Le Beau Est Il Subjectif

il ne part jamais de rien) la nature lui préexiste. Beauté : agréable, ce qui procure un plaisir des 5 sens, c’est « ce qui plaît »  Subjectif : « ce qui vient du sujet particulier » = ce qui est subjectif est relatif à chacun.  Objectif : « ce qui est reconnu par tous comme vrai/beau » = ce qui est objectif emporte une adhésion universelle. Le beau est un plaisir de l’esprit. L’agréable est un plaisir sensible. Lapsus : je dis qqc qu’il ne fallait pas dire. (de parole et d’audition)

possible de donner une définition objective du beau Le beau est subjectif→ il n’existe aucun critère objectif pour juger du beau. Une solution→ déterminer non pas ce qu’est le beau en tant que tel, mais ce qu’est beau par la reconnaissance par le plus grand nombre, de choses belles. L’ambition platonicienne de définir un concept et des règles universelles du beau → conception « classique » du beau → exigences de perfection, de simplicité, d’harmonie

penserons alors qu’elle nous attire car elle répond à certains de nos critères, mais ces critères se soumettent à des normes sociales, familiales… En effet, si la société nous impose certaines règles par rapport à ce choix à l’origine personnel et subjectif, l’amour devient dès lors une obligation, un devoir. Ainsi, nous nous demanderons ; Le devoir peut-il déterminer notre sentiment amoureux ? Le problème et l’enjeu serait de savoir si l’amour est déterminé.PLAN

c'est-à-dire une conscience réflexive et médiate, par rapport aux sensations et aux excitations du milieu. Mais aussi et surtout un rapport avec AUTRUI (absent pour l’instinct de nutrition).   II- Comment passe-t-on du désir sexuel à l’idéal du beau ?          Cette conscience réflexive et médiate, qui exprime par le biais de l’imagination et la raison, une insatisfaction par rapport à ce qui est semble donc être une PERVERSION pour l’homme puisqu’elle crée en lui du superficiel, du superflu

désignait de nombreuses choses comme l’art de la médecine ou encore l’art du potier. Mais au XVIIIe siècle, on sépare le beau (artiste) de l’utile (artisan) grâce à la création des Beaux-Arts qui sont : la sculpture, la peinture, la poésie, la musique, la danse, l’architecture et le cinéma. Cette institution a pour but de différencier l’art qui vise le beau de l’art qui vise l’utile. Le beau, c’est ce qui provoque un sentiment esthétique, ce qui correspond à la perfection en son genre et qui obéit à certaines

Tandis qu'un jugement est subjectif s'il dépend de la conscience et s'il se rapporte à la personne d'un point de vue particulier. Il est subjectif s'il démontre les passions, les préjugés et les choix personnels de l'émetteur. Un bon film est donc subjectif, car il dépend d'un point de vue particulier de l'émetteur. Il démontre les préjugés et les choix de celui-ci. Par contre, le même émetteur peut avoir un jugement subjectif et se contredire lui-même, car un jugement subjectif est relatif. Il dépend

d'art est une création, le lieu de rencontre entre la matière et l'esprit   l'artiste part de la matière mais il lui donne un sens et l'élève au statut d'oeuvre d'art par son esprit, son génie. Ex : Le vol du bourdon du compositeur Rimsky Korsakov a beau essayer de retranscrire au plus près le vol du bourdon, il reste une création, une oeuvre qui a qqe chose en plus. L'artiste possède en effet un certain génie et la création artistique est inexplicable. Le génie ne peut être communiqué et est un mystère

Il est indéniable que la capacité d’apprécier les belles choses, de prendre du plaisir à la contemplation du beau, est l’un des propres de l’homme. Pourtant, certaines personnes, dans certaines circonstances, semblent être indifférentes à la beauté, ou plus exactement à certaines manifestations de la beauté. La question est donc celle-ci : comment cette apparente indifférence à la beauté doit-elle être interprétée ? La capacité d’apprécier les belles choses peut-elle être brouillée, inhibée, suspendue

des choses et donc s'adresse aux sens, mais aussi à l'émotion, au désir. "Le beau est ce qui plaît sans concept" (Kant). La vérité au contraire concerne directement l'intellect. 2) L'œuvre se donne à interpréter et non à expliquer : les interprétations sont plurielles, multiples, alors que l'explication est unique et tend vers l'Idée. L'interprétation de l'œuvre se fonde sur une sensibilité, un vécu toujours subjectif, répondant à la subjectivité de celui qui l'a faite. II – L'art est une

but étant de faire appel au sensible pour toucher plus de personne possible. Mais, peut-on placer l’art au-dessus de tout ? L’art interroge le pouvoir de l’artiste et son influence sur la société. A travers son art, un artiste engendre la notion de beau ce qui permet de toucher tout le monde et d’apporter un jugement esthétique. Nous allons donc voir dans une première partie que l’art est indispensable mais nous allons aussi constater que l’art n’est pas au centre de tout. I.