Le Bon Sens Est La Chose Du Monde La Mieux Partage De Descartes

parce-que le culturel est construit est construit et transmis, il est donc fragile : « Il faut cultiver son propre jardin » Voltaire, Candide ---> le travail est le fait de vouloir repousser les lois de la nature ou de leur imposer quelque-chose. En même temps qu’il édifie, l’homme doit transmettre puisque la culture n’est pas instinctive : * éducation Culture = artificiel | Naturel = donné | ARTConstruit – transmis TECHNIQUE TRAVAILEDUCATION

organisation, il faut 3 conditions réunis à la fois : l'organisation a son but propre à elle : ce but n'est pas la somme des buts de tous les salariés, c'est le but de l'organisation globale. Ex :- Hôpital→ petit hôpital : soigner les gens le mieux possible avec le plus de sécurité possible = obligation de moyen → grand hôpital : un 2ème but propre en plus : assurer la formation des futurs médecins (ex : Necker) - Université : 2 buts propres : former les étudiants

faire. » Le livre où Renan fait ce constat s’intitule l’Avenir de la Science. C’est, en effet, le développement de la science qui a conduit les hommes modernes à se considérer comme modernes et à substituer dans leur appréhension d’eux-mêmes et du monde la catégorie du 5 « Philosophie et modernité processus au concept d’être. C’est l’augmentation de la masse des arts et des sciences qui, deux siècles avant Renan, en 1620 très exactement, a fait dire à Francis Bacon : la vérité est fille

    Introduction le sens et les enjeux d'une réflexion intitulée « la recherche du bonheur », s'appuyant sur les trois œuvres au programme.   I — analyse sémantique et conceptuelle des termes composant l'intitulé du thème 1- Définitions du terme « bonheur », des termes associés et opposés 1.1- La notion de bonheur s'inscrit dans le double registre de la contingence favorable et des fins de l'existence : les leçons de l'étymologie « bonum augurium ».1.2 - Distinguons le sens faible et le sens fort de bonheur :

matières Sentiments, passions et signes (1926) Avant-propos Par Alain, le 16 mai 1926 Retour à la table des matières Quand on revient de la campagne immobile, où chaque chose semble fermée sur soi et existant pour soi, la tremblante bordure de l'eau marine signifie quelque chose. Car elle ne cesse point d'avancer et de reculer, dessinant des îles et presqu'îles, couvrant et découvrant, selon vent et marée. Toutes les choses sont en une ; toute la mer pousse et retient l'extrême

fait de penser ? « Par la pensée nous prenons conscience de l'être, mais inversement il faut déjà exister pour penser », Jankél. Tout être vivant de par son existence est amené à penser, c’est le « cogito ergo sum » de Descartes, le « j’existe parce que je pense » de Sartre, mais en renversé. « Penser, voilà le triomphe vrai de l’âme » écrivait Victor Hugo, penser, voilà le triomphe vrai de l’Homme, pourrait-on dire. Contrairement aux animaux, pour qui l’on peut douter de

plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver à combler tous les désirs (=atteindre le bonheur). Leur conduites pourraient donc être moralement bonnes. ex. Les pays développés ont plusieurs machines qui leurs permettent d’accéder à un mode de vie supérieure. LEVI-STRAUSS : Dés qu’une civilisation n’est pas très développée sur le domaine de la technique, on a tendance à la marginaliser. Cependant

cet écrit est un résumé incomplet du livre « Le monde de Sophie » extrait de prises de notes, cela ne constitue pas un syllabus de philosophie. Deux questions philosophiques  Qui es-tu ?  D’où vient le monde Qu’est-ce que la philosophie ? p. 25 Savoir qui nous sommes et pourquoi nous vivons ? Le meilleur moyen d’aborder la philosophie, c’est de poser quelques questions philosophiques : Comment le monde a-t-il été créé ? Y a-t-il une volonté ou un sens derrière ce qui arrive ? Comment faut-il vivre

De l'illusion désirante à l'illusion délirante Commentaire d'un texte de Freud tiré de « L'avenir d'une illusion » Texte de Freud: "Quand je dis : tout cela, ce sont des illusions, il me faut délimiter le sens de ce terme. Une illusion n'est pas la même, chose qu'une erreur, une illusion n'est pas non plus nécessairement une erreur. L'opinion d'Aristote, d'après laquelle la vermine serait engendrée par l'ordure — opinion qui est encore celle du peuple ignorant —, était une erreur ; de même

n’est pas moins impérieux que celui de manger à ma faim, s’il peut même s’avérer plus impératif (le monde ne manque pas d’actrices que les exigences de la célébrité auront contraint à rester affamées leur vie durant), il est bien évident qu’on ne saurait mourir d’être un parfait inconnu, lors même que la famine peut facilement vous ôter la vie, pour peu qu’on s’y obstine. Mais alors, on peut à bon droit se demander s’il n’existe pas des désirs plus naturels que d’autres : à l’évidence il y a des désirs