Le Ballet Des Heures De Gérard De Nerval

bord… » ………………………………………………………….. p 7 Jean-Baptiste Chassignet « Hélas ! Qu’est ce de l’homme orgueilleux… » ……………………………… p 8 Jean Auvray A mes amis……………………………………………………………………………… p 9 Evariste de Parny Le ballet des heures…………………………………………………………………. p 10 Gérard de Nerval L’Ennemi …………………………………………………………………………… …. p 11 Charles Baudelaire Chanson d'automne …………………………………………………………………p 12 Paul Verlaine Le Lac ………………………………………………………………………………p 13-14 Alphonse de Lamartine Le Pont

Joins cette jeunesse de l'âme Moi qui laisse fuir comme l'onde A la jeunesse de ton front ! Tout ce qui n'est que vanité, Aime, afin de charmer tes heures ! Je préfère aux biens dont s'enivre Afin qu'on voie en tes beaux yeux L'orgueil du soldat ou du roi, Des voluptés intérieures

baigne dans une atmosphère étrange du réalisme et de surnaturel ,teintée d'ironie , va provoquer la vague du" roman noir" , et inspirer de nombreux écrivains , de Balzac à Gerard de Nerval en passant par l'anglais Leuis . Ce roman a inspiré à Joseph Hazilier un ballet représenté à l'opéra de Paris le 23 Septembre 1840, et un ballet de Roland Petit. D'après l'œuvre de Jaques Cazotte "Le Diable tombe amoureux d'un jeune homme et prend l'apparence d'une jeune fille , la chorégraphie s'articule essentiellement

du Paris populaire devenu un classique. Paris fascine avec une double image : une ville fastueuse et prestigieuse (Stendhal sublime Le Frascati, Balzac chante le boulevard des Italiens, Nerval ou Baudelaire ne jurent que par le Divan Le Pelletier) mais aussi une ville populaire où règne le vice. Gérard de Nerval s'y suicide dans le lieu le plus sordide qu'il ait pu y trouver. Le Paris en mutation d'Haussmann est largement décrit par Émile Zola dans Les Rougon-Macquart (Le Ventre de Paris, Nana, Au

seulement.  Le Tibre seul, qui vers la mer s’enfuit,  Reste de Rome. Ô mondaine inconstance !  Ce qui est ferme est par le temps détruit,  Et ce qui fuit au temps fait résistance. Joachim du Bellay, Les antiquités de Rome Le ballet des heures Les heures sont des fleurs l’une après l’autre écloses  Dans l’éternel hymen de la nuit et du jour ;  Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses  Et ne les donner qu’à l’amour.  Ainsi que de l’éclair, rien ne reste de l’heure,  Qu’au

S.V.T — D’étudier une nouvelle « fantastique » très originale, qui ne répond pas aux canons du fantastique traditionnel et qui mêle étroitement les souvenirs très précis d’un voyage à Pompéi et un rêve d’amour, largement inspiré par l’œuvre de Nerval. Pour compléter les lectures d’extraits, des études transversales doivent être réalisées, soit sous la forme de courts exposés réalisés par les élèves (répartis efficacement dans les séances, et en lien avec les lectures effectuées) soit sous

penser à rien on regarde les cieux… Hélas ! Une voix crie : “En voiture, messieurs !” Gérard de Nerval (1808-1855) Odelettes, 1853 Relais de poste Premier soleil Italie, Italie, ô terre où toutes choses Frissonnent de soleil, hormis tes méchants vins ! Paradis où l’on trouve avec des lauriers-roses Des sorbets à la neige et des ballets divins ! Terre où le doux langage est rempli de diphthongues ! Voici qu’on

soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Ronsard, Les Amours Le ballet des heures Les heures sont des fleurs l’une après l’autre écloses Dans l’éternel hymen de la nuit et du jour ; Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses Et ne les donner qu’à l’amour. Ainsi que de l’éclair, rien ne reste de l’heure, Qu’au

femme, Pour les douleurs et les combats ; Si bien qu'un jour, ô deuil ! irréparable perte ! Le doux être s'en est allé !... - Hélas ! vous avez donc laissé la cage ouverte, Que votre oiseau s'est envolé ! Victor Hugo. Le ballet des heures Les heures sont des fleurs l'une après l'autre écloses Dans l'éternel hymen de la nuit et du jour ; Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses Et ne les donner qu'à l'amour. Ainsi que de l'éclair, rien ne reste de l'heure, Qu'au

Les heures qui passent, la nuit qui tombe et le jour qui se lève et l'idée perpétuel du mot "éternel". Le poème tient aussi le thème du carpe diem. Cependant, pour moi, c'est un message qui dit, profite car le temps pour toi n'est pas