Laërte

dessus du commun des mortels. Homère va même jusqu’à l’appeler par « l’Égal des dieux » au chant VI et Athéna le compare à elle pour sa ruse : « nous sommes toi et moi des astucieux » (chant XIII). Ulysse lui-même se présente à Alcinoos comme « fils de Laërte, dont les ruses sont fameuse, et dont la gloire touche au ciel ». Ulysse a un rapport au Dieux privilégier puisqu’il a le respect et le soutien d’Athéna, ainsi que le celui de Zeus. Le seule la haine de Poséidon qui veut venger son fils le poursuit

douleur se suicide par noyade, et Laërte, son frère, jure de venger sa sœur et son père en tuant Hamlet. Hamlet ne tarde pas à faire savoir qu’il retourne au Danemark et Claudius saisit l’opportunité de se débarrasser de lui et fait en sorte que celui-ci affronte Laërte en duel. Il prend la double précaution d’enduire de poison la lame de ce dernier, et d’en verser également dans la coupe de vin de Hamlet. Durant le combat, Gertrude boit à cette coupe et décède. Laërte quant à lui parvient à blesser

Ils montèrent dans le lit conjugal et Ulysse lui raconta ses aventures. Le lendemain, il se rendit chez son père Laërte. Celui-ci reconnu son fils après tant d'années et pleura de joie. Mais dans la ville, les parents des prétendants apprirent leur mort et, après avoir tenu conseil, ils marchèrent vers Ulysse. Athéna obtiens de Zeus la permission d'intervenir. Ulysse, Télémaque, Laërte et ses partisans s'opposèrent aux gens d'Ithaque. Ulysse tua leur chef, Eupithès, père d'Antinoos. Mais alors que

montre capable d'une action énergique au moment opportun. On est en droit de supposer que certains éléments nouveaux tels que la mort du héros, le spectre du père, la scène de la représentation théâtrale à l'intérieur du drame et le duel final avec Laerte ont été introduits dans la tragédie pré-shakespearienne intitulée par les critiques Hamlet primitif. Il est de même probable que, dans cette tragédie, Hamlet était doté d'un caractère particulièrement décidé et agressif : dans son adaptation, Shakespeare

= « monstre gigantesque » ac « un cœur cruel » - Hybris d'U.  U. = Hô au sens négatif CAR défauts = curiosité qui conduit à la mort de compagnons + orgueil & fierté = « dis-lui que tu dois [ta cécité] à Ulysse, fléau des villes, fils de Laërte & noble citoyen d'Ithaque » = hybris = démesure CAR U. soucieux de sa gloire Chant X - 2ème partie du périple d'U. - Éole, Lestrygons & Circé Résumé. - Arrivée sur l'île d'Éole  très bon accueil du dieu gardien des vents & sa

t’interroge sur ton affreuse cécité,/ dis-lui que tu la dois à Ulysse, Fléau des villes,/ fils de Laërte et noble citoyen d’Ithaque » (9, 502-5), ce qui permet au Cyclope d’adresser avec précision son appel de vengeance : « Ecoute, Poséidon aux cheveux bleus, maître des terres ! / Si je suis vraiment ton fils, toi qui prétends m’avoir fait,/ empêche de rentrer chez lui cet Ulysse, Fléau des villes,/ fils de Laërte et noble citoyen d’Ithaque » (9, 528-31)9. Une touche d’ironie tragique : Ulysse voulait

du héros. Le thème de la vengeance est plus centré sur la fin que sur les moyens, faut-il se venger ? De plus, Shakespeare va démultiplier la figure du vengeur, il y a trois fils et trois pères à venger. Hamlet veut venger son père et tue Polonius. Laërte veut venger Polonius et tue Hamlet. Fortinbras veut venger son père, le roi de Norvège qui a été tué par Hamlet. 3e originalité de Shakespeare, à l’acte II, scène 2, la vengeance de Pyrrhus tuant Pryam est mise en abime. Malgré tout Shakespeare ne

semble se faire sans qu'il ne puisse en maitriser le cours. Sa principale caractéristique est sa ruse (« Je suis Ulysse, fils de Laërte, dont les ruses sont fameuses partout » IX, v.19 – on parle aussi de mêtis) mais celle-ci n'est d'autre utilité sur la mer. Ulysse est soumis au vents, aux tempêtes et au dieu de la mer et des océans : Poséidon. Cependant, le « fils de Laërte » va suivre une direction de son propre chef : la route qui mène aux Enfers, que la magicienne Circé lui a indiqué. Cette dernière

Tirésias avait obtenu d’Athéna la faculté surnaturelle de conserver son esprit après la mort. C’est en effet pourvu de ce don qu’il fait son apparition dans la Nekuia. Ulysse le fait venir du royaume des morts, un oracle du devin étant, pour le fils de Laërte, le seul moyen de savoir comment rentrer chez lui. Le héros, sur les conseils de Circé, accomplit les libations et sacrifices d’usage nécessaires pour entrer en contact avec les âmes des défunts : le sang des victimes sacrifiées, coulant dans la fosse

 le courtisan intéressé et qui s'était caché. Acte IV — le pouvoir veut emmener Hamlet en Angleterre pour le tuer. Réapparition de Laërte, fils de Polonius, sorte de dédoublement d'Hamlet, qui lui aussi veut venger la mort de son père. Acte V — On en a oublié Ophélie qui meurt sans qu'on s'en soit trop occupé, on ne sait que la pleurer. Réflexion sur la mort à l'occasion de l'enterrement d'Ophélie. Combat organisé par le roi entre Hamlet et Laërte. Mort des deux opposants qui entraînent dans leur fin celle du roi. Voilà, très grossièrement l'ossature de la pièce