Laideur La Fille Laide

re une veuve de quarante-cinq ans, riche, laide et tyrannique, Mme Dubuc. Elle aime Charles avec passion mais exerce son égard une surveillance despotique. Le jeune Charles connaît ainsi une vie de couple qui ressemble un cauchemar. Une nuit d'hiver, Charles se rend la ferme des Bertaux. Le p re Rouault, son propriétaire, "un cultivateur des plus aisés" vient de se casser la jambe. Charles soigne le maître des lieux et est sensible au charme d'Emma, sa fille. Les jours suivants, il revient aux Bertaux

internat et propose à sa tante d’y envoyer Jane. En entendant une conversation entre Mlle Abbot et Bessie, Jane apprend que son père était un pasteur pauvre qui a épousé sa mère contre la volonté de sa famille. et le grand-père de Jane Reed déshérité sa fille. Un an après leur mariage, le père de Jane attrape la thiphoïde et il meurt avec sa femme Chapitre 4 Jane espère qu'elle sera bientôt envoyée à l'école. Le 15 Janvier, Jane est enfin convoquée à la salle à manger lle trouve M. Brockelhurst qui

Barbeau nourrit ses bessons sans se plaindre et sans souffrir, et même elle était d’un si beau naturel que, deux ans après le sevrage de ses petits, elle mit au monde une jolie petite fille qui eut nom Nanette, et qu’elle nourrit aussi elle-même. Mais c’était un peu trop, et elle eût eu peine à en venir à bout, si sa fille aînée, qui était à son premier enfant, ne l’eût soulagée de temps en temps, en donnant le sein à sa petite sœur. De cette manière toute la famille grandit et grouilla bientôt au

il était désolé d'avoir si laide mine et d'être la risée de toute la cour des canards. Ainsi se passa le premier jour, et ce fut de pis en pis ensuite. Le pauvre caneton fut pourchassé par tout le monde, même ses frères et soeurs étaient méchants pour lui, et disaient : - Si seulement le chat t'emportait, hou, le vilain ! Et la mère disait : - Je voudrais que tu sois bien loin ! Et les canards le mordaient, les poules lui donnaient des coups de bec, et la fille qui donnait à manger aux bêtes

l’aspect de la terre. (...) Mon courage s’accrut avec l’aspect enchanteur de la nature...» (p. 191) «Ma joie principale était le spectacle des fleurs, des oiseaux, toutes les gaies couleurs de l’été...» (p. 212) • à l’art : à la musique : «La jeune fille (...) se mit à jouer et à produire des sons plus harmonieux que le chant de la grive ou du rossignol. C’était un spectacle charmant...» (p. 181) • à la littérature : cf. le chapitre XV, où la créature décrit les vives impressions que lui font

Un visage traître. Un visage qui se moque de toute règle, de tout principe. Un visage qui tâche de garder le maître du mécanisme qui l’a dévoilé à ses côtés. La digne indignité, la timide intrépidité, l’innocente culpabilité, la beauté laide, la belle laideur, l’honnête hypocrisie, l’honnêteté hypocrite, le sens insensé, la peur courageuse, le courage peureux, la lâcheté arrogante, la lâche arrogance, l’amour haineux, la haine amoureuse. Toute chose se bouleverse. Rien n’est plus comme avant.

''Antigone'' est la pièce d'Anouilh où il s'est le plus astreint à suivre un texte antique, mais il a pris de nombreuses libertés avec le texte de Sophocle. Antigone est bien censée être une héroïne tragique, qui affirme bien qu'elle est la fille d'Oedipe : « Je suis la fille d'Oedipe, je suis Antigone. Je ne me sauverai pas. » Et les autres personnages reconnaissent aussi cette généalogie ; Créon retrouve en elle l'orgueil d'Oedipe. Évoquer ces origines, c'est insister sur le fait qu'elle est la «victime

chantiers navals, tout en ouvrant celles des maisons closes. Otto Dix en est l’un des plus grands représentants, et sa peinture exposera au grand jour, sous les violentes couleurs de la satire, les impuretés de la société. Il rend la réalité plus laide, et s’oppose à l’illusionnisme sans toutefois exprimer un quelconque sentiment de haine. En effet, le peintre est d’origine prolétarienne, et il s’agira plus de déception que de critique dans ses tableaux. Une déception puisant ses sources dans le

interminables et si stridents qu’ils étaient devenus insupportables pour tout le royaume. Elle avait été nommé Raipoux à cause de la longueur de sa chevelure et des micro locataires, M. les poux, qui s’y étaient installés. Durant 7 nuits, la petite fille pleurait et poussait des cris aigus et incessants. Once upon a time in a country very,very close, A king and a queen who lived peacefully. The royal couple wanted above all to have a child. When the queen was pregnant, all the kingdom was looking

L’HOSPITALIER La ‘Légende’ a le caractère d’un conte populaire. Julien, un jeune chasseur tue un cerf qui le maudit et lui annonce qu’il tuera ses parents; il part alors avec une troupe d’aventuriers et voyage en Europe et en Orient, et se marie avec la fille de l’empereur d’Occitanie. Sa femme lui fait retrouver ses parents et la malédiction se réalise; il quitte alors sa maison et part mendier par le monde; un jour il rencontre un lépreux, l’aide et Jésus l’emporte dans le ciel,puisqu’il désormais expié