Langage Déguisement Pensée

mètres (du fait de son élasticité). La largeur des mailles se calcule au nombre de celles-ci par pouce (1 inch, soit 25,4 mm). Un tulle 10 points a 10 mailles sur un pouce de longueur. Utilisation : mode féminine: jupes larges, tutus de danse, déguisements, rideaux, voiles, robes…linge de maison: nappes, serviettes...    Le tulle tel qu’on le connaît apparaît avec l’invention du métier à Tulle par Frost et Holmes en 1777 en Angleterre. Son objectif était d’imiter la dentelle par des moyens mécaniques

tard, les armées du roi lancent une attaque sanglante, mais celle de Condé l'emporte grâce à l'aide notamment de la Grande Mademoiselle, fille de Gaston d'Orléans. Dans les troupes de Condé, un peu plus tard, ont lieu des massacres sur ceux qu'on pense n'être pas fidèles au prince. Devant une nouvelle crise, Mazarin comprend ce qu'il lui reste à faire et entame un second exil. Quant à Condé, prit par la lassitude et rapidement isolé, il finit par abandonner la capitale fin 1652 et part pour Bruxelles

théâtre comme la présence de répliques (dialogue), de tirades (répliques longues ralentissant l’action), de stichomythies (répliques courtes accélérant l’action), de monologues (personnage faisant part de ses pensées à haute voix sur scène), d’apartés (personnage faisant part de ses pensées au public durant un échange de répliques), de didascalies (indications scéniques relatives au décor,au jeu de scène et aux personnages). Le 16ème siècle I Les différentes formes du théâtre 1° Les mystères

orientalisants et ne garde que quelques « calques » pour l’effet de vraisemblance (insérés dans le contexte chrétien, des syntagmes comme « moufti », « dervis », « enrager comme un chrétien », « faire le Rhamazan » etc.) : « j’ai soulagé le lecteur du langage asiatique autant que je l’ai pu15 ». 8Néanmoins, si la langue, effectivement, est bien classique, l’Orient est, me semble-t-il, justement réintroduit par la fiction : de la même façon que dans les Lettres persanes, c’est surtout le « roman du sérail

parent du même sexe, représentation qui apparaît vers 3-5 ans et se résout après la puberté. Condensation : Chaque élément du rêve renvoie à de nombreuses représentations. Ces représentations se condensent pour échapper à la critique ; il y a là déguisement, réduction, compression du rêve. Conscience : Le conscient est à la fois lieu de nos sensations et de nos perceptions ainsi que la réalité subjective de celles-ci. Il constitue la matière même de notre vie psychique. Il organise les données de

L’esprit humain, par Freud [pic] L’inconscient est structuré par des chaînes associatives (choses entendues, vues, traumatismes de l’enfance) qui provoquent des effets de signification, c'est pourquoi l’on parle de l’inconscient comme d’un langage original qui constitue une sorte d’aide de réadaptation au réel. C’est une réponse qui donne du sens à ce qui nous arrive et que l’on ne comprend pas : la vie. Il nous aide à construire des fictions pour mieux appréhender le réel. D’autre part

ailleurs, la psychanalyse apparaît. Sigmund Freud, l’un de ses inventeurs, développe une théorie de l’inconscient. Il explique que l’Homme n’a pas conscience de tout ce qui se passe en lui. La pensée n'est pas toujours pensée consciente : nous pensons toujours mais nous n'avons pas conscience de toutes nos pensées. Freud va élaborer le concept d’un inconscient qui est une instance psychique distincte de la conscience, ayant ses propres structures et ses propres lois de fonctionnement et d’action. « Les

récapitulatif des personnages, le héros est alors Lorenzo). Lorenzo est un homme érudit qui manipule le langage, c'est aussi un personnage cynique et lyrique. Au contraire, le duc est un homme brutal qui ne s'embarasse pas du langage. Lorenzo est un libertin. Cela rend le personnage encore plus ambiguë, à la fois corrupteur, adepte du libertinage et un homme érudit voire cynique car il maîtrise le langage. Lorenzo fait un discours rhétorique sur l'art de séduire et tourner en débauche une jeune fille

enfin le Comte qui redécouvre les appas de son épouse en croyant lui aussi se trouver avec Suzanne (scène 7). Figaro, furieux, trouble leur entretien ; le Comte s’enfonce dans l’obscurité, la Comtesse se retire de son côté et Suzanne, sous son déguisement, décide de punir Figaro de ses soupçons. Mais il la reconnaît bientôt (scène 8). Reste à punir aussi le Comte : celui-ci de retour, croit apercevoir sa femme avec Figaro ! Fureur, scandale (scène 9 à 10). Figaro est arrêté, interrogé (scène 12)

"Qui pouvait se douter que ce cambrioleur, c'était lui-même..." (p. 58), puis à un cordonnier (p. 139). De même Trouscaillon qui paraît se chercher lui-même en ses multiples déguisements : Pedro-les-surplus, satyre, amnésique, flic, poseur de lapins, violeur déjoué par la grammaire dans Zazie dans le métro... On pense évidemment au vertige du romancier (Balzac, début de Facino Cane : "Chez moi l'observation était devenue intuitive...elle me donnait la faculté de vivre de la vie de l'individu