Laideur La Fille Laide

réussit cependant à passer l'examen d'officier de santé qui permettait à l'époque d'exercer la médecine sans avoir le titre de docteur en médecine. Il s'installe à Tostes et sa mère lui fait épouser une veuve de quarante-cinq ans, Mme Dubuc, qui est laide mais qui a du bien. La vie conjugale paraît être au jeune homme une nouvelle prison. * P.61 : narrateur collectif, point de vue particulier. Fin 1er paragraphe : ironie * P.62 – 63 : cruauté ironique de Flaubert envers ses personnages à travers

Hippias la définit: la Beauté, c'est une belle jeune fille. Socrate remarque qu'il s'agit d'une mauvaise définition. Ce n'est même pas une définition, mais un exemple. Or, ce qu'il s'agit de découvrir, c'est l'essence de la Beauté, ce qui est commun aux multiples choses belles. C'est comme si, à la question: qu'est-ce que la République, on répondait: c'est la république française. Ce qui est à découvrir, c'est la Beauté en soi. La belle jeune fille est seulement un cas particulier, une incarnation singulière

I : Les procès de Salem A-Le contexte : Salem en 1692 "Fille aînée du Massachusetts", Salem a été fondée en 1629 par un groupe de marchands et de pécheurs qui commerçaient avec l’Angleterre. La ville bénéficie alors d’une charte qui lui donne une grande indépendance, contrairement aux autres colonies anglaises. L’’inquiétude monte à cause de l’insécurité : - Insécurité physique : l’été 1690 éclatent des guerres indiennes qui créent d’horribles massacres. - Insécurité politique : le Massachusetts

texte. Il faut toujours nommer la réalité à laquelle il se rapporte et expliquer son effet dans le texte. Ex. 1 : patate, carotte, céleri, poivron = champ lexical des légumes. Ex. 2 : moche, sale, crotté, affreux, puant = champ lexical de la laideur. Ex. 3 : désir, beauté, adorer, tendresse = champ lexical de l’amour. LES PROCÉDÉS STYLISTIQUES Il existe plusieurs procédés déterminant la forme d’un texte littéraire. Les figures de style, les sonorités, le rythme, les tonalités et la ponctuation

qui l’héberge, puis, personnellement, lui coupe le cou. Ensuite, il libère une ville d’un monstre à sept têtes qui, cette année-là, s’apprête à manger la princesse. Le berger y revient après un an, au moment où un faux héros devrait épouser la fille du roi. Il se fait reconnaître comme le véritable sauveur et se marie avec la princesse. L’imposteur est écartelé. Lu au pied de la lettre, la punition du faux héros est une leçon de justice morale que l’on rend pour punir le mensonge et le vol

décrire les trois premières filles montre qu'on commence par le haut de la hiérarchie. Mais, cela crée surtout un décalage entre le statut de prostituée et la figure de la femme mariée, d'autant plus que la prostituée du bordel est considérée comme une fille de bas-étage, une figure en marge de la société. Cependant, Maupassant met en scène la description de trois figures du bordel de manière cérémonieuse. On remarque par exemple que le rythme ternaire à la fin de la première phrase : « Fernande, Raphaële

lui- même et se décrit avec sincérité, sans complaisance. Ainsi George Sand écrit dans Histoire de ma vie : « Somme toute, avec des cheveux, des yeux, des dents et aucune difformité, je ne fus ni laide ni belle dans ma jeunesse, avantage que je considère comme sérieux à mon point de vue, car la laideur inspire des préventions dans un sens, la beauté dans un autre ». Rarement flatteur, le portrait de celui qu’on a été autrefois se teinte parfois d’une ironie 7Séquence 1 © N AT H A N /V U EF 2 00

justement que d'aucun des dieux. Ce n'est que parmi les amants qu'on sait mourir l'un pour l'autre. Et non-seulement des hommes, mais des femmes même ont donné leur vie pour sauver ce qu'elles aimaient. La Grèce en a vu l'éclatant exemple dans Alceste, fille de Pélias : il ne se trouva qu'elle qui voulût mourir pour son époux, quoiqu'il eût son père et sa mère. [179c] L'amour de l'amante surpassa de si loin leur amitié, qu'elle les déclara, pour ainsi dire, des étrangers à l'égard de leur fils ; il semblait

justement que d'aucun des dieux. Ce n'est que parmi les amants qu'on sait mourir l'un pour l'autre. Et non-seulement des hommes, mais des femmes même ont donné leur vie pour sauver ce qu'elles aimaient. La Grèce en a vu l'éclatant exemple dans Alceste, fille de Pélias : il ne se trouva qu'elle qui voulût mourir pour son époux, quoiqu'il eût son père et sa mère. L'amour de l'amante surpassa de si loin leur amitié, qu'elle les déclara, pour ainsi dire, des étrangers à l'égard de leur fils ; il semblait qu'ils

demanda ce que c'était que ces Tours qu'il voyait au-dessus d'un grand bois fort épais. » Titre : …………………………………………………………………………………………………… « Et le caneton partit ; il nagea sur l'eau, il plongea, mais tous les animaux le dédaignaient à cause de sa laideur. » Titre : …………………………………………………………………………………………………… Connais-tu d’autres contes ? Note-les ci-dessous. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 3. Quels sont les mots