Langage de requête

..... 7 2.1.4. Objectifs ................................................................................................ 8 2.1.5. Tâches .................................................................................................. 8 2.1.6. Langages / Technologies / Outils .......................................................... 8 3. Partie théorique ................................................................................................... 9 3.1. Informatique décisionnelle.......

(3/n-tiers) L’Architecture Orientée Services SOA. Mainframe Client Serveur distribuée SOA 2011/2012 neila.benlakhal@gmail.com 14 L'architecture 3-tiers 1/2 • Exemple : application Web réservation d'hôtel (agence A): Firewall Requêtes http traitement Serveur Web: Apache, Apache IIS(Internet Information Services), etc. +Serveur d'application: Tomcat, Glassfish, Jboss etc. Application: Php Jsp,ASP, … Php, HTML, XHTML, CSS, JS, … Données SGBD : MySql, MySql, PostgreSql; Oracle, Etc

Watcom SQL est livré comme SGBDR mono-utilisateur avec Powerbuilder 4.0. 2 Les outils de développement pour applications clientes Oracle SQL*Plus On ne présente plus SQL*Plus, le langage SQL d’Oracle. C’est aussi le nom du logiciel qui permet de saisir et d’émettre les requêtes à destination d’une base Oracle. SQL*Plus dialogue avec la base via les API propriétaires seulement. Quand il est exécuté sur un PC du réseau pour atteindre une base distante, SQL*Plus devient un

le langage de façon approprié, dans le contexte. La construction du sens n’est pas issue de la simple union de mots. Le non verbal, les gestes, les mimiques et la prosodie apportent des informations en plus. La pragmatique, c’est dire ce qu’il faut, comme il faut, en tenant compte de l’interlocuteur et de la situation. Elle représente l’usage social du langage : «Pourquoi parle-t-on ? Dans quel but ? » La pragmatique a donc pour but d’expliquer la façon dont nous communiquons par le langage, c’est-à-dire

Créer des requêtes simples par BALLAT Jean (Espace perso jeannot45) Date de publication : 28 février 2009 Dernière mise à jour : Cet article est le premier d'une série dédiée aux débutants. Ce premier volet se propose de présenter les différentes types de requêtes sous Access et de voir comment on peut : - Créer des requêtes simples ; - Trier les données dans la structure de la requête ; - Imprimer les résultats de la requête. Vos commentaires : Créer des requêtes simples par BALLAT Jean

pas forcément explicités dans le corps du texte, mais qui sont tous détaillés dans le Glossaire, page 97. Les numéros entre parenthèses (0) font référence à la Bibliographie page 101. Le texte écrit dans cette police représente un code source de langage de programmation. Le texte écrit dans cette police fait référence à des appellations des bases de données DB2. Les mots en langue étrangère utilisés dans le corps du texte sont écrits en italique. Les marques citées dans ce document (Microsoft, IBM

technologies du WEB, ce qui veut dire qu'il ne se cantonne pas à un langage : tout langage reconnu par un navigateur est susceptible d'être utilisée ; en pratique. Le XSS exploite tout particulièrement les descripteurs HTML et le javascript. II-La faille echo() : La fonction echo() de PHP permet l'affichage de texte. Ce texte peut être représenté par une variable qui sera définie lors de l'appel de la page via une  chaine de requête : http://www.victime.net/test.php?&texte=salut-comment-ça-va

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV.2 Description des pages du site . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 35 Conclusion Générale 39 Bibliographies 40 V Annexe 41 v Table des figures I.1 Schéma d’une requête HTTP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 II.1 Historique d’UML. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 III.1 L’intreface de PowerAMC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

XX Première partie : SQL de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XX Deuxième partie : programmation procédurale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XX Troisième partie : langages et outils . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XX Annexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . XX Typographie . . . . . . . .

corporelle (gestes, regard, postures...) et 37% pour la voix (timbre, intonation, débit, tempo...). Une règle qui s’applique aussi à l’univers professionnel : que vous preniez la parole devant une salle comble, une petite équipe ou en tête à tête, votre langage corporel est aussi « parlant » qu’un beau discours. Le maîtriser est donc indispensable. Pour y parvenir, il suffit de respecter certains principes. Donner du rythme à ses interventions En commençant par la voix. Jean-François Dehecq, patron de Sanofi-Aventis