Le Bonapartisme De

par Marie-Louise où il vécut près de son grand-père, l'empereur François II, sous le nom de duc de Reichstadt. Napoléon Ier abdiqua en sa faveur après Waterloo mais les vainqueurs refuseront de reconnaître sa légitimité. Isolé des partisans du bonapartisme, il mourut de la tuberculose. Le destin de celui qu'on appelait l'«Aiglon» contribua à entretenir la légende napoléonienne. Il inspira une pièce à Edmond Rostand. LE PORTRAIT ANTIQUE COMME MODELE : Le portrait fut la grande réussite de la statuaire

révolutionnaire avait engendré les excès de la Terreur puis avait servi de tremplin à Napoléon Bonaparte qui avait instauré un régime autoritaire qui bafouait les libertés publiques. Or au milieu du XIXème siècle la IIème République mène à nouveau au Bonapartisme. Alors même qu'ils acceptent l'idée démocratiques les libéraux rechignent à penser que République et liberté puisse être compatible, pourtant sous le Second Empire les libéraux français vont finir par se rallier à la République. Section 1 : des

gestes des familles royales, des aristocrates réels ou supposés, connaît un succès éditorial sans précédent, même s’il est de bon ton de manifester son désintérêt total pour ce type de méchante littérature ... 2. La monarchie dénaturée : le bonapartisme : La tentative de Napoléon Bonaparte repose sur un compromis entre les souvenirs monarchiques et les principes démocratiques consacrés par la révolution, d’où l’hérédité, le sacre, mais aussi la souveraineté nationale, l’association du peuple

Fonctionnements et dysfonctionnements des institutions républicaines Tension croissante entre le président de la république et la législative, qui va se transformer en conflit, donnant lieu au coup d'état. 1° Les 1ères manifestations du bonapartisme présidentiel En avril 1849, Louis Napoléon Bonaparte a envoyé un corps expéditionnaire en Italie, afin de jouer un rôle de médiateur entre le Pape et les républicains romains qui avaient chassé le Pape de ses Etats. Bonaparte souhaite éviter

Les oligarchies clientelistes: dans un certain nombre de régimes il n'y a pas d'E assez fort pour arbitrer les conflits, les liens se tissent entre des propriétés terriens et une clientèle qui est mise sous coupe sur la base de corruption. - Le bonapartisme ou les "dictatures populistes ": des régimes ou il existe une grande prééminence de l'exécutif et forte présence validée par le peuple. - Les bureaucraties: sont crées sous l'éphigie de l'E, des corps intermédiaires où se déroule la production

et non pas absolue . On retrouve des personnes comme guizot . La restauration a aussi quelques phases : 1815 , Majorité des ultras , c'est «  la chambre introuvable » , c'est aussi l'époque de la térreur blanche ( assinat des anciens bonapartisme . 1820 , l'assasinat d'un duc , qui provoque le retour des ultras au pouvoir . Entre temps , la pratique parlementaire s'est développée , le roi tient chaque année devant le parlement , un discours du trône . On met en place un droit

élitiste et entend faire gouverner les plus sages. Cette famille est « girondine », elle est pour un pouvoir fort localement. Elle tend plus vers la liberté que vers l’égalité. On retrouve cette droite dans le centre-droit (VGE) La dernière est le bonapartisme. On l’a inauguré avec Bonaparte, puis son neveu. On le retrouve plus tard dans le gaullisme. On va vers un libéralisme affaibli (économie d’état interventionniste). Cette famille est attachée vers l’ordre public. On a aussi l’idée du populisme

lors de chaque élection. La vie politique est particulièrement dure, et parfois violente. Le caractère autoritaire du général de Gaulle et sa volonté d’un dialogue direct avec le peuple permettent à certains (R. Rémond) d’établir un lien avec le bonapartisme. La phase libérale est brève, et commence à certains égards sous la Présidence Pompidou tout en correspondant principalement au mandat du Président Giscard d’Estaing (1974-81). Elle se caractérise par une volonté d’apaisement et d’ouverture (respect

« des tendances pro-pétainistes, soit qu’elles aient été envoûtées par la magie du verbe maréchaliste, soit qu’elles aient été convaincues de son impact dans l’opinion ». René Rémond (Les Droites en France) préfère rapprocher le RPF de la lignée du bonapartisme et duboulangisme, tout en observant que le RPF est, dans l'histoire du gaullisme, l'épisode le moins éloigné de « ce qu'en France on a l'habitude de qualifier de fascisme ». Après un grand succès en 1947-1948 (35 % des suffrages aux municipales

par la corruption, il défend l’honnêteté en politique : il sera le chef d’une république « forte et pure ». - Afin de rassembler les nationalistes, il promet qu’il sera le libérateur de l’Alsace Lorraine. - Afin de séduire les partisans du Bonapartisme, il prétend qu’il sera celui qui « domptera l’assemblée grâce à son armée » (le descendant de Bonaparte lui offre son soutien). - Il promet qu’il sera celui qui rétablira la monarchie après s’être rendu maître de la république (il reçoit le financement