Laurent II de Médicis

commandes, stimulant ainsi l’activité culturelle et la création. On peut citer notamment le duc Federico de Montefeltro à Urbino ( doc 4 ), François Ier qui protège Léonard de Vinci, le pape Jules II qui finance les fresques de la chapelle sixtine, mais aussi et surtout Laurent de Médicis , surnommé Laurent le Magnifique. Ils font de certaines villes ou Etats, comme Florence ( doc 1 ), des espaces attractifs qui concentrent les artistes et les humanistes, contribuant à établir un lien entre les deux

César Borgia. Les Médicis ( qui ne sont pas princes ) sont en position de faiblesse à Florence, bien qu’ils soient au pouvoir depuis 1434, grâce à Côme l’Ancien. En 1492, son fils et successeur, Laurent le Magnifique meurt, mais ses successeurs sont incapables de maintenir leur prestige et leur pouvoir. Son fils Pierre II manque d’autorité et est confronté à des factions républicaines qui veulent son départ. Le déclin s’accompagne d’une faillite économique : la banque Médicis périclité en 1494.

AURORE DUDEVANT {RDP 675} DRAMATIS PERSONÆ a |ALEXANDRE DE MEDICIS, grand-duc de Florence. | |VALORI, commissaire apostolique. | |MALATESTA b BAGLIONE, commandant des forces militaires. | |LE CAVALIERE c DE MARSILI |officiers de la maison du Grand-Duc.

Le nom de Machiavel évoque sans doute pour vous un Italien de la Renaissance, un homme astucieux, combinard, et sans moralité. Vous pensez qu’il a sans doute raté sa vie, et qu’il a écrit un livre machiavélique, Le Prince, à l’intention d’un Médicis, pour essayer de rentrer en grâces et d’avoir un emploi. Le mot machiavélique vous fait penser à des combinaisons intelligentes, toujours orientées vers le mal, tortueuses et compliquées, assorties de dissimulation, de mensonges et de diverses

premier rang. L’aisance sociale ainsi que les aspirations culturelles de sa famille était celle d’une famille qui pouvait certes se targuer d’une antique noblesse mais demeurait en contrebas de l’oligarchie florentine. Cependant dans la Florence des Medicis, c’est sur le terrain culturel que se jouent les conflits de prééminence. Le père de Machiavel était avocat et ami du chancelier de la commune de Florence. C’est un lecteur passionné qui achète et échange des livres destinés à l’éducation de ses

1512. Ses dimensions sont de : 280x570 cm. Soit 2,80m par5,70m -Biographie: Michel Ange est né en 1475 a Caprese en Italie. Il est à la fois peintre , sculpteur , poète et architecte. Il est accueilli à l'âge de 14 ans au palais de Laurent de Médicis. C'est le début d'un apprentissage artistique. Il est surnommé le Divin car il bouscule les principes traditionnels de l'art!. On lui doit la Pietà de la basilique Saint Pierre au Vatican. les sculptures de David et de Moïse , une fresque narrant

urbaine et commerciale, et un patronage laïque de l'enseignement, des arts et de la musique. A cette époque, les villes italiennes sont organisées en citésEtats aux aires d'influence étendues. Placées sous le pouvoir despotique de grandes familles (les Médicis à Florence, les Este à Ferrare, les Sforza à Milan, les Gonzague à Mantoue, les ducs d'Urbino, les doges de Venise et les papes à Rome), elles connurent une stabilité et une prospérité économiques favorables au développement des arts. 15ème siècle(Quattrocento)

17 décembre 1600 Bénédiction du mariage d’Henri IV et de Marie de Médicis. Dans la cathédrale Saint-Jean de Lyon est béni en ce jour le mariage d’Henri IV et de Marie de Médicis. Dès la fin du mois de septembre, le 27 pour être précis, naîtra le dauphin Louis. Mais quelque temps plus tard, Henri IV écrira à son ministre Sully : « Je ne trouve ni agréable compagnie, ni réjouissance, ni satisfaction chez ma femme… » Le roi précise encore : « … je suis contraint de dépit de la quitter là et de m’en

tableau sera au centre d’un conflit entre l’auteur et ses commanditaires pendant plusieurs années . Le problème ne sera résolu que par des décisions de justice et les interventions d'amis. À Florence, le travail de Léonard ne passe pas inaperçu. Laurent de Médicis apprend que Léonard a créé une lyre argentée en forme de tête de cheval. Impressionné par son travail, il envoie Léonard à Milan comme émissaire et pour qu'il travaille pour le mécène et duc de Milan, Ludovic Sforza. Il écrit également une

de la seule année 1830, le Camp de Compte, de Loève-Veimars, et les Mécontents, de Prosper Mérimée. Elle eut tôt fait de découvrir, dans les Chroniques florentines de Benedetto Varchi, un sujet dramatique et neuf c’était l'aventure de Lorenzo de Médicis, -Lorenzaccio-, qui, vivant à la cour du duc Alexandre, son cousin, avait, par une longue et savante dissimulation, gagné la confiance de celui-ci et préparé le guet-apens où le tyran de Florence devait trouver la mort. Le vieux chroniqueur s'était