Lampe à vapeur de sodium

Physique-Chimie Devoirs Devoirs 1 à 8 Rédaction Jean BOUSQUET Philippe BRIAND Jean-Paul BUSNEL Emmanuelle Defrance Xavier Defrance Guy LE PARC Coordinateur 7-SP12-DVPA00-13 Pierre RAGEUL Référence : 7-SP12-DVPA00-13 Ce cours a été rédigé et publié dans le cadre de l’activité du Centre National d’Enseignement à Distance, Site de Rennes. Toute autre utilisation, notamment à but lucratif, est interdite. Les cours du Cned sont strictement réservés à l’usage privé de leurs destinataires

économiques 1. La lampe fluorescente et les lampe classique 2. Dangerosité des lampes économiques 3. Le rôle du mercure dans les lampes économiques 4. Effets du mercure sur l'homme et sur l'environnement 5. La quantité des lampes économiques en fin de vie 6. Collecte des lampes économiques usagées 7. recyclage des lampes à basse consommation 8. Le cadre réglementaire en France 1. La lampe fluorescente et les lampe classique Lampes à incandescence classiques

atome de sodium : niveaux d'énergie ; résolution d'un réseau | Données : h= 6,63 10-34 Js ; e = 1,6 10-19 C ; c= 3,00 108 m/s ; 1eV=1,6 10-19 J Le numéro atomique de l'élément sodium est Z=11. L'analyse du spectre d'émission d'une lampe à vapeur de sodium révèle la présence de raies de longueurs d'onde bien définies : structure électronique de l'élément sodium : 11 électrons dans l'état fondamental :1s2 2s2 2p6 3s1. domaine de longueurs d'ondeauquel appartiennent ces radiations : l1 < 400

= 1,6.10 -19 J Exercice n°1 : On considère le diagramme de niveaux d’énergie suivant : E4 = - 0,54 eV A B C D E3 = - 0,85 eV E2 = - 1,51 eV E1 = - 3,4 eV 1. Préciser si les transitions A, B, C, D correspondent à des radiations émises ou absorbées. Justifier. 2. Calculer l’énergie de chacune de ces radiations en eV puis en joules. 3. Calculer la longueur d’onde correspondant à chacune de ces radiations. Exercice n°2 : En(eV) = − Pour l'atome d'hydrogène, l'énergie des niveaux se calcule

Sommaire Introduction L’obscurité fait peur à l’homme. Depuis la découverte du feu, il fait face à cette obscurité en éclairant massivement les villes et les zones d’activité (industrielles, touristiques…) artificiellement. La lumière artificielle est la lumière qui n’est pas naturelle, celle que l’homme a créée afin de répondre à ses besoins. Cette lumière artificielle est aujourd’hui indispensable à l’homme. Mais, utilisés excessivement et trop souvent mal orientés, les

cet objectif, on modifie ou on modernise le système d'éclairage de façon à s'assurer que les utilisateurs de l'espace obtiennent la qualité et la quantité appropriées de lumière, au coût le plus faible d'exploitation et d'entretien. 2) Les solutions utilisées, les techniques d'éclairage : Il existe plusieurs méthodes pour déterminer si une installation d'éclairage est efficace ou non efficace. Une méthode consiste à vérifier la conformité avec la version actuelle de la norme d'éclairage.

Vieilles de plus d’un siècle les expériences de Kirchhoff, à qui l’on doit également l’invention du spectroscope, permettent d’illustrer les principes de l’absorption et de l’émission atomique. Lorsqu’on disperse la lumière émise par une source polychromatique (lampe à incandescence ou arc électrique) avec un prisme, on obtient un spectre continu. Si on substitue à la source précédente un bec Bunsen dans lequel on projette un peu de chlorure de sodium, on obtient le spectre de raies d’émission de cet élément

lumineuse Dans le cadre de notre BTSA aménagement nous sommes sortis à plusieurs reprise dans Paris dans le but de mieux appréhender l’éclairage dans les aménagements. C’est dans ce but que nous avons tout d’abord été à la rencontre des éclairages urbain en déambulant dans les rues de paris. Nous avons suivi la seine à la recherche de différente forme d’éclairage. Et par la suite nous avons assisté à la pièce « madame butterfly » à l’opéra mis en scène par Bob Wilson et nous avons travaillé dessus

maintien mécanique de la lampe électrique. L'alimentation est généralement assurée par l'intermédiaire de deux éléments conducteurs séparés par un isolant. Il existe différents types de culots/douilles : à vis, à baïonnettes, à picots ... Sommaire[masquer] * 1 Identification des culots/douilles * 1.1 Liste des culots classiques les plus usuels * 1.2 Culots récents * 1.3 Autres culots * 2 Culots à vis * 2.1 Normes des culots à vis, type Edison * 3 Culots à baïonnette *

EXERCICE III. BIZARRE,BIZARRE... (5,5pts) Calculatrice autorisée 1.1. KOH(s) = K+(aq) + HO–(aq) 1.2.1. Le tristéarate de glycéryle appartient à la famille des esters. (précisément des triesters) On entoure les trois groupes esters. 1.2.2. L'alcool utilisé est du glycérol dont le nom officiel est du propan-1,2,3-triol. L'acide carboxylique utilisé a pour formule C17H35COOH. Cette réaction est appelée estérification. 1.3.1. suif + cendre + 3 HO– = glycérol + ion stéarate O CH2 −O−C−C17H35