Las Maquiladoras

totalement différent sur le sujet : Bartolomé de Las Casas, un homme d’action, qui soutient le fait que les Amérindiens descendent d’Adam et Eve et Sépulvéda, un philosophe au teint pâle, qui pense que ces Hommes ne sont pas des enfants de Dieu. La controverse de Valladolid, qui se déroule en 1550, c’est donc cette confrontation, ce débat entre deux hommes à l’issue duquel une décision devra être prise. II. Les personnages principaux Bartolomé de Las Casas : Frère dominicain, protecteur officiel

LA CONTROVERSE DE VALLADOLID JEAN- CLAUDE CARRIERE 1992 La scène se passe dans un couvent espagnol , à Valladolid , en 1550. Le pape a envoyé un cardinal pour trancher le débat qui oppose le philosophe Sépulvéda au dominicain Bartolomé de Las Casas . Le dominicain affirme que les Indiens sont des hommes comme les Européens . Sépulvéda , au contraire , considère que les Indiens sont nés pour être esclaves . Eminence (1) , les habitants du Nouveau Monde sont des esclaves par nature . En tout

Auteur : Jean-Claude Carrière Titre : La Controverse de Valladolid Date de publication : 1992 Type : Débat Personnages - Bartolomé de Las Casas : L’un des protagonistes de l’histoire, c’est un prêtre dominicain espagnol. Dans le texte, il dénonce ce que les colons espagnols font subir aux indiens. Tout au long du récit, il s’attache à défendre les Indiens en expliquant qu’ils ont une âme et sont semblables aux humains d’Europe, reniant toutes théories, à propos de leur provenance et

précis, le vrai et le faux, tandis que persuader c'est avec des images, de la sensibilité, des impressions, des intuitions, des possibilités. Dans « La controverse de Valladolid » de Jean-Claude Carrière, opposant deux thèses contraires, Bartolomé de Las Casas utilise la persuasion tandis que Juan Ginés de Sepulveda essaye de convaincre, par la logique et en s'appuyant sur Aristote par exemple. La littérature a également pour rôle de plaire au lecteur, pour que celui-ci ne se lasse pas : elle cherche

va defendre son ouvrage ` ´ ´ ´ ´ face au frere dominicain Bartolome de Las Casas, favorable a ` ´ ` La Controverse de Valladolid 3 un traitement humain pour les Indiens, sous l’arbitrage du legat ´ du pape, Salvatore Roncieri. – La controverse et ses suites Les deux hommes se livrent a une joute verbale, une dispute, ` pendant plusieurs jours, mais finalement aucune decision n’est ´ prise. On peut cependant penser que Las Casas a convaincu son auditoire puisque Sepulveda n’obtient pas le droit

Christ qui avait 12 disciples + lui-même) / des fois on les pendait par les pieds / on les brûle, on les noie. * Les Indiens étaient sans armes * Les indigènes (description) : beaux, intelligents, pacifiques (selon le dominicain Bartolomé de Las Casas) Le peuple (Indiens) agonise. → sont tués à cause de leur péchés La terre est « faite » pour être chrétienne → « tout les peuples sont destinés à être chrétiens » Les Indigènes ne connaissent pas (ou pas bien) la religion chrétienne. Dieu

Reyes Catolicos, en donnant « une image à la fois édifiante et dramatique (…) intéressante certes, mais brossée à très grands traits, sans beaucoup de nuances »14. Parmi ceux qui ont vécu aux côtés de l'Amiral on recense les livres de Bartolomé de Las Casas, Fernand Colomb et Gonzalo Fernández de Oviedo y Valdés. C'est sur ces publications du xvie siècle que se sont appuyés en premier lieu tous les travaux historiques postérieurs et c'est grâce à eux qu'il est possible aujourd'hui de reconstituer

de Valladolid, p.53-54, Las Casas ou l'art de persuader. L'auteur et scénariste , J.C Carrière, écrit La Controverse de Valladolid en 1992, qui à pour sujet, la dispute ayant lieu en Espagne, à Valladolid, en 1550 et 1551. Cette controverse (débats sur les points litigieux de la doctrine), fut mené afin de décider de la véritable nature des Indiens du Nouveau Monde, suite à sa découverte par C. Colomb en 1492. Elle à essentiellement opposée le dominicain Bartolomé de Las Casas et le philosophe

peuples. Ils avaient tendance à minimiser leurs défaites, à glorifier leurs conquête et à noircir le portrait des peuples du nouveau monde en exagérant certaines scènes de cannibalisme pour horrifier les meurs Européens. Certains, comme Bartolomé de Las Casas dans son ouvrage « Très brève récit de la destruction des Indes » minimisent les actes des Aztèques et vont même jusqu’à livrer une image positive d’eux. L’un des principaux récits de conquistadors reste celui de Bernal Diaz qui rédige « L'Histoire

frère ou bien sa sœur et que nous sommes tous égaux. N'ayant ainsi aucun préjugé et étant prêt à aider n'importe quel passant sans y penser deux fois. Mais encore respecter chacun comme son égal, aussi bien que dans La controverse de Valladolid ou Las Casas doit prouver que les Indigènes sont égaux aux colonisateurs, démontrer que eux aussi ont des sentiments, des envies, une âme. Ce qui pendant des décennies a été sans cesse remis en question, en Europe pour les esclaves et les Indiens d'Amérique