Labé

organise une structure compacte composant une architecture textuelle uniforme : distique, tercet, quatrain…. élaborent une construction circonscrite et équilibrée. Quelle que soit la forme adoptée : forme fixes et régulières comme les sonnets de Louise Labé, affichant un port guindé; formes libres et ouvertes de Pierre Reverdy exhibant des disposition originales, hétéroclites et déconcertantes ; poèmes en prose qui contraignent la linéarité de la prose au sein d’un paragraphe compact et répétitif, le

pas pouvoir rentrer chez lui comme la fait Ulysse suite a son voyage jonché d'épreuve. B- Elle est le genre le plus adapté à la manifestation du Moi et de l'Autre. L'auteur par l’intermédiaire du « je » lyrique s'adresse a un tiers. Ainsi Louise Labé, dans les Sonnets cherche a confessé ses peines en parlant de l’antithèse qu'est sa vie. La douleur ainsi exprimée peut provenir d'un deuil, il s'agit alors de rappeler l'être aimé dans son souvenir, Ainsi Victor Hugo qui célèbre le souvenir de sa

et assurer son rayonnement • Réalise le programme de la Défense → rendre illustre langue fr Exemple de « translatio studii » (transfert du savoir) • Théorie de l’innutrition avec sonnet | Conclusion : Ouverture : → // avec poème de Ronsard ou Labé → // avec poème « Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome » |

poètes recherchent l'amour, certain l'ont perdu, d'autres encore en font l'éloge. Histoire et mouvement littéraire: La poésie a connu de nombreux changements depuis sa création. Le langage a évolué depuis la renaissance avec le poème de Louise Labé jusqu'à nos jours avec le slam de Grand corps malade. Chaque période de l'histoire détient son propre courant, dissociant ainsi les pensées, les problèmes de l'époque. La poésie de la renaissance, dans le souci de fonder une poésie nationale qui rivalise

idéal ; et par la suite, elle s’est ouverte à d’autres thèmes. D’Italie, le sonnet s’est répandu dans toute l’Europe. En France, c’est Marot (1496-1544) qui a écrit le premier sonnet et Du Bellay le premier recueil de sonnets (L’Olive, 1550). Louise Labé et Ronsard adaptent le sonnet italien, le « francisent ». En Angleterre, Shakespeare en propose une autre version. Bref, le sonnet fait fureur ; il finit cependant par être délaissé à la fin du XVIIe siècle et au XVIIIe siècle. Il est repris par

place la rencontre amoureuse comme un événement à la fois exceptionnel et impossible, la rencontre est ce qui va faire oublier le cadre (vers 1). = bouleversement intérieur du poète, face à cette rencontre. Lien avec la modernité de Ronsard, Louise Labé : sonnet du XVIème siècle = relation durable avec femme / relation fugitive, car rythme de la vie assourdissant => évolution.

recréer la réalité. 2. Une poésie qui fait appel non seulement à nos propres sensations, mais à une fraternité, une communion. Force du lyrisme, y compris dans des formes très codifiées qui laissent le partage de l’intime affleurer. Exemple : Louise Labé, « Je vis, je meurs… », ou dans un autre registre les poèmes d’Eluard extraits de Capitale de la douleur. 3. Une poésie de l’ouverture à une voix qui rejoint un combat universel, qui s’élève pour transcrire l’expérience de la douleur propre à tous

souvenir de amour, temps passé avec Marie Laurencin. Poème évoque souvenir des moments heureux avec elle. 5°) Conclusion : Le poème ressemble à une complainte, il n’est pas très sensuel, contrairement au Balcon de Baudelaire, ou au poème de Louise Labé. Tout comme Colloque sentimental, il fait appel à la fuite du temps. Apollinaire désespéré, pour exprimer sa douleur, oppose permanence (pont qui représente souvenir de Marie Laurencin ) et mouvement (eau, qui représente temps qui passe) Il est prisonnier

Liré en Anjou vers 1522 et mort à Paris en 1560, J. du Bellay faisait partie de LA PLEIADE. Ce poème est tiré du recueil L’OLIVE. C’est un sonnet qui exprime le thème de l’amour, de la souffrance et de la mort. Je vis, je meurs, Louise Labé. Je vis, je meurs : je me brûle et me noie,
 J’ai chaud extrême en endurant froidure ;
 La vie m’est et trop molle et trop dure,
 J’ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie,
 Et en plaisir maint grief tourment

catholique lors des guerres de religion. Joachim du Bellay (1522-1560): Ses oeuvres principales sont la Défense et Illustration de la langue française et les recueils poétiques l'Olive, les Antiquités de Rome et les Regrets. Il a été influencé par Louise Labé, sans jamais la citer. Étienne Jodelle (1532-1573): est l'auteur de la première tragédie française, Cléopâtre captive (1553) Jean-Antoine de Antoine Baïf (1532-1589): essaya d'appliquer la prosodie latine, à base de brèves et de longues, à la poésie