Le Bonheur Et La Prudence Selon Aristote

 » Philosophie du droit, Tome I. Le droit ne permet de connaitre qu’une petite dimension de l’homme et que les juristes ne manient que des abstractions, donc ils seraient de bons techniciens très doués pour les applications technique du droit mais selon lui il aurait perdu de vue le but de toutes sciences à savoir l’amélioration de toutes connaissances pour leur remise en cause et leur élaboration continue, en bref le but de toutes science serait la recherche de la vérité. La question ne serait pas

 CHAP 1 / LE DROIT NATUREL CLASSIQUE SECTION 1 / LA PENSEE JURIDIQUE DES PHILOSOPHES GRECS I Platon (428-348 av. JC) Il a initié un idéalisme jugé responsable d’être à l’origine de la pensée totalitaire. Idéalisme = idée selon laquelle tt le réel peut être ramenée à une seule idée. Il cherche une idée de la justice : la philo du droit est plus de la philo morale ou politique qu’une réflexion sur le droit. Postulat : univers = oeuvre d’une intelligence souveraine, idéale

fait éloigner de chez Platon, car l’idée y est aussi, mais Platon faisait le lien avec l’idée morale d’être juste au contraire pour Aristote ça n’as rien à voir avec la morale. L’office premier de la justice, pour Aristote, c’est d’abord de veiller à la distribution des biens des honneurs et des charges publiques entre les membres de la cité. Donc une distribution selon les qualités et les mérites de chacun. C’est ce qu’on appel la “Justice Distributive”, c’est la répartition des biens des honneurs

cesse de répéter que le bonheur est le but de la vie, qu’il faut donc tout faire pour être heureux, et qu’on peut estimer avoir bien vécu quand la vie qu’on a menée peut globalement relever de cette idée. La notion de but signifie qu'une volonté s'est déterminée par une représentation. Si le bonheur est le but de la vie, cela peut donc signifier ou bien qu'il y a un Dieu qui veut que la vie débouche sur le bonheur, auquel cas c'est plutôt du souverain Bien (union du bonheur et de la vertu) qu'il s'agirait

étudié. Selon CALLICLES, "celui qui veut vivre droitement sa vie" doit "donner à chaque désir qui pourra lui venir la plénitude des satisfactions" (Gorgias. 491 e - 492 a). Ainsi non seulement l'accomplissement des désirs serait la condition d'une vie heureuse, mais accomplir le plus grand nombre possible de ses désirs serait la condition pour mener une vie bonne selon la nature. Les impulsions naturelles seraient à elles - mêmes la norme de leur valeur. "Voilà la vertu et le bonheur !" soutient

du seul Montaigne. Enfin, le romaniste allemand passe sous silence la question si importante du lieu commun (2). On ne hasardera pas, ici, de définition proprement dite. Can tonner, dans une seule phrase, une légion bigarrée d'auteurs qui traitent, selon l'expression même de Friedrich, de « presque tout ce qui se rapporte à l'homme » : gageure méthodologique. On peut, en revanche, s'efforcer de reconstituer un parcours. Réduit à sa plus simple expression, tout le problème est dans cette question :

qu’expose Platon dans Le Protagoras, l’intelligence de l’homme n’est pas un don divin, car sur le plan évolutif, selon Bergson, c’est la nécessité de créer des moyens de subsistance, qui a conduit l’homme à devenir un inventeur. III°/ Du mythe platonicien à la conception aristotélicienne. Dans le Protagoras de Platon, on peut lire le mythe de Promethée et d’Epimethée, défendant l’idée selon laquelle l’intelligence et la technique sont des attributs divins donnés aux hommes. Alors que Zeus avait demandé

tromper d’époque.» soit en attribuant indûment notre manière de penser à des systèmes philosophiques trop anciens ou en confondant des périodes trop distinctes. A titre d’exemple, il est assez fréquent que l’on assimile l’atomisme antique (doctrine selon laquelle tout ce qui existe est matière.; toute matière étant composée d’atomes et de vide) à une science au sens moderne du terme. Bien que cette assimilation soit fort tentante, il n’en demeure pas moins que le fondateur de cette école (Leucippe

DROCHON Prudence 20-11 T°L DISSERTATION / PHILOSOPHIE La vie est l'ensemble des éléments se succédant qui constitue notre existence. Nous naissons, nous vivons en sachant que la mort est proche. La vie suscite depuis le nuit des temps beaucoup de questions. La religion en est la preuve concrète. Peut – on croire à une autre vie après la mort ? Comment bien se comporter sans pécher ? Les philosophes, les ecrivains et intellectuels se sont toujours interrogés sur le sens de la vie.

Thrasimaque ou Calliclèse ont une conception très cynique de la politique, la politique est la domination de ceux qui ont le pouvoir et non la recherche du bien ou de la justice. Pour Platon les affirmations des sophistes sont extrêmement scandaleuse car selon lui si la loi n’est pas soutenu par l’ordre divin/naturel, la loi est alors complétement relative du coup chacun peut agir comme bon lui semble. La loi n’est plus un guide vers le bien de la collectivité mais un instrument de la tyrannie de quelques-uns