La Vérité Rend Heureux

sans fond) Epictète (stoïcien) : distinguer ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas exclusivement de nous pour se montrer indifférent à la 2e catégorie. Permet d’e heureux et libre. Epicure : désirs naturels et nécessaires, désirs naturels et non nécessaires, désirs vains : seule la 1ere catégorie peut nous rendre heureux car elle est accessible. Mais désirs peuvent e bénéfiques comme le désir de sagesse (la philo) ou juste le désir de désirer qui procure la sensation de vivre. Platon : plusieurs

bonheur : l'auteur est partagé entre évidence et banalité. → Il interesse tout le monde. Salon Pascal : tous les hommes recherchent d'être heureux, même celui qui va se pendre. Depuis l'invention de la philosophia, le bonheur est l'objet privilégié de philo. Socrate, Platon, Aristote, Epicure, Spinoza, Kant, Diderot, Alain... les hommes recherchent d'être heureux. C'est la chose du monde la mieux partagée. Mais en plus, ACS ressent sentiment d'audace : la notion appartient à la tradition philosophique

il est intéressant de se demander dans quels cas la lucidité nous rend-elle heureux ou non. Est-ce que le fait d’être pleinement conscient nous porte au pessimiste ou au contraire, nous permet de nous élever dans la vie ? Pour répondre à cela nous étudierons en premier lieu, la lucidité comme source de malheur puis dans un second temps comme source de bonheur. Dans un premiers temps nous considérerons que la lucidité nous rend malheureux. La naïveté se définit par la simplicité d’une personne

ou, ce qui est le même, en la possession de tous les biens dont l’acquisition dépend de notre libre arbitre, et la satisfaction d’esprit qui suit de cette acquisition.C’est pourquoi, voyant que c’est une plus grande perfection de connaître la vérité, encore même qu’elle soit à notre désavantage, quel’ ig norer, j’avoue qu’il vaut mieux être moins gai et avoir plus de connaissance.Aussi n’est-ce pas toujours lorsqu’on a le plus de gaieté, qu’on a l’esprit le plus satisfait ; au contraire, les

LE BONHEUR _______________________________ SOMMAIRE 1. Peut-on être heureux face à la mort, face au monde : face au temps ? A. Le temps force l’homme à se projeter vers l'avenir B. Mais le temps c’est aussi le passé : 2. Le bonheur comme objet du désir ? A. L'homme apparaît dans le passage du besoin au désir, désirer c’est exister, exister c’est désirer. a. Ne considérer que ce qui dépend de notre volonté pour atteindre l’absence de troubles. ·

dilemme s'impose à lui : mourir ou arriver a se fixer avec une femme et vivre sainement. Pensant être intouchable, sa recherche perpétuelle du désir va lui porter préjudice et va finalement le mener à sa perte. Mais est-ce que le désir de dom Juan le rend malade ou justement le comble ? Car maladie est associé avec souffrance, elle peut être aussi bien physique que psychologique. Cette quête d'idéal et d'ascension vers l'absolue peut nous faire réfléchir et nous demander si le fait de désirer en vaut

vie pensent que le bonheur est un état idéal et qu’il faut amplifier ses désirs pour être heureux. (hédonisme) En observant ces deux points de vue, on se rend bien compte qu’il faut distinguer certains types de désirs : on montrera donc dans un premier temps que certains désirs sont la source de nos malheurs mais il faudra tout de même se demander si ce n’est pas en acceptant de désirer qu’on peut être heureux.            Une des visions souvent étudiée du désir est donc celle qui décrit le désir

l'apprentissage des langues et d'exercices, et on leur fait entendre qu'ils ne sauraient être heureux sans que leur santé, leur honneur, leur fortune et celle de leurs amis soient en bon état, et qu'une seule chose qui manque les rendrait malheureux. Ainsi on leur donne des charges et des affaires qui les font tracasser dès la pointe du jour. - Voilà, direz-vous, une étrange manière de les rendre heureux ! Que pourrait-on faire de mieux pour les rendre malheureux ? - Comment ! Ce qu'on pourrait faire

Peut-on travailler à son bonheur, ou le bonheur est-il un état qui nous échoit ou non sans que nous puissions vraiment être sa cause ? Une illusion est une erreur que l'on tient pour une vérité. Nous entretenons avec elle le même rapport qu'avec une vérité, alors même qu'elle est le contraire d'une vérité. Concevoir une chose, c'est la construire par l’esprit : le sujet demande donc si l'on peut penser un bonheur qui serait exempt de tout écart par rapport à la réalité, un bonheur basé sur une

explication. Il voit la vérité et la vérité est celle-ci est éternelle comme les Dieux sont immortels. La vue de la vérité amène le sage à l’ataraxie, au bonheur conçu comme absence de désordre, de troubles, état positif d’équilibre. L’absence de trouble n’est atteinte que par la vue de la vérité, qui est quelque chose de positif pour Epicure, ainsi que pour Lucrèce son disciple qui écrit dans le De natura rerum, De la nature des choses : « La voix puissante de la vérité fait se dissiper les terreurs