérité : La vérité doit être désintéressée, ne valoir que pour elle-même, ne dépendre

un monde toujours en quête de réponses, elle sert à se former l’esprit, se créer une opinion et ainsi lutter contre les préjugés et de mettre en doute les fausses certitudes. En ce sens, elle construit un critère de vérité des choses et elle forme l’esprit à la recherche de la vérité et à la pratique du raisonnement. Enfin, la philosophie permet d’agir, elle est à l’origine de nombreux principes, de nouvelles valeurs. La philosophie permet de se questionner dans un monde toujours en quête de réponses

« qu’on trouve » Nature de cette déclaration : une déclaration d’amour par un Lexique soigneusement élaboré. B) Une déclaration convaincante. _Argumentation pour l’opposition avec la religion et le caractère humain _ Il Utilise des vérités par le présent de vérité générale « tous ces galants de cour … » C) L’art de la persuasion par la rhétorique. _Tartuffe utilise la galanterie masculine une opposition du cœur à la raison _ Le dénominatif « Madame » _hyperboles « ineffable douceur »

La conception socratique de la vérité est-elle plus défendable que celle des sophistes? Dans l’Antiquité grecque, il y avait deux courants de pensée, d’un côté, les sophistes, qui pensaient que la vérité était relative à chacun et de l’autre, Socrate qui s’opposait en proposant la recherche de l’universel. Donc, la conception socratique de la vérité est-elle plus défendable que celle des sophistes? Dans ce texte, j’expliquerai pourquoi la vérité selon Socrate est plus justifiable que celle des

et très générale. Par exemple; si nous disons que « la Terre est ronde », par opposition à l’idée ou à l’affirmation « la Terre est un disque plat », nous avons dans ce cas et aujourd’hui la certitude que la première affirmation est bien « La » « Vérité » (« absolue »). Mais nous ne prétendons pas rentrer dans les détails, nous ne nous préoccupons pas de la forme exacte, ni de savoir ou exprimer si celle-ci peut-être par exemple variable avec le temps. - les idées ou les affirmations tentant de

démontrer lors du débat que cette thèse n’est pas en accord avec la nature des choses, la vérité objective absolue. 2. Ad hominem (ou ex concessis) : Il faut dans ce cas démontrer que la thèse adverse contredit d’autres affirmations ou concessions que ce que nous avons avancé précédemment. Ce qui se nomme une vérité subjective relative. Il ne s’agit alors que d’une preuve relative qui n’a rien à voir avec la vérité objective. Schopenhauer ne dénombre pas moins de 38 stratagèmes, les voici résumés :

valeur relative à celui qui la prononce et qui y croit. Toute pratique aurait alors une valeur relative à la culture ou au système culturelle dont elle est originelle. Le relativisme revient donc a affirmer la diversité et la différence tout en refusant de procéder à la moindre hiérarchie de valeur. Ainsi tout est différent et tout se vaut, c’est-a-dire que tout est relatif à soie même. « à chacun sa vérité » signifiant qu’il n’y a pas de vérité du tout et il y aurait donc autant de vérité que de

au bac « La science cherche des vérités absolues » (faux : la science ne prétend pas atteindre des vérités absolues et ne vise que des vérités partielles et relatives). « Les hommes ont de tout temps recherché la vérité » (faux : avant la science et la philosophie (en gros 6 ième siècle av . JC), on pensait que la vérité, c’était ce qu’il ne fallait pas oublier, autrement dit les croyances ancestrales. En Grèce le mot vérité est « alétheia » qui veut dire : le non-oubli.

Nous admettons volontiers que les autres puissent soutenir des vérités différentes des nôtres, comme en témoigne l'expression courante : "à chacun sa vérité". Cette formule est souvent utilisée lorsqu'il s'agit de mettre fin à une discussion. Elle revient à avouer un désaccord, mais elle invite en même temps à considérer ce désaccord comme normal, étant donné la necessaire divergence des points de vue. D'une part nous sommes souvent prêts à nous accommoder de cette formule par souci de posséder pour