Laid

«  Il n'y de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien. Tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants comme sa pauvre et infirme nature. D'ailleurs, l'endroit le plus utile d'une maison, ce sont les latrines. » La Beauté, notion abstraite, recouvre diverses significations et ne cesse d’évoluer suivant les époques et les individus. La délimitation entre ce qui peut être considéré comme beau ou non, la perception même

et Xénophon donne comme description physique de Socrate qu’il était Robuste, laid, repoussant comparer aux sophistes généralement riche, qui occupe eux même des Hautes classes dans la société, seulement, Socrate était quand même un séducteur de jeunes gens, Au point que beaucoup de personne qui vont l’admirer vont suivre sont ‘mode de vie’.Ce physique donné a Socrate est important puisque l’on dit de Socrate qu’il est laid mais on dit aussi d’un autre coté qu’il a une ‘intériorité rayonnante’ puisqu’il

(Tristan Corbière) * Le lombric (Roubaud) * Comparaisons avec le poète (allégories du poètes différentes) Ms aussi : attribution de qualités christiques, nobles, braves avec choses ordinaires OU choses laides (médiocres) : faire du beau avec du laid (Baudelaire)=> Corbière (laid) qui parle de crapaud pour nouvelle allégorie poète. * Descriptions d’objets ordinaires : * Les Fenetres (Baudelaire) cf Spleen et Ideal= registre didactique : donner une leçon * La Chevelure (Baudelaire)

mélioratif « beau » « doux » renforcé par adverbe intensif « si »V1/4 rime suffisantes « âme » « infâme »Annonce la chute Antithèse « beau matin d’été si doux » « charogne infâme » Fusion du beau et du laid Antithèse dans les rimes « âme » « infâme » « doux » « cailloux » V4 Polysémie « un lit » : un lit de rivière

parler. Qu’et-ce que je dis ? Est-ce que je me comprends, est-ce que je me comprends ? (Il va vers le milieu de la chambre.) Et si, comme me l’avait di Daisy, si c’est eux qui ont raison ? (Il retourne vers la glace.) Un homme n’est pas laid, un homme n’est pas laid ! (Il se regarde en passant la main sur sa figure.) Quelle drôle de chose ! A quoi je ressemble alors ? A quoi ? (Il se précipite vers un placard, en sort des photos, qu’il regarde.) Des photos ! Qui sont-ils tous ces gens-là ? M. Papillon

métaphore «le navire glissant sur les gouffres amers» (v.4) → oiseau: personnification «vastes oiseaux des mers» (v.2), «indolents compagnons de voyage» (v.3), «ces rois de l'azur» (v.6), «ce voyageur ailé» + «gauche et veule» (v. 9), «comique et laid» (v.10), «l'infirme» (v. 12) → dernier quatrain → poète comparé à l'oiseau → symbole: oiseau = homme homme d'équipage = société navire = terre gouffre amers = mort => analogie: passage d'anecdotes à l'allégorie II- L'Idéal de

servir à rien, tout ce qui est utile est laid. ». II- Mais Relativité de la notion de « Beau » A- Evolution des critères de beauté Ex : Canons de beauté féminine « Les trois grâces » de Rubens VS critères contemporains B-Le Beau à partir du laid Ex : « Une charogne » de C. Baudelaire = évocation horrible et répugnante d’un objet immonde ; entreprise de l’ensemble des Fleurs du mal= transformation par le travail poétique du laid, du mal en Beau ( «_ j’ai pris ta boue

maîtresse que vous : vous n’avez qu’à me dire de m’en aller si je vous ennuie ; je sortirai tout de suite. Dites-moi : n’est-ce pas que vous me trouvez bien laid ? - Cela est vrai, dit la Belle, car je ne sais pas mentir ; mais je crois que vous êtes fort bon. - Vous avez raison, dit le monstre ; mais, outre que je suis laid, je n’ai point d’esprit : je sais bien que je ne suis qu’une bête. - On n’est pas bête, reprit la Belle, quand on croit n’avoir point d’esprit :

charogne ! Ainsi, le topos est partiellement détourné[1] : le beau même décomposé laisse place au laid, au répugnant, à l’horrible. Ainsi, Baudelaire substitue à la célébration de la beauté éphémère de la rose et de la femme, la célébration du laid, de l’horrible, de ce qui est mort. Ainsi, Baudelaire pose la question du beau dans l’art : l’art doit-il nécessairement célébrer la beauté ? Peut-on célébrer le laid avec une forme belle ? [ On pourra ainsi se demander comment Baudelaire détourne le topos littéraire

Il était une fois, une reine qui venait d'avoir un fils. Jamais on ne vit de bébé si laid ! Il avait sur la tête, une seule mèche de cheveux toute raide si bien qu'on le surnomma Riquet à la houppe. Un jour, une fée très renommée vint à passer : « Madame, si je ne peux pas rendre beau votre fils, je peux d'un seul coup de cette baguette magique le rendre le plus intelligent du monde! Il aura la possibilité de rendre aussi intelligente la femme qu'il aimera. » Quand Riquet commença à