Le Beau Et Le Laid Dans L Art

retrouve "sur les planches ", le monde d'en bas. Ces oppositions entre présent et passé sont trés fortes car présentes souvent dans le même vers, comme par exemple dans "Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid". Elles sont accentuées par le jeu des sonorités et des rimes, "volait" qui rime avec "ailé" et "laid" ou encore "planches" avec "blanches". Dans les vers suivants "Laissent piteusement [...] des avirons trainer à côté d'eux", le poète compare les ailes de l'oiseau avec des avirons. Ces

œuvre 1) Le beau 2) Le laid II. L’artiste et la nature 1) Le ressenti de la nature 2) La communication III. Le bonheur de l’artiste 1) Le parallélisme du beau et du bon 2) La transcendance : sublimation 3) Le bonheur provenant de la perception I. Le caractère de l’œuvre 1) Ce texte est précédé d’un extrait de La Charogne de Baudelaire qui constitue la quête du beau à travers la laideur. Ce qui est beau et ce qui est laid n’a pas d’importance

parmi les chacals, les panthères, les lices, les singes, les scorpions, les vautours, les serpents, les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants, dans la ménagerie infâme de nos vices ».Baudelaire réussit à transformer la Boue (le laid) en Or (le beau) en utilisant la laideur du monde et le

voit mais une charogne ! Ainsi, le topos est partiellement détourné[1] : le beau même décomposé laisse place au laid, au répugnant, à l’horrible. Ainsi, Baudelaire substitue à la célébration de la beauté éphémère de la rose et de la femme, la célébration du laid, de l’horrible, de ce qui est mort. Ainsi, Baudelaire pose la question du beau dans l’art : l’art doit-il nécessairement célébrer la beauté ? Peut-on célébrer le laid avec une forme belle ? [ On pourra ainsi se demander comment Baudelaire détourne

agrée, qui plaît au sens. A ne pas confondre avec le beau qui lui est désintéressé, libre et universel. Alors que l'agréable est intéressé, déterminé et particulier. beau : 1. Norme permettant le jugement esthétique ; cf. valeur. 2. Sens concret : objet du jugement esthétique ; ce qui provoque une émotion esthétique par l'harmonie des formes, l'équilibre des proportions. 3. (Par ext.) Ce qui suscite une idée de noblesse, de supériorité morale (un beau geste). 4. Pour KANT, le jugement de goût ne détermine

voit mais une charogne ! Ainsi, le topos est partiellement détourné[1] : le beau même décomposé laisse place au laid, au répugnant, à l’horrible. Ainsi, Baudelaire substitue à la célébration de la beauté éphémère de la rose et de la femme, la célébration du laid, de l’horrible, de ce qui est mort. Ainsi, Baudelaire pose la question du beau dans l’art : l’art doit-il nécessairement célébrer la beauté ? Peut-on célébrer le laid avec une forme belle ? [ On pourra ainsi se demander comment Baudelaire détourne

prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. | MargueriteYourcenar (1903-1987) Comment Wang-Fô fut sauvé des eaux Archives du Nord Alexis ou le traité du vain combat Mémoires

Thème 8 : L’art Introduction : L’art et la technique sont proches. En effet, ars en latin et technê en grec signifient à la fois art et technique. Ainsi, pour ces civilisations, il n’y a pas de différence entre les deux. Cependant, l’art se réduit-il à la technique ou possède-t-il une spécificité qui le définit ? Le beau est-il relatif ou universel ? Y a-t-il une norme du goût ou est-ce que chacun ressent quelque chose de différent ? L’art est-il imitation ou création ? I) La question

Introduction : → « J'aime l'araignée », Victor Hugo, en 1856. → chef de file du romantisme (XIXe siècle) = mvt litt. en rupture avec les règles, le goût et le beau classiques : expression sentiments (poésies lyriques) + expression désenchantement par rapport à la société qui les déçoit(poèmes engagés, expression de leur révolte) → extrait des Contemplations (1856), recueil très connu constitué de deux partie : « Autrefois »/«Aujourd'hui » autour d'une date : le 4 septembre 184 → livre III, 1ere

lyriques et sa technique pour créer un art noble à partir des choses banales qui l'entourent. Ainsi, Charles Baudelaire est considéré comme le précurseur de la modernité poétique. Son recueil LesFleurs du Mal paru en 1857 reflète l'influence du romantisme et du Parnasse hérité du 19° siècle et annonce par la même occasion l'arrivée du symbolisme. Ce recueil reflète un réel dualisme entre le bien et le mal, le beau et le laid que le poète nomme le Spleen et l'Idéal