Le Bleu du ciel

bois de cerf qui compte en tous 9 bois  -troisième plan : une mer calme un ciel bleu mais orageux. - Une forêt de tronc d’arbres s’étend sur les trois plans  -couleurs du premier et du second plan : obscures, sombres, utilisation de nuance marron vert foncé -l’arrière-plan : clair, l’utilisation bleu clair, jaune , un peu de gris. -Des lignes horizontales :la démarcation entre la fin de la forêt et la mer et le ciel . -des lignes verticales qui sont les troncs d’arbres. - son mouvement artistique

transilvanie) - riley (vice-versa) Comment les réaliser ? · Esteban => bermuda bleu marine avec une tunique blanche et une ficelle noire. Tongs. (Pour le médaillon je peux m’en occuper mais il faut me prévenir avant le week-end du 7 mai)· Aladin => chemise ou tunique blanche avec pantalon blanc large. Morceau de tissu marron ou foncé. Veste sans manche violette, noire ou bleue. · Hercule => grand t-shirt marron avec cape bleu. Sandales. · Gru => bas noir, gilet noir, écharpe rayée noire et grise

laissez-moi! Oui je conteste! » Ses yeux fixent le ciel, elle entend l'oiseau bleu, Qui l'appelle, elle se perd aux sentes de la folie , Et pourtant l'âme émerge comme un grand feu, La vie est là qui dénonce des vérités à l'infini... La folie s'approche du ciel et parle d'inconnu, Parfois elle peut s'avérer

yeux Ses yeux où se blottit comme un rêve frileux, Ses grands yeux ont séduit mon âme émerveillée ; D’un bleu d’ancien pastel, d’un bleu de fleur mouillée, Il semblent regarder de loin, ses grands yeux bleus. Ils sont grands comme un ciel tourmenté que parsème - Par les couchants d’automne et les tragiques soirs - Tout un vol douloureux de longs nuages noirs ; Grands comme un ciel, toujours mouvant, toujours le même Et cependant des yeux, j’en connais de plus beaux Qui voudraient sur mes

Partie 1 Présentation d’un texte littéraire représentatif du mouvement symboliste : « Le Mal » d’Arthur Rimbaud Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu'une folie épouvantable broie Et fait de cent milliers d'hommes

grande cité proche de la mer, est constamment doublée, dominée par l’épopée chantante, obstinée, orgueilleuse, de la race que les maîtres d’autrefois avaient cru vaincre. Lalla, enfant du désert, est fascinée par l’apparition d’un mystérieux homme bleu, qu’elle nomme Es Er, c’est-à-dire " le Secret ". Aussi la puissance de la nature et des légendes, son amour pour le Hartani, un jeune berger muet qui lui fait découvrir son corps, ensuite une évasion manquée vers " leur " désert, avant l’exil à Marseille

à oublier leur passé amoureux et répond d’un ton blasé à ses questions. Entre les vers 13 et 14 on peut penser que le poète utilise une antithèse car l’un parle de « ciel bleu » et d’ « espoir grand » alors que l’autre parle de « ciel noir » et d’ « espoir fuyant et vaincu ». Le ciel bleu peut représenter la vie tandis que le ciel noir la mort. La troisième strophe, c'est-à-dire les deux derniers vers du poème nous rapportent vers l’idée que les deux personnages sont des fantômes puisque « seul

attaquée. Mais idée d’un nuage montre pas seulement éléments de figure mais aussi de paysage, y compris dans les mêmes motifs. 3. Éléments de paysage Tout d’abord dans les motifs annexes. – morceau de ciel bleu en haut à gauche – représentation de la montagne avec deux sommets au même endroit. Arc lui-même reprend le thème de la montagne – tache rouge comme le soleil – traînées lumineuses blanches qui faisaient ressortir

l'optique, le dipôle "rayonne plus dans le bleu que dans le rouge". Ceci permet notamment d'expliquer la couleur bleue du ciel : Les ondes lumineuses issues du soleil transforment les molécules d'air en dipôles oscillants ( qui absorbent donc l'énergie de ces ondes ) et réémettent eux-mêmes des ondes lumineuses. Or cette diffusion est plus importante dans le bleu que dans le rouge : le ciel nous paraît bleu. La lumière directe issue du soleil, elle, s'appauvrit en bleu, et si l'épaisseur d'air traversée

Gogh quitta Paris pour le Sud de la France où il peignit des paysages et des scènes de genre de la vie méridionale. L'artiste, installé à Arles, commença à employer des touches courbes, tourbillonnantes et des couleurs pures : le jaune, le vert et le bleu en particulier. En mai 1890, l'artiste quitta le Midi et rejoignit son frère Théo à Paris. Il s'installa non loin de là, à Auvers-sur-Oise. C’est là que le 27 juillet 1890, il se tira un coup de revolver et décéda deux jours plus tard. Cette