Le Bon Marché

est fondateur du naturalisme, -procédé d'écriture consistant à étudier un milieu puis à y intégrer des personnages et à les observer de manière scientifique- il a donc étudié et fait des recherches sur les grands magasins, et spécialement sur Le Bon Marché, un de ces énormes commerces. Cette documentation lui a permis de nous décrire très précisément le bâtiment. Il nous parle de « l'énorme charpente métallique », d' « escaliers suspendus », de « ponts volants » mais aussi de « feux électriques »

d’application, mises en œuvre , séparément ou conjointement, par les distributeurs et les producteurs , en vue d’accroître la rentabilité du point de vente et l’écoulement des produits , par une adaptation permanente de l’assortiment aux besoins du marché, et par la présentation appropriée des marchandises. » Pendant des années le seul point de négociation était le prix, mais les relations fabricants-distributeurs ont évolués. Aujourd’hui, chaque élément compte pour la négociation. Le merchandising

marchandises, mais aussi d'accueillir une clientèle qui déambulerait librement. C’est Aristide Boucicaut qui ouvrira le premier Grand Magasin en 1852 : Le Bon Marché. A ) Le Bon Marché Aristide Boucicaut, normand, monte à la capitale en 1835 et crée une véritable révolution commerciale. En 1852, il s’est associé à Justin Videau, propriétaire du Bon Marché, petit commerce à l’angle de la rue du bac dans le 7ème arrondissement. A cette époque, tout était plié, empaqueté, ficelé sur des étagères ou

 Aristide Boucicaut : Le Bon Marché À Paris, en 1852, Aristide Boucicaut ouvre Le Bon Marché, premier grand magasin au monde. Toutes les femmes accourent, se pressent pour découvrir ce lieu magique ou l’abondance prospère. Pour les bourgeoises de cette époque, Le Bon Marché est le paradis : Elles quittent leur foyer et sortent seul de chez elles (ce qui n’est pas courant au XIXème siècle). L’apparition du magasin est un tel choque, que l’écrivain Émile Zola décide de lui consacrer un

entrepreneur et un homme d'affaire. Il débuta sa carrière dans le commerce dans la boutique de son père comme commis chapelier. En 1845, il rencontra les frères Videau à Paris et se mit à travailler dans leur mercerie fraîchement ouverte appelée « Au Bon Marché », située à l'angle de la rue de Sèvres et de la rue du Bac. Les frères Videau et Aristide Boucicaut décidèrent de s'associer en 1852 et créent une nouvelle société « Videau Frère et Aristide Boucicaut » dans laquelle ils réinvestissent tous les

première fois de sa vie, manque l’arrivée de la limousine du patron, M. Roedel. Il faut plusieurs coups de klaxon avant que le vigile se précipite pour ouvrir la grille. Pendant la pause de midi, Jonathan réserve et paie une chambre dans un hôtel bon marché. Il mange assis sur un banc de square. Il aperçoit un clochard à l’endroit de qui il a éprouvé une certaine jalousie, il y a trente ans, jusqu’au jour où il l’a vu déféquer dans la rue. Jonathan s’étonne que le clochard semble si à l’aise, si parfaitement

1852 : Aristide Boucicaut ouvre sa première boutique de nouveauté à Paris. 1869 : Ouverture du Bon marché, le plus grand magasin du monde à l’époque 1887 : Une architecture novatrice utilisant le métal en faisant appel à Gustave Eiffel pour l'extension du magasin Un univers décrit par Emile Zola dans son roman « Au Bonheur des Dames » Principales innovations apportées par le Bon marché : L'entrée est libre La marchandise est visible Les produits sont garantis, repris échangés

Déléguée générale de l’Action Artistique de la Ville de Paris Le Bon Marché, (détail), Félix Vallotton, huile sur carton, 1898, Collection privée © Fondation Félix Vallotton, Lausanne Caroline François Presse Florence Claval Contact : Action artistique de la Ville de Paris 25, rue Saint-Louis en l’Ile 75004 Paris tel : 01 43 25 30 30 fax : 01 43 25 17 69 www. aavp.com mail : florence.claval@aavp.com Commissariat Le Bon Marché, (détail), Félix Vallotton, huile sur carton, 1898, Collection

PRINTEMPS (groupe PPR), le BON MARCHE, la SAMARITAINE (groupe LVMH), les GALERIES LAFAYETTE et le BHV (groupe GALERIES LAFAYETTE). Et le flagship de la rue de Rivoli n’a pas à rougir de ses performances : en effet, avec ses 35000 m², le BHV Rivoli est le 3ème plus grand magasin parisien et français, derrière les GALERIES LAFAYETTE Haussmann (58000 m² depuis l’ouverture du LAFAYETTE MAISON) et le PRINTEMPS Haussmann (43000 m²), mais devant la SAMARITAINE (32000 m²) et le BON MARCHE (30000 m²). En outre

«les grands magasins ».Ces établissements offrent de vastes espaces d'exposition pour une production industrialisée. Les grands magasins inaugurent l’ère de la consommation. Sous le second empire, les premiers grands magasins ont été créés, comme le Bon Marché et la Samaritaine. A la différence des petites boutiques, les clients y trouvaient un choix important d'articles et devaient se servir eux-mêmes.  La création des grands magasins impose de nouvelles techniques de vente dans le commerce de détail :