Le Bonheur Divin Aristote

PLAN DE L’EXPOSE Introduction I. Explication du thème 1. Définition étymologique de l’amitié 2. L’amitié selon Aristote II. Etude thématique 1. Les espèces de l’amitié 2. les caractéristiques des amitiés imparfaites 3. Egalité d’affection et de bien dans les relations amicales III. Actualisation et critique 1. La pertinence du thème 2. Le sujet et autrui Conclusion 1 Introduction La philosophie contemporaine se pique souvent d’avoir mis au jour le « problème d’autrui », supposant

mesure où elle est religieuse, c'est-à-dire : participe à la réalité. Les dieux ont créé l'homme et le Monde, les Héros civilisateurs ont achevé la Création, et l'histoire de toutes ces œuvres divines et semi-divines est conservée dans les mythes. En réactualisant l'histoire sacrée, en imitant le comportement divin, l'homme s'installe et se maintient auprès des dieux, c'est-à-dire dans le réel et le significatif. II est facile de voir tout ce qui sépare ce mode d'être dans le monde de    l'existence

langage du droit que nous employons vient du latin alors que la pensée du droit vient du grec. Une grande partie du voc juridique vient de rome, les grand conceptes viennent de Grece. Les Romains utilisent le ius qu'ils distinguent du fas = le droit divin. Ils le distinguent egalement du mot lex qui chez les romain revient au projet de loi. Projet de loi qui prend sa valeur que lorsqu'il était approuvé par le peuple. iurare : preter serment, prononcer la formule de normalité requise par des règles

aristotélicienne de la liberté Le concept de la Volonté et de la Liberté s’observe chez Aristote sous un nouveau rapport ; il n’est chez lui nullement question d’une quelconque migration des âmes, ce qui explique peut être d’ailleurs pourquoi Aristote aura pu passer la Renaissance à l’abri des embûches et accusations d’antichristianisme qui auront été infligées à Platon. Contrairement à son prédécesseur, Aristote ne confond pas Vertu et Connaissance ; la première est pour lui bien davantage une posture

libert de Dieu. La pense musulmane nest pas un rflexion sur le Coran lui mme. Je ne peux rien connatre de Dieu par le monde car lordre est arbitraire. La volont saccompagne de sagesse. Le dcret divin par son intelligence dispose lordre du monde. Les musulmans privilgient la volont lintelligence. La volont divine induit quil faille connatre Dieu. Il y a donc un lien entre confiance dans la raison et la vision du monde. Le mot bon a plusieurs sens mais ses sens ont un lien entre eux (lanalogie). Ce

heureux, de vivre leur vie comme ils l’entendent et si cela est matériellement impossible, de l’imaginer comme ils l’entendent. La liberté est indispensable au bonheur, or aucun homme ne craint le bonheur et il se doit donc d’affronter celle-ci pour réussir à être heureux. En effet pour accéder au souverain bien comme le qualifiait Aristote les choix sont indispensables. Choix entre les désirs qui nous permettrons d’être heureux a long terme et ceux qui ne feront que combler un manque pour ensuite

constitue la passion. Les Stoïciens, pour qui le souverain bien consiste avant tout dans la domination de soi-même, voient dans la passion une maladie de l'âme. Certains littérateurs, tels que George Sand, célèbrent la passion comme quelque chose de divin qui élève l'humain au-dessus de l'humanité. Le réformateur Fourier considère que l'attraction passionnelle doit jouer dans le monde social le même rôle que la gravitation dans le monde physique. Il est certain qu'il n'est ni désirable ni possible de

comporte une dimension profondément affective à travers ses métaphores et ses symboles religieux. Elle s’exprime essentiellement à travers une croyance. La religion s’appuie habituellement sur un texte sacré dont le contenu est perçu comme une révélation divine d’une autorité incontestable. Le discours religieux partage toutefois avec le discours philosophique la quête de sens. Magico-superstitieux : basé sur les superstitions et la pensée-magique. Propose des relations cause-effets sans rien démontrer

monopolise toutes nos capacités et nos intérêts pour l’existence humaine. De plus, la réalisation de ce désir censée apporter le bonheur à l’individu ne s’avère être la source d’un plaisir que momentané mais surtout d’une déception et d’une frustration de longue durée. Dans cette perspective, l’ataraxie, c’est-à-dire l’absence de souffrance considérée comme le bonheur dans l’antiquité semble s’opposer au fait même de désirer. Ne pouvant nier l’existence du désir chez l’homme, les philosophes antiques

entend habituellement par « mythe » un récit imaginaire, le mot mythe vient d'ailleurs du grec muthos qui signifie « la fable », « le récit ». Le mythe d'origine populaire ou littéraire met en scène des personnages extraordinaires, surhumains ou divins, dont les évènements fabuleux ou légendaires retracent tantôt « l'histoire » d'une communauté, tantôt symbolisent des aspects de la condition humaine, et tantôt, traduisent les croyances et les angoisses de la collectivité pour laquelle ce mythe a