Langues slaves

Le terme « Balkans » fait avant tout référence à une aire culturelle, c'est-à-dire un ensemble composé de groupes et de langues différents, mais qui partagent néanmoins un certain nombre de traits culturels communs, héritage d'un passé commun. Le géographe Georges Prévélakis[3] et les historiens aroumains Papacostea et Neagu Djuvara expliquent cet héritage commun par l'existence de six ou sept couches d'un millefeuille historique balkanique qui feraient aujourd'hui de cette région, une aire culturelle

politique coloniales: -La politique d'association : c'est une politique qui respecte les coutumes locales et qui dirige les colonies avec les indigènes. -La politique d'assimilation : c'est une politique qui vise à conduire les indigènes, à adopter la langue, la culture et les valeurs de la métropole pour qu'ils obtiennent l'égalité juridique avec les citoyens de la métropole. Les Anglais choisissent en général la plitique d'association. Les Français, eux, prennent la politique d'assimilation. Cependant

d’Europe de l'Est (Slaves et Tziganes). Le mot klezmer vient de l'association des mots klei et zemer, « instrument de chant ». À l’origine le mot klezmer (pluriel : klezmorim) désignait donc les instruments. Le sens a glissé et on a également appelé les interprètes les klezmorim. En raison de ses origines, la langue de prédilection de la chanson klezmer est le yiddish (une langue d'origine germanique proche de l'allemand, avec un apport de vocabulaire hébreu et slave), mais les langues locales étaient

d’étudier l’évolution territoriale de ces trois ensembles. Deux aspects sont privilégiés : l’héritage de Rome, le christianisme grec et sa diffusion. Carte : l’Empire byzantin au temps de Justinien. Repères chronologiques : l’évangélisation des slaves par Cyrille et Méthode (IX° siècle ; rupture avec Rome (1054) ; fin de l’Empire byzantin (1453) Documents : Sainte-Sophie ; mosaïques de Ravenne. Plan : I° Pourquoi l’Empire byzantin est-il l’héritier de Rome ? A) L’œuvre des empereurs. B)

Etymologie : du latin médiéval sclavus, venant de slavus, slave. Le mot est apparu à Venise à une époque où les esclaves étaient pour la plupart des Slaves des Balkans, d'une région devenue la "Slavonie", la Croatie actuelle. L'esclavage est l'état d'une personne qui se trouve sous la dépendance absolue d'un maître qui a la possibilité de l'utiliser comme un bien matériel. Il est la privation de la liberté de certains hommes par d'autres hommes, dans le but de les soumettre à un travail forcé

Etat comporte de nombreuses nationalités, c'est-à-dire des groupes humains qui aspirent soit à former une nation, soit à se fondre dans une nation déjà existante. Le concept de nationalité renvoie à une communauté culturelle, forgée notamment par la langue. Un problème surgit avec les nationalités à partir du XIXe siècle, période qui voit le nationalisme toucher et modifier la carte de l'Europe. S'il peut constituer une force d'unification comme dans les cas allemand et italien, assurant l'essor de

Après le passage dévastateur des Avars, les Serbes et les Croates, en provenance d'Ukraine et du sud de la Biélorussie, s'installent au VIième siècle dans les Balkans, où les seules populations qui subsistent sont quelques bergers nomades. Ces peuples slaves sont convertis à la religion chrétienne au IXième siècle, par Cyrille et Méthode. En Bosnie, la christianisation se fait plus difficilement suite à l'hérésie "bogomile". Les Croates, au nord, fondent un royaume vassal de Byzance en 925, avec pour

culturelle. En effet on constate deux grands marqueurs de la diversité ethnique en Autriche : la langue et la religion. Deux aspects qui soit dit-en passant sont les caractéristiques indissociables de la définition même des nationalités ; car les nationalités sont relatives à l'appartenance d'un groupe de personnes à une nation culturelle possédant la volonté d'exister. Dans tout l'empire la langue prédominante et l'Allemand. En revanche s'il est constamment employé au sein de la religion, l'armée

« François joseph n’était pas un homme mais une sorte de monarchie ». Le pouvoir est partagé entre le souverain et les nations, de 1807-1848 la noblesse possède le pouvoir. Les peuples voisins de la Hongrie, ne parlant pas la langue se disent hongrois, tels que les roumains, les slaves, les ukrainiens et les croates... Il y a donc un sentiment de nationaliste hongrois pour toutes ces populations voisines. Par ailleurs l’état Hongrois est représenté par la « sainte couronne » qui incarne la continuité

d'Orient). • En 1204, Constantinople est pillée par les croisés. La rupture est définitive. III. La conversion des peuples slaves et bulgares • En 862, le roi de Moravie demande à l'empereur byzantin de lui envoyer des missionnaires. Deux moines, Cyrille et Méthode, convertissent les Moraves (les Tchèques). Pour traduire la Bible, Cyrille met au point une écriture de la langue slave, qui donnera naissance à l'alphabet cyrillique. • De même, désireux de consolider son pouvoir et d'établir une paix