Laurent de Médicis

Florence décadente de la Renaissance dépeinte vaut pour la monarchie de Juillet : après la révolution ratée de Juillet 1830 en France, c'est bien l’inanité de toute action politique que célèbre le "mauvais Laurent" de Medicis (Lorenzaccio en italien) qui, malgré l'assassinat duc corrompu Alexandre de Medicis, son cousin, ne peut éviter le désenchantement propre à l'idéal, toujours inaccessible. Musset délivre le portait d'un jeune idéaliste dont le parcours identitaire à la Hamlet va entrer en crise. Le

peinture, de 16 x 60 cm, à la détrempe sur bois de peuplier. Elle constituait, avec deux autres panneaux, la prédelle (partie inférieure) d’un retable commandé à Andréa Verrocchio, le maître de Léonard, à la mort de l’évêque de Pistoia, Donato de Medicis ; ce qui explique sa petite taille. Cette peinture date de la fin des années 1470. Le premier catalogue du Louvre l’attribue, lui, à Lorenzo di Credi, qui dirigea l’atelier de Verrocchio lorsque celui-ci partit à Venise. Si l’attribution à Lorenzo

d’un cube parfait sur une surface plane.  Tout volume peut être légitimement représenté par une projection graphique. Eglise San Lorenzo. Florence, 1421-(1429). Il s’agit d’une ancienne basilique gothique, reconstruite en église par la famille Médicis. Elle est construite sur un plan longitudinal médiéval. Brunelleschi intègre le système perspectif par la pluridimensionnalité des espaces : la taille des espaces est fonction de la distance de l’œil du spectateur. Dans un premier temps, il va remodeler

Machiavel a offert Le Prince à Laurent de Médicis. L’ouvrage commence donc par une courte dédicace où Machiavel explique les raisons qui l’ont poussé à écrire ce livre. On apprend ainsi que l’auteur veut offrir un présent à son Prince et qu’il a donc décidé de relater, dans cet ouvrage, tout ce qu’il a appris et compris, de par sa longue expérience politique, sur « l’action des grands hommes ». De plus, dans cette dédicace, Machiavel montre envers Laurent de Médicis un respect total, signe de son

CHAPALAIN-WALLIN Membres M. Christophe ASSELBERGH (Perfetti Van Melle) M. Didier CHABERT (Nougat Chabert & Guillot) M. Jacques CHARNAY (Confiserie de Médicis) M. Etienne DOLFI (France Bonbons Caramels) M. François DOUCET (Doucet Confiseur) M. Maurice FARINE (Calissons du Roy René) M. Didier HONNORÉ (Arnaud Soubeyran) M. Laurent LEBLIC (Joyco France) M. Laurent MAGNIN (Kerry-Aptunion) M. Pierre MERMOUD (Noël Cruzilles) M. Henri MUHLBACH (Confiserie Dupont d'Isigny) M. Jean-Pierre NAUSE (Chupa Chups) M.

P.7 III – LE CLIMAT P.8 IV – LES MONUMENTS ET LIEUX TOURISTIQUES P.9 - LE COLISEE P.10 – 11 - LE CHATEAU SAINT ANGE P.12 - LE PONT DU CHATEAU SAINT ANGE P13 - LA VILLA MEDICIS P.14 - LE PALAIS FARNESE P.15 - L’AUTEL DE LA PATRIE P.16 - LE VATICAN P.17 – 18 - LA FONTAINE DE TREVI P.19 V – LA CUISINE ROMAINE P.20 - GRANDS CONSOMMATEURS DE

B) la poésie bernesque La satyre va aussi s’inspirer de la poésie bernesque italienne, caricature tantôt minutieuse tantôt énorme, à la manière du poète Berni. Joseph Vianey la décrit comme « née un jour de mardi gras, dans le siècle de Laurent de Médicis, où l’on concevait la vie à l’imitation d’un carnaval ». On va notamment retrouver dans la satyre française des thèmes spécifiques, dont nous allons reparler. Tandis que les poètes italiens étalent leur misère pour amuser ou émouvoir, les

l’artiste n’est plus considéré comme un artisan. Des hommes comme Erasme (1467-1536) ou Léonard de Vinci (1452-1519) traversent l’Europe à la recherche de mécènes, c’est-à-dire de personnes riches prêtes à financer leurs travaux, comme Laurent de Médicis ou le Pape Jules II. Leur correspondance et surtout l’invention de l’imprimerie par Gutenberg en 1453 permettent la diffusion des idées nouvelles. L’Humanisme et la Renaissance placent l’homme au cœur de la création et de la pensée. Sans

narrateur qualifie de « célestes » les sensations que lui ont procurées les beautés de Santa Croce. Visiter la ville de Florence, c'est aussi, pour le narrateur, visiter les lieux et les tombeaux des hommes les plus importants d'Italie. Ainsi, Laurent de Médicis reflète pour lui la victoire militaire et la politique de paix. Dante, Michel-Ange, Léonard de Vinci représentent pour lui la richesse artistique et culturelle de la ville. Le simple fait de se souvenir de ces hommes et d'être dans leur ville

déménage à Florence en 1566. 

Il dessine des caricatures et, en gaucher, écrit à l’envers en dialecte toscan. Il travaille comme apprenti dans des ateliers d’artistes, sculpteur, peintre, orfèvre et architecte qui s’est distingué à la cour de Laurent de Médicis, dit le Magnifique. Il y acquiert une formation en peinture, sculpture, travaux de décoration. C'est de cette époque que datent ses premières toiles, comme La Madone à l’œillet, L’Annonciation ou l’Adoration des mages en 1481.

La suite de sa