Lamitié Freud

individu porte en lui une part d’inconscience, comme le définit Freud, « un réservoir de pulsions, un enfouissement des désirs, une somme d’interdits. ». Le sujet même ne pourrait se définir avec exactitude. En effet, « On ne peut pas être à la fois au balcon et se regarder passer dans la rue » dit A. Comte. Ne pouvant explorer sa part d’inconscient, cette réponse sera toujours caduque car personne ne se connaît parfaitement. Freud dit à ce propos : « Je sais ce que je ne suis pas, mais je ne suis

passions, causes extérieures qui agissent sur l’homme. Mais, « chacun a le pouvoir de se comprendre lui-même et de comprendre ses affects sinon totalement, du moins en partie ». L’Ethique. L’homme peut donc comprendre partiellement (en cela, S annonce Freud) ses affects, et par cela n’agir plus désormais sous une contrainte extérieure. Il agit selon sa nécessité propre et par la compréhension rationnelle il se libère de la servitude passionnelle. En se faisant idée adéquate de l’ordre nécessaire des choses

distance – entre rejet et trop de proximité L’auteur puise ses sources pour définir la dimension affective par la philosophie et la psychanalyse « Freud ». Dans la philosophie, elle nous montre que l’affection est un ensemble de sentiments (plaisir et douleur) et d’émotions qui font partie des sentiments. En psychanalyse, l’affect selon  le concept de Freud est  « l’expression qualitative de la quantité d’énergie pulsionnelle et ses variations » toute histoire vécue par le professionnel donne naissance

SIGMUND FREUD in La guérison par l’esprit STEFAN ZWEIG Paris, Le Livre de Poche, 1931 L’AUTEUR Stefan Zweig est né le 28 novembre 1881 à Vienne, en Autriche. Fils d'un riche industriel israélite, il put mener ses études en toute liberté, n'écoutant que son goût qui l'inclinait à la fois vers la littérature, la philosophie et l'histoire. L'atmosphère cosmopolite de la Vienne impériale favorisa chez le jeune Zweig la curiosité du vaste monde. Il y fit ses études, et, à 23 ans, fut reçu docteur

l’enfant va se fier aux règles imposés par ses parents pour faire la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal. Adulte, ce sont les lois et les normes de la société qui deviennent notre surmoi, mais également l’éducation que l’on a eue. * Freud, médecin neurologue, a surtout découvert le concept de l’inconscience. Il pense que c’est le refoulement qui fonde l’inconscient : une personne, sans le savoir, garde des souvenirs ou des émotions du passé ancrés en elle. Ces souvenirs et/ou émotions

insignifiants, d'une courte durée pour la plupart et sans grande importance dans la vie des hommes. Ce n'est que rarement que certains, comme la perte d'un objet ou l’oubli d’un prénom, acquièrent une certaine importance pratique. C’est pourquoi Sigmund Freud va mettre en lumières les différentes formes d’actes manqués dans son livre intitulé « Psychopathologie de la vie quotidienne » et en expliquer les mécanismes psychiques inconscients sous-jacents. Les actes manqués se caractérisent par le fait qu’ils

sexuelles - elles constituent le moteur fondamental de notre comportement - la vie en société exige que nous refoulions ces pulsions et que nous canalisions leur énergie pour effectuer des tâches plus civilisées : travailler, penser, créer, etc. - Freud appelle ces phénomènes de la « sublimation » partie 2 : idée 1 : la raison est souveraine sur les désirs et les instincts - l’homme est un être raisonnable - il agit et juge de manière raisonnable sans céder à l’instinct contrairement aux

familiale de chacun. Le désir d’enfant : quels sont les facteurs psychiques qui poussent les hommes et les femmes à désirer un enfant ? La psychanalyse s’est intéressée au sujet, de l’amour narcissique et de la résolution du complexe d’Œdipe chez Freud au processus de réparation chez Mélanie Klein ; les systémiciens également avec les notions de dette et de loyauté vis à vis de la génération antérieure. Le processus psychique de parentification a été exploré largement par la Psychanalyse, surtout

en psychiatrie, on a repéré la « pensée opératoire » dont sont atteints les sujets qui ne peuvent plus imaginer ou fantasmer. Par ailleurs, la plainte la plus fréquente entendue aujourd’hui dans les consultations psy n’est plus celle des temps de Freud : « Docteur, j’ai trop de pulsions, je n’arrive pas à les maîtriser », mais « Docteur, je ne sens plus rien ». Les psychiatres américains nomment cette pathologie « LSD » : lack of sexual desire (manque d’énergie, de désir, de passion). Rousseau fut

entrainer une haine de la vie . l’homme doit le prendre comme un don. Révolte qui n’en n’est pas une. Réflexion sur Socrate et Jésus qui ont affronté la mort. Angoisse (angor, angine : resserrement, paralysie de la volonté) et peur. Angoisse selon Freud souvent liée au néant. L’angoisse ignore quel est son objet. Va se fixer sur un objet contingent. In vino veritas : dans le vin la vérité. Répondre a la question de l’ironie chez Kierkegaard. 3 styles de vie, pris dans une sorte de cycle. C’ets