Le Bonheur Dans Les Liaisons Dangereuses

comme ses lettres. Dans des cas plus prononce la lecture permet une immersion dans des milieux, temps distant on des rencontres avec des personnages célèbres, cela offre une perspective unique pour influencer notre conscience. La lecture des Liaisons Dangereuses, nous rapproche d’un temps relativement distant et des libertins, ce rapprochement modifie notre image de l’amour classique. Les auteurs armés de leur plume se servent de deux méthodes pour embusquer la conscience des lecteurs, persuader et

oeuvres de nature très différente : essais politiques et philosophiques, récits galants ou satiriques,romans de moeurs, comédies mondaines. Voir entre autres Montesquieu, Voltaire, Rousseau, Diderot (La Religieuse; Lettre sur les aveugles). Les Liaisons dangereuses (1782) à côté du Mariage de Figaro de Beaumarchais (1784). → Signe d’un formidable développement de la production littéraire. Eclatante victoire de l’écrit dans ce siècle de la conversation! Tout le monde écrit : nobles, bourgeois, fils

Dissertation ; Idées et Exemples. Le Personnage de Roman : Octave Mouret dans Au Bonheur Des Dames (Zola) à la fin : contemple son magasin qui a su donner une nouvelle dimension au commerce avec la satisfaction d’un général vainqueur. Georges Duroy dans Bel-Ami (Maupassant) à la fin : connaît un succès fulgurant au niveau des femmes et de sa carrière et anoblit son nom en Du Roy. C’est aussi l’archétype de l’antihéros. Julien Sorel dans Le Rouge Et Le Noir (Stendhal) à la fin : sa propre

dénoncent le despotisme et l’esclavage de différentes manières. En effet, certains rédigent des essais théoriques, d’autres des œuvres littéraires (les contes philosophiques de Voltaire). Les œuvres d’inspiration libertine se multiplient comme Les liaisons dangereuses (1782) de Choderlos Laclos, cette liberté que revendiquent ces philosophes s’appliquent également aux mœurs. Egalité : « Aucun homme n’a reçu de la nature le droit de commander » (article « autorité politique », Encyclopédie). Effectivement

plus juste, dégagé des préjugés de classe et du poids de la religion. En opposition avec l'austérité qui marque la fin du XVIIe siècle, il réhabilite aussi l'idée du bonheur individuel et du plaisir. Ainsi est-il également le siècle de la passion (l'abbé Prévost, Manon Lescaut), du libertinage (Choderlos de Laclos, les Liaisons dangereuses) et de la débauche (Sade, Justine ou les Malheurs de la vertu). Extrait du corrigé : ROUSSEAU : l'État, expression de la volonté généraleSelon Rousseau, les hommes

En 1782, la publication des Liaisons dangereuses rend célèbre, par le scandale qu'elle provoque, un auteur jusque là inconnu, Pierre Choderlos de Laclos (1741-1803). Il est vrai que l'œuvre révèle un certain mépris pour l'aristocratie, classe privilégiée dans la société d'ordres de l'Ancien Régime dont. Dans ce roman épistolaire, Laclos déploie toutes les ressources de la correspondance pour dénoncer le libertinage de mœurs pratiqué par une aristocratie en déclin et bâtir, dès cette lettre II, une

de maladie donc de souffrance. En effet les passions qu'il implique peut nous mener à notre propre perte. A l'instar de Dom Juan le désir peut maintenir l'homme dans un état de compulsion. Ainsi, une fois l'objet de notre désir acquis, la joie, le bonheur ou la satisfaction que l'on peut ressentir pour avoir posséder un instant l'objet de notre désir est éphémère. C'est de très courte durée, on s'empresse à trouver un autre objet de désir pour oublier le précédent. Ainsi nous essayons d'éviter et d'ignorer

1. Crime et châtiment – Dostoïevski 2. Madame Bovary – Flaubert 3. Guerre et paix – Tolstoï 4. Le journal d’un curé de campagne – Bernanos 5. Les liaisons dangereuses – Laclos 6. Les faux monnayeurs – Gide 7. Le maître et Marguerite – Boulgakov 8. Le lys dans la vallée – Balzac 9. La pitié dangereuse – Zweig 10. Portrait de femme – James 11. Quatre-vingt-treize – Hugo 12. Le choix de Sophie – Styron 13. L’éducation sentimentale – Flaubert 14. Belle du seigneur – Cohen 15. L’idiot – Dostoïevski 16

Leur enfant, Paul et virginie, qui ont vécu ensemble depuis leur naissance, s’aiment tendrement. Mais le dénouement est tragique : Virginie au retour d’unséjour en France, se noie accidentellement. Saint-Pierre veut montrer comme Rousseau que le bonheur dépend de la vertu et que celle-ci n’est parfaite que dans un état de nature. Donc, les thèmes

de sentiments : ceux qui procurent du plaisir, et ceux qui, au contraire, alimentent un déplaisir. Cette scission semble naturelle et est parfaitement représentée par la formule populaire qui dit que si le malheur rapproche les êtres humains, le bonheur les divise. Cela peut s’expliquer par la jalousie occasionnée par l’obtention du bien-être, alors que le malheur des autres touche la part de pitié présente en chacun. Sans s’éloigner trop du sujet, cette dichotomie entre ces deux types de sentiments