Latrie

Crève-coeur. Dans ce poème, les noyés font figure de paradigme de tous les morts que provoque la guerre, mais aussi de métaphore du désarroi: les hommes sont charriés par 1. Le culte de dulie désigne l’hommage rendu aux anges et aux saints. Le culte de latrie, par opposition, désigne l’hommage rendu à Dieu seul. www.SID.ir L’imagologie du féminisme aragonien 65 l’Histoire, comme les noyés le sont par les fleuves. De même, le naufrage est une métaphore aragonienne privilégiée pour désigner

justifie de n'y pas attacher d'importance en ce qui regarde les effets des ma­ riages prohibes par cet article seulement. (52) Trudel, t 2, p. 117 et Pothier (2è éd.) t 3, p. 322. (53) La solution du droit canonique nous a été fournie par le R. P. René Latri- mouUte, o.m.i., professeur à la faculté de Théologie et à la faculté de Droit de l'Université d'Ottawa. Nous avons voulu illustrer te principe, en vertu duquel nous pourrions transposer cette solution canonique dans notre droit civil, te cas échéant

dans sa structure relationnelle et dans sa fonction de cautionnement par un tiers divin. Nombre de définitions plus tardives insistèrent d’ailleurs particulièrement sur cette dimension « transcendante », au point de voir dans le serment « un acte de latrie »36. B. LA RELATIVISATION DE L’INTERDIT INITIAL Cette approche dynamique privilégiant l’effet utile sur une analyse plus descriptive ou plus fixiste des phénomènes juridiques se retrouve dans le traitement réservé au principe d’interdiction du

- Adoration : n. f. 1. Culte rendu à une divinité. THEOL Glorification de la souveraineté de Dieu par le culte de latrie. 2. Passion, attachement extrême. L’adoration d’une mère pour ses enfants. Il est en adoration devant elle. - Affabilité : n. f. Qualité d’une personne affable. Syn. aménité, courtoisie. - Affabulation : n. f. 1. Trame d’une œuvre de fiction. 2. Mensonge, travestissement de la vérité. - Affectation : n. f. 1. Imitation, faux-semblant. Affectation de vertu. 2. Manque de

internes. Il est certain que l’image du crucifix, qui s’impose progressivement dès l’époque carolingienne, est à placer à part et au-dessus des autres, en ce sens qu’elle permet seule le transitus vers l’invisible et justifie l’adoration des fidèles (lâtrie). Viennent ensuite les images des anges et des saints, qui n’ont droit qu’à la vénération (dulie). Entre les deux, l’image de la Vierge se fraie un chemin et se voit attribuer chez Thomas d’Aquin une dévotion spéciale (hyperdulie). Les images en deux

leur dévotions pour les images. Sous sa régence se réuni le Concil de Nicée II 787 (Nicée I : 325) = fixe la doctrine de l’Eglise d’Orient en matière du culte des images. Sur cette base s’est construite la dévotion orientales des icones. Culte de Latrie : (doulie : culte) “On leur offre en signe de vénération de l’encens, lumière ainsi qu’il se pratique pour l’image de la sainte Croix, les évangiles et pour les autres objets sacrées” C- Du second iconoclasme à l’apaisement. 813 : Léon V l’arménien

anthropologie du lien social dans les communautés villageoises, Paris, Bouchène. ˆ ˆ MARINI, Cheikh Abou Ali Ibrahim 1868 « Exposé des événements qui se sont passés à Bougie », trad. de l’arabe par L.-Ch. Féraud, Revue africaine, 70 : 253-256. AL MAS-LATRIE 1886 Relations et commerce de l’Afrique septentrionale avec les nations chréˆ tiennes au Moyen-Age, Paris, F. Didot. MASQUERAY, E. 1882 « Som Djouab-Aïn Bessem-Aïn Bou Dib », Bulletin de correspondance africaine, 5 (sept.-oct.) : 206-261. PHARAON

Taïtoq, au douzième chez les Ahaggar : Afasko et Tifisko signifient le printemps chez les Aouelimmiden et à Tonbouktou, et ce nom a pénétré jusque chez les Dyolofs du Sénégal où Tabaski dya correspond à décembre. ____________________ (1) Cf. De Mas Latrie, Traités de paix et de commerce, Paris, 1868, in-4, p. 14-17, 18-23. (2) Description de l’Afrique septentrionale, p. 76. 40 REVUE DE L’HISTOIRE DES RELIGIONS IV Nous n’avons pas de renseignements précis, en dehors des récits parfois romanesques

culte à la "Vierge Marie". | |Juste une "dulie", une "hyperdulie" à la rigueur mais pas une "latrie"! en gros, un peu plus qu'une vénération mais pas une adoration. Ben voyons! | |Le culte de Marie a officiellement vu le jour depuis le concile d'Ephèse en 431 où son statut

saints ni leurs reliques, c’est vers Dieu seul que montent ses prières. Au XIIIe siècle, les scolastiques  comme Bonaventure(3) ou Thomas d’Aquin, distinguent le culte de dulie, simple vénération qui sied aux reliques comme aux images, du culte de latrie, adoration réservée à Dieu seul. On sollicite les Écritures : les morts « dans le Christ » sont toujours « vivants » (Luc, XX, 38). Même si le corps du saint est mort, son âme vit : il est donc légitime de s’adresser à elle. La guérison miraculeuse