Langage Déguisement Pensée

la volonté d'apprendre -Beaucoup de philosophes se battent contre l'obscurantisme, le fanatisme religieux en diffusant leurs idées et savoirs -Dans la continuité des réflexions de Descartes -Placent la raison individuelle au centre de leur mode de pensée d’où : -la devise « Aie le courage de te servir de ton propre entendement » d'Emanuel Kant -Ex : Montesquieu, diderot, Rousseau ou encore Voltaire -Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais -Né en 1732 et mort à l'age de 67 ans en 1799 -Homme d'affaire

sur la forme). Thèmes essentiels : L’illusion et l’instabilité, les métamorphoses du monde et des êtres Les déguisements, les masques et les miroirs, les jeux sur l’identité Les incertitudes du bonheur toujours menacé Procédés d’écriture : -l’antithèse

mauvais acteur. Le caractère de M. Jourdain Si l’on veut aller plus avant, on peut affirmer que M. Jourdain confond l’être et le paraître, l’essence et les apparences. En d’autres termes il pense inconsciemment que l’habit fait le moine. Justement il n’a pas compris que la noblesse ne consiste pas dans un déguisement, mais dans l’élégance naturelle des gestes, de l’attitude et du propos : en un mot, c’est être "honnête homme". Un titre ne s’achète pas, il se mérite. L’un des effets comiques les plus

leurs répliques font avancer l’histoire. Ces acteurs sont typés avec des masques comme dans la commedia dell’arte où on retrouve Pantalon, Zani, Matador etc. La société fonctionne de la même manière les hommes aux caractères singuliers au travers du langage échangent, communiquent pour faire avancer la société créer l’histoire . Les classiques qui prennent inspiration sur les Anciens reprennent l’affirmation de Shakespeare dans leurs pièces que ce soit tragique avec Phèdre de

l’interprétation qu’il propose du phénomène vivant. Il écrit dès le début de la fantaisie comique que nous devoir voir « avant en elle quelque chose de vivant. Nous la traiterons, si légère soit-elle, avec le respect qu’on doit à la vie ». Dans la pensée contemporaine, il est souvent pratiqué une opposition : on dit que le vivant, c’est l’objet de la biologie, parce qu’il est dans sa nature de mener une investigation sur la matière vivante, comme la physique s’enquière de la matière inerte. La Vie

qu'il sort d'un groupe de personnes, qu'il se détache du lot, c'est à dire du « on » et du « nous ». L'enfant assume alors ce qu'il dit et pense, il devient responsable. On assiste ainsi à une véritable évolution du « je » durant l'enfance. Devant un miroir, le sujet prend conscience de son unicité : son corps, ce n'est pas celui d'un autre. Avec le langage, il acquiert la responsabilité. Et c'est principalement à partir de l'adolescence, ou même, de la crise d'adolescence, qu'il se met en totale

nom de machine ronde, Que nos flasques auteurs, en chevillant leurs vers, Donnaient à l’aventure à ce plat univers. Les astres étonnés, dans leur oblique course, Le grand, le petit Chien, et le Cheval, et l’Ourse, Se disent l’un à l’autre, en langage des cieux : ” Certes, ces gens sont fous, ou ces gens sont les dieux. “ Et vous, Algarotti, vous, cygne de Padoue, Élève harmonieux du cygne de Mantoue, Vous allez donc aussi, sous le ciel des frimas, Porter, en grelottant, la lyre et le compas

le Poésie (jeux sur la forme) portrait qui favorisent l’analyse morale et psychologique. • l’illusion et l’instabilité, • la peinture des caractères, les métamorphoses du des désirs et des sentiments monde et des êtres humains • les déguisements, les •la confrontation de l’indivimasques et les miroirs, les du avec les contraintes jeux sur l’identité sociales, politiques et •les incertitudes du bonheur morales toujours menacé • l’idéal d’équilibre et d’honnêteté -l’antithèse, les

larmoyante. Ainsi dans la scène VI de l’acte IV, quand Elvire revient le voir, chargée d’un amour épuré, détaché, qui n’a plus d’autre objet que le salut de l’homme qu’elle a chéri, Dom Juan l’interrompt en s’adressant à Sganarelle d’un « tu pleures, je pense ». Il est aussi un autre tragique : celui du destin de Dom Juan, engagé dans une lutte avec Dieu, qui attire sur lui menaces et malédictions. Mais l’affrontement ne se fait pas tant dans les discours que dans une série d’actions provocatrices. Dom

recours au registre comique surtout à travers le personnage de Sganarelle , le valet de Don Juan , un personnage ambigü qui ne cesse de changer d'avis dès qu'il est confronté à son maître, ceci révèle donc un comique de situation.Ensuite il utilise un langage spécial qui fait ressortir le comique de mots et qui attire l'attention du public . Il fait aussi des gestes , des mimiques qui ont pour but de faire rire le public. Nous pouvons nous baser sur la mise en scène de Don Juan par Daniel Mesguiche ou