Laforgue Pierrots

|au goût et à l'odorat,| |Se mêle aux parfums qu'elle a mis; |Cythère qui inspira de nombreux peintres et poètes comme Watteau, |par sa délicatesse. | | |Baudelaire, Laforgue, Gauthier, est une île grecque où se trouve le |Sorbet | |Comme ses Yeux l'avaient promis, |sanctuaire d'Aphrodite, la déesse de la beauté et de l'amour. Si cette|Glace aux fruits, | |Son courage est grand

et empirique. Il s’agit en fait de la question de l’enjambement interne. 16Je voudrais en montrer l’importance à partir de ce quatrain de Laforgue, extrait du poème « Un mot au soleil pour commencer » (L’Imitation de Notre-Dame la Lune), que j’analyse comme une suite de 6-6, avec un contre-rejet interne au quatrième vers : Sache que les Pierrots, // phalènes des dolmens Et des nymphéas blancs // des lacs où dort Gomorrhe, Et tous les bienheureux // qui pâturent l’Éden Toujours

*** 295 1997 Tout le monde connaît Pierrot, Colombine, Polichinelle et Arlequin… Mais qui peut dire l'origine du mot « pantalon » ? Et qui a déjà vu en scène Colombine aux prises avec son vieux tuteur Pantalon ? Tous ces personnages viennent de la comédie italienne : ils sont plus connus que le théâtre qui les anime. C'est normal : la commedia dell'arte ne propose pas de texte figé définitivement que l'on retrouve dans les anthologies, mais des scénarios pour improviser autour des figures

Francis Ponge, 1942 Texte C : Georges Fourest, « Sardines à l’huile », La Négresse blonde, 1909. Groupement 3: poète élection ou malédiction Texte A : Charles Leconte de Lisle, Poèmes barbares, 1862 - 1878. Texte B : Pierrots, L’Imitation de Notre-Dame de la Lune, Jules Laforgue 1826 Texte C : Paul Eluard, L'Honneur des poètes, Préface, 1943, Ed. de Minuit clandestines. Texte D: CLOWN, PEINTURE, Henri Michaux,1939 Texte 1: Ariette I, sections  I « Les Ariettes oublier » 1er poème,

critique c’est maintenant à la critique de dire la place que tient la lecture de Claude Bremond et de Thomas Pavel aux côtés de celles, biographique (P. Citron), psychanalytique (J. Reboul), philosophico-digressive (M. Serres), sociocritique (P. Laforgue), poétique (J. Molino, É. Bordas), déjà produites. Adoptant, sans esprit d’aventure, le parti pris d’une lisibilité fondée sur « les intentions artistiques de l’auteur » et rapportée à « la conception plus générale de La Comédie humaine » (p. 10)

reader in you; my book in token of that assurance. ARTHUR SYMONS. London, June 1899. CONTENTS INTRODUCTION ^^^i GMAKD DE nerval VILLIERS DE L'ISLE-ADAM . . 10 .37 59 75 101 ARTHUR RIMBAUD PAUL VERLAINE JULES LAFORGUE STEPHANE MALLARME 112 THE LATER HUYSMANS MAETERLINCK AS A MYSTIC CONCLUSION BIBLIOGRAPHY AND NOTES . . . 136 153 . 170 . .176 INTRODUCTION " It is in and through Symbols that man, consciously or unconsciously, lives

s'épanouit. . Il intègre d'abord la lune, dont nous n'avons pu parler bien qu'elle soit, elle aussi, le miroir des poètes, — la lune que Laforgue comparait à un « miroir mort » (39) ou à une « glace sans tain » (40), la lune qui était pour lui (38) Etudes claudéliennes, p. 177. (39) Les Complaintes : Climat, faune et flore de la lune. (40) Ibid. : Locutions des Pierrots, XI. 216 GUY MICHAUD Miroir et Bible Des Impassibles (41) et à laquelle il offrait sur le mode ironique « le miroir de [ses]

pornographiques, dont la mention recouperait les propositions avancées dans la piste « Chants d’en bas ». Ils peuvent aussi, notamment dans la poésie « fin de siècle », prendre la forme désabusée des Amours jaunes, ou des Complaintes ironiques de Laforgue : si l’amour n’est plus porteur que de sa mélancolie, c’est que nulle valeur ne semble pouvoir étayer un univers insensé et dérisoire : le « Bonsoir » de Tristan Corbière déclarant qu’il « n’a plus ce mirage qui leurre », non plus que cette « corde

suivies d’un index / éd. par René Journet et Guy Robert. – Les Belles Lettres, 1958. – 398 p. – (Annales littéraires de l'Université de Besançon ; 21). Éditions récentes Les Contemplations / présentation, notes, bibliographie et chronologie par Pierre Laforgue. – Flammarion, 2000. – 473 p. – (GF). Les Contemplations / présentation par Jean Gaudon. – LGF ; 1980. – XXVII-544 p. – (Livre de poche. Classiques de poche). La Légende des Siècles N037478, N037480, N037481, N037482 Première édition : 1859 La

d’un index / éd. par René Journet et Guy Robert. – Les Belles Lettres, 1958. – 398 p. – (Annales littéraires de l'Université de Besançon ; 21). Éditions récentes Les Contemplations / présentation, notes, bibliographie et chronologie par Pierre Laforgue. – Flammarion, 2000. – 473 p. – (GF). Les Contemplations / présentation par Jean Gaudon. – LGF ; 1980. – XXVII-544 p. – (Livre de poche. Classiques de poche). La Légende des Siècles N037478, N037480, N037481, N037482 Première édition : 1859