Laurent-Désiré Kabila

des proches du gouvernement. Après 30 ans de pouvoir, le pays est ruiné et la misère est partout. * En 1997, Laurent-Désiré Kabila, un des opposants historiques à Mobutu, l’a renversé. * Le Zaïre est devenu la République démocratique du Congo. --> les conditions du pays ne sont tjrs pas meilleures mais on espère une ouverture politique et du changement avec Joseph Kabila, son père est assassiné en 2000. * La richesse du sous-sol congolais invite des rebelles français, anglais et

gratitude à Monsieur TSHIMANGA BAKALEJA KUAMBA, chef de division des organisations Africaines à caractère politique ainsi que qu'à ses collaborateurs tel que Monsieur ANATOL BOKEMPOSILA, Mademoiselle Mireille LIABA, Madame TSHIBOLA et Monsieur KABILA. Enfin nous saisissons cette occasion pour remercier énormément tous les agents de la Directions Afrique et Moyen Orient. INTRODUCTION Conformément aux dispositions régissant l'enseignement supérieur universitaire et la recherche scientifique

le Rwanda compte du nombre important de déplacés en territoire congolais a été un prétexte pour soutenir des groupes sociaux congolais. C'est ce qui continue de durcir les rapports conflictuels entre les deux pays jusqu'à l'arrestation du Général Laurent Kunda de l'ethnie Tutsi, principale victime du génocide rwandais. Il se développe réellement dans la sous-région de l'Afrique Centrale comme un peu partout dans la plupart des « Etats importés » pour reprendre une expression de Bertrand Badie une

président, Mobutu, qui était allié des Hutus. Tout cela a lieu en 1997. Le but, pour les Rwandais, est de placer à la tête du Zaïre une personne (l’opposant de Mobutu) qui allait pouvoir les aider politiquement (et se laisser manipuler), Laurent Désiré Kabila. Il ne se laisse pas faire cependant. Aussi, en 1998, une guerre éclate : elle oppose la RDC, l’Angola et le Zimbabwe d’un côté, et le Rwanda et l’Ouganda de l’autre. Elle se finit en 2002. On comptabilise 4 millions de morts. 

gouvernement provisoire de Ileo (févr. 1961 à août 1961). C’était la théorie du gouvernement de fait. Les ordonnances-lois du gouvernement Adoula (sept. 1963 à août 1964) fondés par le droit de nécessité. Les décrets-lois du régime Afdl du président Laurent-Désiré Kabila justifiés par la théorie du gouvernement de fait. Le contrôle de constitutionnalité peut être décentralisé ou centralisé. Le système décentralisé est le cas des Etats-Unis où il est porté devant les juridictions ordinaires. A l’occasion d’un

investisseurs peuvent fuir ( voir carte des risques ) Les guerres : En Afrique, en Asie et en Amérique latine de nombreuses guerres aux causes multiples empêchent le développement. Le Zaïre de Mobutu devenu République démocratique du Congo sous Laurent-Désiré Kabila en offre un triste exemple. Cette liste des causes du sous-développement n’est malheureusement pas exhaustive. II Les caractéristiques du monde sous développé. Comment se manifeste le sous-développement dans le monde ? a) La mesure du

institutionnelle […] » Lorsque Mobutu reprend le pouvoir en 1965, c’est, officiellement, pour restaurer l’ordre, sauvegarder et raffermir l’unité nationale. Le même discours sera égrené à l’occasion de chaque tentative de rébellion, et bien sûr par Laurent-Désiré Kabila, à son avènement en 1997, pour justifier la mise à l’écart de son prédécesseur. Depuis, l’on n’est pas sorti de cette dialectique de mystification où le discours officiel est en contradiction flagrante avec la gestion quotidienne d’une autocratie

il en accepte nor malement le gouvernement tel qu'il est, dès lors que ce gouvernement est effectivement en charge. Par exemple, la France n'a pas eu à reconnaître le gouvernement de Laurent-Désiré Kabila après la chute du maréchal Mobutu au Zaïre devenu République démocratique du Congo, puisque Laurent-Désiré Kabila paraissait contrôler effect ivement le pays. En particulier, du point de vue strictement juridique, la qualité plus ou moins démocratique d'un gouvernement ne devrait pas entrer en ligne

le pays. Dès novembre 2005, le président et le personnel de l’ICTJ responsable pour le Congo, ont eu une série de rencontres avec le personnel haut placé de l’ONU, d’éminents diplomates et de hauts représentants gouvernementaux, dont le président Kabila et plusieurs membres de son cabinet, la Coalition congolaise pour la justice transitionnelle (CCJT) et la société civile. La mission aura servi à consolider les travaux du Centre en RDC et à lancer, sur deux ans, un programme de soutien aux initiatives

mais l'existence du terme « ethnie » pour qualifier les deux composantes est dénoncée par certains ethnologues comme une construction historique. L'exil d'une partie des Tutsi vers les pays limitrophes en plusieurs vagues à partir de 1959 et leur désir de retour seront la source de la guerre civile qui éclatera en octobre 1990. Au cours des années soixante plusieurs tentatives peu organisées de retour armé des exilés sont repoussées par le Rwanda et toujours ponctuées par des massacres de Tutsi