Le Bonheur Est Il Universel

une plus douce vie" ==> Le philosophe est présenté comme à la recherche du bonheur, non-accompli. vers 4-6 "égalant les rois; approchant des dieux"==> Deuxième description du sage, méliorative "satisfait et tranquille", "son bonheur" Au contraire du scythe, le sage est présenté comme parfaitement heureux, vivant une vie idéale. ==> Jean de la Fontaine prend dès le début parti pour le sage. vers 7 "son bonheur consistait aux beautés d'un jardin" transition vers la rencontre des deux personnages

initialement, et la liberté est une fin à atteindre ; soit pas du tout, et la liberté est un leurre. Cf. critique spinoziste du libre-arbitre (Lettre à Schuller) : c’est par vanité, par orgueil métaphysique, parce qu’il veut s’exclure des lois universelles qui régissent la nature, que l’homme veut être libre, et se berce dans l’illusion qu’il l’est. C’est le sens implicite de la comparaison avec la pierre qui tombe : l’homme, comme la pierre, obéit aux lois de la nature. Quelles que soient les raisons

quel bien / objet de mon action ? [Problème] : Que dois-je faire ? C'est-à-dire quel bien dois-je viser et comment puis-je le savoir ? S’il existe des valeurs éternelles, universelles et absolues, alors nous pourrions nous entendre sur ce qu’il convient de faire. Mais si les valeurs sont variables ou que chaque situation est particulière et s’accorde mal avec des principes

qui le menace et insiste sur le fait que ce bonheur n’est qu’éphémère puisqu’il résulte par ailleurs de changements successifs. D’autant plus le philosophe démontre selon lui que la persistance à obtenir un plaisir ne va en résulté qu’un « bien-être assez tiède » car l’homme n’est selon lui pas fait pour le bonheur. L’auteur prend le constat précédent pour point de départ de sa réflexion et va s’interroger sur le fait que les hommes aspirent au bonheur pour deux causes : Supprimer tous sentiments

est "obligée de céder" )et sans armes pour s'en défendre, " Cette superbe puissance ennemie de la raison, qui se plaît la contrôler et à la dominer" Elle est tyrannique, au sens défini par Pascal dans le fragment 54 = "désir de domination universel et hors de son ordre", elle "dispose de tout" et gère non seulement la raison mais aussi les sens, " elle fait croire, douter, nier la raison. elle suspend les sens, elle les fait sentir" Ses effets sur l'homme : l'homme est aveugle et abusé

jours »… - des adverbes de temps : « tout a coup » « encore »… - l’alternance passé/présent Passé = moment de bonheur vécu - L’imparfait de l’indicatif « nous voguions », « frappaient »… - Le passé simple « frappèrent », « fut »… Présent traduit : - le présent du poète « t’en souvient il » - Le passé retrouvé, celui de l’été 1816, par le discours rapporté - Une vérité universelle, la fuite du temps « les jours dévorent »… B : Une représentation lyrique du temps La fuite du temps : utilisation

individus respectent certaines règles qui permettent à la société de se conserver. Il s’agit donc de concevoir la morale comme relative et particulière (repère : absolu/relatif), (repère : universel/général/particulier/singulier). Universel - Général - Particulier - Singulier Universel : s’applique à tous les êtres sans exception Général : s’applique à tous les êtres d’un groupe, admettant des exceptions, la majorité des cas

recherchons donc une définition générale de l’humain, ce qui fait que l’Homme est Homme.  l’ : l’article renvoie ici à une caractérisation universelle. Nous ne recherchons pas ce qu’est un homme particulier mais ce qui vaut pour tous les hommes dans leur ensemble.  Homme : La majuscule signale que nous interrogeons l’humain en tant que genre universel. L’homme est un animal qui se distingue des autres espèces par la possession de caractéristiques particulières : - Une configuration anatomique

Les hommes trouvent le bonheur dans la culture comme l’art, la musique, la littérature : il s’agit d’un bonheur artistique. Depuis longtemps, il y a toujours eu des artistes tourmentés, tristes. Le bonheur se trouve dans l’art du fait qu’on trouve dans la majorité des courants artistiques une tentative de rendre le monde meilleur. On peut citer par exemple le courant romantique où ce qui est mesquin ou raté dans la vraie vie est rendu beau dans la littérature ou changé par la peinture. L’art peut

la volonté, qui serait la partie haute de l’homme lui permettant d’accéder à la vérité et au bonheur de la paix intérieure. Cette vision très stoïcienne de l’homme a dominé le siècle classique, non seulement parmi les moralistes religieux, mais également parmi les chantres de la morale de l’honnête homme, l’homme de la mesure. On peut dire que ce texte d’Emilie du Châtelet, tiré du Discours sur le Bonheur, paru un siècle plus tard, en 1779, se démarque singulièrement de cette tradition multiséculaire