Laquais

V4. « Traversent l’endroit où je passe »Ici, on peut voir que les animaux prennent place importante, les belettes et les renards coupent la route au poète. V5. « Les pieds faillent à mon cheval » V6. « Mon laquais tombe du haut mal »Euphémisme L’euphémisme de ce vers atténue la mort du laquais. Il succombe « tombe du haut mal » à l’épilepsie (« du haut mal »)V7. « J’entends craqueter le tonnerre »Le poète insiste sur l’intensité du son du tonnerre. En effet, le tonnerre représente déjà le bruit de

remarquer la présence d’un laquais et le fait que le mot « monsieur » accompagne le mot Oregon. On peut donc penser que la pièce s’inscrit dans un milieu très aisé, bourgeois voire noble. La présence d’un laquais permet aussi de situer la pièce dans une époque assez éloignée de la nôtre (18ème S.). 1.2.2 La hiérarchisation des personnages est faite selon leur classe sociale, du plus nobles au moins prestigieux. La présentation commence par monsieur Oregon et finit par le laquais. 1.3 Le décor

provence, dans une "maison de campagne", Lucile, bien que l'on connaisse dejà son statut, est en position de supériorité sur les autres personnages. En effet, elle donne des ordres à ce qui est appelé "laquais" dans la didascalie : "Qu'on aille dire à Lisette qu'elle vienne". L'ordre donné au laquais ordonne à un autre personnage de parvenir à la maitresse qu'est Lucile. Cet autre personnage n'est autre que Lisette, la suivante de Lucile. La deuxième réplique de la première scène du premier acte

 Scène I. Ruy Blas, affligé et très inquiet, décide d’empêcher la reine de tomber dans le piège de Don Salluste (monologue).  Scène II. Don César regagne sa demeure, occupée par Ruy Blas, et conte ses mésaventures (monologue).  Scène III. Un laquais vient porter à Don César une bourse bien remplie (premier quiproquo).  Scène IV. Une duègne lui remet un billet indiquant un rendez-vous galant (deuxième quiproquo).  Scène V. Don Guritan le provoque en duel (troisième quiproquo).  Scènes VI

mélangeant tragédie et mélodrame ( le retour de Don César d' Afrique qui provoque la chute de la Reine involontairement alors que Ruy Blas avait réussi à empêcher la catastrophe en prévenant la Reine de ne pas venir, la dualité des personnages : un laquais qui aime la Reine et un noble comme Don Salluste qui a un enfant avec une suivante de la Reine, ou encore Don César qui a 2 noms et 2 vies. *Le cadre : en Espagne, durant la seconde moitié du XVIIème siècle à Madrid, dans les différentes pièces

Introduction: Après la Révolution de 1830, Vicotr Hugo entreprend de s'adresser au peuple et de lui donner la parole. Il choisit pour ce faire un genre littéraire dont il est l'inventeur, le drame romantique. Dans Ruy Blas, pièce créée en 1838, un laquais qui se présente lui-même comme un 'ver de terre amoureux d'une étoile' est anobli dans le cadre d'une odieuse machination et connaît une ascension fulgurante jusqu'à devenir le premier ministre d'Espagne. Quand le personnage éponyme découvre les hauts

En effet, nous sommes face à des différences sociales des personnages de l’histoire. Victor Hugo a voulu montrer l’incompatibilité de l’association de certaines catégories sociales ; comme l’amour difficile entre la reine et le pauvre laquais . Nous pouvons aussi remarquer la situation mélodramatique de la pièce. En effet, dans celle-ci, il y a de la vengeance qui mènera à des duels et à la mort. A la fin de l’histoire deux personnages vont mourir : Ruy Blas le personnage

l'État que pour se montrer digne d'aimer la reine d'Espagne. Mais cette voix du peuple, éprise de justice, éclairée par l'amour, est prisonnière d'une livrée de valet et d'un maître attaché à perdre la réputation de la reine en lui donnant « son laquais pour amant ». Cette pièce est un drame romantique en cinq actes : nous voyons des héros soumis à un destin fatal, et qui tentent vainement d'y échapper. L'action se déroule dans l'Espagne de la fin du XVIIe siècle, sur plusieurs mois. Ruy-Blas

Mascarille expliquent qu'ils n'ont pas voulu trop s'emporter. Scène XV La Grange et Du Croisy reparaissent. Ils révèlent que Mascarille et Jodelet sont leurs laquais, et les dépouillent de leurs apparats. D'un ton plein de sarcasme, ils demandent aux jeunes femmes si, dans leurs habits de laquais, les deux imposteurs leur plaisent toujours, puis sortent. Les violons demandent à être payés, mais Mascarille et Jodelet n'ont rien. Scène XVI Gorgibus

un valet,
Puis la faire mouvoir, et soudain sous la roue
Voir sortir des lambeaux teints de sang et de boue,
Une tête brisée, un coeur tiède et fumant,
Et ne pas frissonner alors qu'en ce moment
On reconnaît, malgré le mot dont on le nomme,
Que ce laquais était l'enveloppe d'un homme !
              Se tournant vers don Salluste.
Mais il est temps encore ! Oh ! Monseigneur, vraiment,
1460 - L'horrible roue encor n'est pas en mouvement !
              Il se jette à ses pieds.
Ayez pitié de moi ! Grâce