Le Bonheur Commun

et Leibniz : pour le premier les animaux sont dépourvus de toute appréhension  mentale de leur environnement tandis que le second estime que l’homme et l’animal ont en partage  la perception   (les  » petites perceptions  » inconscientes leur sont communes) tandis que la conscience les sépare. Aujourd’hui les neurologues et les philosophes rejettent globalement la position cartésienne, tout en reconnaissant à quelques exceptions près que l’intentionnalité est la condition de possibilité d’une forme

il ya le bonheur alors... (trouver cette notion). Si on parle de quelque chose (bonheur) → qu'est ce qu'il applique bonheur= satisfaction des désirs publicité → incite les gens à acheter sociétés de consommation afin de stimuler → stimulation du désir « ayez le plus de désirs » Au contraire pour etre heureux, il faut peu et se contenter de ce que l'on a. Le problème est de savoir ce qui va nous permettre de satisfaire nos désirs. Qu'est ce qui est indispensable à notre bonheur? Paraissent

dommage publique. Chaque individu compte. En effet, il met en avant le bonheur de l’individu, une défense de l’individualisme face au conformisme de l’opinion publique. Il cherche une certaine séparation des sphères privée et publique, entre le bonheur privé et le bien public, il défend une vie individuelle face à l’interférence des autres individus. Le fait de connaître la vérité apporterait alors la confiance et le bonheur, et ce bonheur individuel est à l’origine du bien public, principe de l’utilitarisme

LA LUCIDITE EST-ELLE UN OBSTACLE AU BONHEUR ? Lequel d’entre nous n’a pas souhaité, à certaines occasions pénibles de son existence, pouvoir oublier ses soucis pour savourer la vie dans une bienheureuse insouciance ? Profiter de l’instant présent sans s’inquiéter de l’avenir ni des autres, n’est-ce pas le moyen le plus efficace et rapide d’atteindre le bonheur ? Si le bonheur dépend souvent de circonstances dont nous ne sommes pas les maîtres, il relève aussi de notre disposition intérieure. Envier

de l’homme : Est-ce de trouver le bonheur et de vivre heureux ? Pour l’auteur, le problème réside alors dans la découverte de l’objectif de l’homme dans ce monde, sa raison d’être. Autrement dit, peut on trouver quelque chose de fondamentale qui donne un sens à toutes les autres choses ou actions. Cet objet serait pour Hobbes l’objet du désir. Si l’on résume le cheminement de Hobbes, nous sommes des êtres de désir ; nous ne désirons pas le bonheur : le bonheur c’est au contraire la capacité de désirer

éléments de philosophie, « les passions »,chapitre 1 « du bonheur et de l’ennui » de alain (XXème). Ces trois textes ont pour but de nous faire réfléchir sur ce qu’est le bonheur et aux différents moyens qui peuvent être mis en œuvre pour l’atteindre. Ces trois auteurs ont une conception différente du bonheur, pour La bruyère le bonheur est inné et se transmet « l8 L’homme qui se dit qu’il n’est pas né heureux pourrait du moins le devenir par le bonheur de ses amis ou de ses proches ». Diderot choisis dans

heureux a-t-il besoin d'amis ? Cette question peut sembler oiseuse : qui, se découvrant heureux, déciderait de rompre avec ses amis ? Mais elle en cache une autre : être heureux, est-ce se suffire à soi-même ? Il est logique de le penser, puisque le bonheur est pleine réalisation de soi-même. Mais dès lors, l'amitié devient superflue. Est-ce à dire que les hommes ne vivent ensemble et ne s'apprécient que parce que les échanges sont nécessaires, voire pour supporter leurs malheurs ? C'est contre cette

Aristote Première partie : le bien suprême Introduction : L’objectif de la vie est le bonheur , c’Est-ce que disent la masse et les personnes de marque. Pour eux , avoir une vie de qualité ou réussir c’est être heureux. Aristote demande ce que c’est que le bonheur ? La masse ne sait répondre à cette question et ils n’apportent pas la même réponse que les intellectuels. Opinions sur le bonheur : Pour certains c’est le plaisir , la richesse ou l’honneur , mais la réponse varie : par

BONHEUR Semble être le bien suprême auquel aspirent les hommes. Semble dépendre de la fatalité et du hasard. Définit comme un état durable de complète satisfaction et d’harmonie. Pour savoir ce qui procurer satisfaction il faut en faire l’expérience. La sensibilité diffère d’un homme à un autre et varie au cours de l’existence. Bonheur=> idéal de l’imagination Le désir est un manque et donc souffrance Schopenhauer=> souffrance essence de la vie. La satisfaction est éphémère

effet à la ligne 13 il est dit que dès qu’il avait un peu d’argent leur bonheur commun semblait indestructible cependant, à contrario, ils pouvaient se disputer pour une centaine de franc. Le bonheur de l’un ne dépend pas de celui de l’autre, ici le bonheur commun dépend de l’argent et de la consommation. Le couple est victime de la société dans laquelle il vit, c’est à dire la société de consommation, en effet leur bonheur ne dépend plus que de ce qu’ils achètent, ils sont malheureux ensemble