Lapsus

– le conscient a) Le ca trouve sa source dans un réservoir de pulsion d’ordre sexuelle (libido). On ne sait pas toucher ou capturer l’inconscient (même par pression). Il se manifeste par des voies détournées (les rêves, les tocs, les phobies, les lapsus, les actes manqués). Il n’obéi qu’à une règle, le plaisir. b) Il sert de balance entre les 2 autres parties du psychisme, il tempère les pulsions de l’inconscient en tenant compte de la réalité c) Le juge, le censeur, la conscience morale, les principes

maîtresse ou l’amant et la femme, le principe du quiproquo). Ce comique est repris par presque tous les humoristes contemporains. * Le comique de mots est un jeu sur la langue qui soit provoqué involontairement ou volontairement par les personnages (lapsus, actes manqués, …). * Le comique de caractère  s’attache à peindre les défauts de personnages en tant que représentation d’une catégorie de la population (les guignols) 2. Distinction entre humour et ironie * L’ironie fonctionnant

Premièrement, il y a les rêves, il constitue la première preuve du refoulement. Puis, nous avons l’humour ainsi que les lapsus ou bien les actes manqués. Ceux-ci nous permettent de mieux comprendre l’inconscient d’une personne ainsi que ses comportements. Pour continuer, la deuxième topique de Freud va décrire la personnalité des individus et elle est composée de trois stades :

contenu latent de façon voilée : le travail du rêve est donc une forme codage pour contourner la censure. B) L’analyse_____________________: Erreur commise en parlant qui consiste à substituer un terme attendu par un autre mot. Freud voit dans le lapsus l'émergence de désirs inconscients. C) L’analyse de mécanismes de défenses (voir notes cours suivant + p. 18). D) Analyse de tests comme : Le Rorschach (pp.60-61) Le T.A.T (pp. 61-62) : Le Thematic Apperception Test (TAT) est un test projectif

tant qu'hypothèse, d'expliquer mon lapsus, que je pourrai dès lors, avec Freud, tenir pour révélateur des mes intentions profondes, si profondes qu'elles m'échappent à moi-même. La bienséance, dont mon sur-moi, intériorisation des normes sociales, est le gardien, expliquerait Freud, m'interdit de déclarer en face ce que je pense tout bas, tout simplement ! Mais mon désir de le dire néanmoins finit par l'emporter, en empruntant un chemin détourné, celui du lapsus. Aussi Freud peut-il considérer qu'il

connaissons que comme conscient »). C'est au travers des effets qu'il produit accessibles à notre conscience que nous pourrons connaître et élucider notre inconscient (les formations de l'inconscient telles que les symptômes, les rêves, actes manqués, lapsus, etc.). Ainsi, nous ne pouvons connaître l'inconscient directement, « en personne », mais toujours de manière déformée, car une force, la censure (cf. la première topique) empêche le retour des pensées refoulées et oppose une résistance à cette remontée

pour toute forme de subjectivité. On peut étendre ce remarque à toutes les sciences de la nature. MAIS dans les sciences humaines, cette explication s'avère insuffisante : on ne peut rendre compte d'un événement historique, d'une œuvre d'art, d'un lapsus en psychanalyse simplement en en prenant acte, en exposant ses conditions d'apparition, il s'agit de rendre compte des raisons pas simplement des causes présentes. On peut penser alors que l'interprétation commence quand la connaissance de type

► l ’inconscient : pour Freud « c’est l’enfer qui nous gouverne », pour Lacan « c’est la mémoire de ce qui a été oublié » = c’est le lieu des désirs et des fantasmes refoulés. On explore l’inconscient grâce à l’analyse , les rêves, l’hypnose, les lapsus, les actes manqués et les oublis.  ► le préconscient est l’intermédiaire entre inconscient et conscient = c’est l’ensemble des processus psychologiques latents mais disponibles sous forme de trace mnésique (souvenir)  ► la conscience est la connaissance

processus particuliers: un phénomène ou une représentation sont dits «inconscients quand ils sont articulés et organisés par des processus primaires tels que la condensation ou le déplacement, la métaphore et la métonymie ou encore les actes manqués, les lapsus, les mots d'esprit. En outre, l'inconscient est action: pour Freud, il existe une sorte d'équivalence entre l'acte inconscient et le désir. : « …Le désir refoulé continue à subsister dans l’inconscient » (page36) Par ailleurs, le développement de

peuvent générer. * Respecter les codes de la communication. * Formules de politesse Pour conclure, on s’aperçoit que le langage sert à décrire le monde qui nous entoure, mais aussi à s’exprimer, à faire passer un message, et parfois sous forme de lapsus. La communication a en effet des codes qu’il faut savoir respecter, et les détours de langage peuvent être utilisés à bon escient afin d’atténuer certains de ses aspects négatifs.