Le Bonheur Dans Les Liaisons Dangereuses

(soirée à l'Opéra). Le ridicule est partout dans ce monde de province, dont le romancier reproduit les propos stupides dans un style indirecte qui conserve les termes, l'accent, le rythme de la parole directe. Ridicule aussi l'héroïne, pour qui le bonheur et les grands sentiments sont fonction du décor. Flaubert écrit même "Madame Bovary, c'est moi, d'après moi". Dans l'Education Sentimentale, Flaubert dépeint le tableau quasi autobiographique d'un ménage à trois. Roman d'apprentissage sentimental

et de nombreux poèmes a allié à la fois ambition, longévité, puissance de travail et génie, ce qui ne pouvait que concourir à ce mélange de fascination et d'irritation qu'il suscite encore aujourd'hui. Il écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs et malheurs de la vie. Victor Hugo était un travailleur acharné. Entre 1827 et 1830 Victor Hugo s'affirme comme le chef du romantisme grace notemment a laPréface de son drame Cromwell et avec la représentation d'Hernani, qui est l'occasion d'une

question du sens de notre vie sur terre, de notre devenir, et de la valeur que l'on peut accorder aux biens matériels ou spirituels. Tout le xviiie siècle (avec en particulier Voltaire, ou Diderot) s'attache à cette question en la posant sous l'angle du bonheur : les philosophes des Lumières combattent une religion répressive et autoritaire, et posent des valeurs nouvelles. 2. L'individu et la société Réfléchir sur l'homme, c'est aussi réfléchir sur la société dans laquelle il s'insère. En effet, l'homme

à celui de Lieutenant des hussards grâce à son pouvoir de séduction et son emprise sur les femmes. Les héros peuvent aussi se différencier des autres par leur personnalité, comme le fait Madame La Marquise De Merteuil dans Les Liaisons Dangereuses(1782) de Laclos. Elle possède un don de manipulation sur les hommes mais cache sa facette libertine sous un masque de vertu : elle réussit à convaincre Valmont, séducteur invétéré de rompre avec la seule femme qu’il ait jamais aimée. La marquise

progrès, cherchent bonheur terrestre Baron de Montesquieu, précurseur de la sociologie, veut libéralisme, Les Lettres Persanes Voltaire, Lettres, Candide Denis Diderot, Encyclopédie (théorique et pratique, dangereux d’après l’Église) Jean-Jacques Rousseau, « Tout homme naît bon, c’est la société qui le corrompt » Les Confessions, Le Contrat Social, Émile (comment éduquer un enfant) Renouveau des Genres  littérature changée par la philosophie Thème : recherche du bonheur terrestre (individuel

personnages en marges)De plus, le mot « plaisirs » est suivi d’un « s » qui montre que le parcours s’intéresse aussi aux plaisir que le personnage cherche à travers son opposition à l’ordre social. En effet, les personnages sont souvent en quête de bonheur et c’est en partie pour cela qu’il se mettent contre l’ordre social.II- Biographie de l’auteur III- Contexte historiqueLe roman-mémoires Manon Lescaut fut publié en 1731 en Hollande et 1733 en France.1-Le contexte politiqueLe

1 L’arbre est le fil conducteur de la première partie de l’œuvre : échos de la présence de cet arbre. P 10 et 11 : le descendant de V lit dans le jardin près de l’arbre. P 33 Frédéric II, voit l’homme « dénaturé » sous le hêtre de la scierie. Bonheur de cet homme qui vient sereinement d’assassiner. P 36 37 : automne sanglant M 312. P 38-39 description du hêtre surnaturel. P 63-64 l’arbre charnier dans lequel Frédéric découvre tous les cadavres. 2 L’arbre est donc lié au meurtre et au sacré

........................................... p. 264 Séquence 3 – La question de la femme au XVIIIe siècle ...................................................................................... p. 281 Séquence 4 – Les passions et l’aspiration au bonheur ..................................................................................... p. 297 Pistes de lecture.......................................................................................................................................

frivolité. À cette époque, les débauches de l'aristocratie furent considérablement exposé au peuple. Les aristocrates étaient avide de conquêtes incessantes et grandissantes, c'est pourquoi on les qualifia de libertins. L'oeuvre de Laclos, Les liaisons dangereuses, représente en toute forme ce que représentait l'amour précèdent le romantisme. En raison des nombreux bouleversements dans le siècle du romantisme, le besoin accru d'exprimer ses sentiments est délibérément très présent. L'écrivain, le peintre

hommes Dans cette même séquence, Mme de Rosemonde énonce de manière rapide ce qui est plus développé dans la lettre 130 : "Croyez-vous donc que les hommes sachent aimer comme nous ? Non. Ces messieurs jouissent du bonheur qu'ils reçoivent. Mais nous, nous ne jouissons que du bonheur que nous offrons. Ils sont incapables de consacrer leur amour et leurs soins exclusifs à une seule personne. Rêver d'être comblée par l'amour, ma chère fille, cette illusion ne cause que des souffrances". Cette théorie