Le Bonheur Et La Prudence Selon Aristote

IntroductionLe mot bonheur vient du latin bonum augurum, le bon présage, l’heureux hasard, la bonne fortune, dans ce sens les choses nous arrivent « par bonheur ». Nous ne sommes en rien responsables du bonheur qui peut nous être retiré ou offert. Ce bonheur est par essence fragile, éphémère et toujours menacé. Mais le bonheur est souvent défini, en opposition à la joie, comme un état durable de satisfaction. Un problème se pose : comment s’assurer la maîtrise du bonheur s’il ne dépend pas de nous 

présent D’un nouveau degré de connaissance, Marchez fermement votre sentier, Sachez qu’il est celui de la sagesse ! Seul l’homme courageux Peut s’approcher de la lumière. Prenez pour viatique, ô pèlerins, La bénédiction de vos Frères ! Que la prudence soit toujours à vos côtés, Que la soif d’apprendre guide vos pas ! Exercez votre jugement et ne vous laissez Jamais assujettir à l’illusion d’un passif Aveuglement ! Rude est certes le voyage de la vie, Mais doux est le prix attendant le voyageur

nous conduire au bonheur ? 1. L’idée de bonheur & l’idée du bien se font-elles obstacle ? Conscience morale, obligation & devoir ont un sens régulateur. Régler c’est plutôt éclairer l’action que la commander : nous restons libres de suivre ou non un devoir et il n’y a pas à le regretter, car le bonheur & le bien refusent, par essence, toute contrainte. Mais le bonheur n’est pas de se livrer au hasard de la vie, car chacun veut rester maître de ses plaisirs. Par suite, le bonheur tend à la plus grande

conscience n’est pas suffisante. La connaissance va devoir être acquiseC’est la conscience qui permet d’acquérir de nouvelles connaissances.Dans la tradition, la conscience est à peu près synonyme de conscience, et les 2 sont une partie de l’âme. Pour Aristote, nous aurions une tripartition de l’âme : · L’âme végétative : principe de vie (âme= pneuma= souffle de vie) (animaux, humains, végétaux) · L’âme sensitive : les sens et les mouvements (animaux, humains) · L’âme intellective : principe de penser

Philosophie Politique : Aristote → IV av J.C (Les Grecs) : - L’homme est un animal politique → créer des liens sociaux dans la ville c’est faire de la politique. - La vie privée n’est pas une politique → vie politique meilleure que vie privée - L’humain devient plus humain en société→ on fait de la politique entre semblable, pouvoir familiale = pouvoir dictatorial→ soumission de la femme. Contrairement à nous, les grecs pensaient que la politique était naturelle. Nous, nous vivons dans

lignes un modèle d’idéologie africaine, le Bwami, dont le souci politique majeur est de mieux servir le peuple dont on a la charge, en assumant la gestion du Bien commun dans la justice. Cette justice a pour expression bonne la répartition des biens, selon le mérite, entre individus réunis en communauté. Ce qui conduit à la mise en place d’un Etat qui peut être dit de droit. Le Bwami semble être pour nous le modèle, en tant qu’il donne la capacité aux gouvernants d’établir l’équilibre et l’harmonie

la logique et ses méthodes, l’objectivité ou la science et ses techniques, le bien ou la morale et son ascèse, beau ou l’esthétique et la formation du goût, le juste ou le droit et la politique, le parfait ou religion et croyance. ses systèmes : Aristote ou la philosophie antique : logique ou philosophie première, philosophie théorique (physique, cosmologie, psychologie, zoologie) et philosophie pratique (éthique, politique, rhétorique et poétique). Jean Scot Erigène ou la philosophie médiévale

agit sur l'âme, cela n'est guère nouveau : il n'est qu'à se reporter aux rumeurs, aux propos des arrière-cours qui tendent à discréditer autrui pour s'en convaincre, mais aussi aux actions qui se développent, dès lors que nous pensons que notre bonheur, ou notre situation, est en passe de changer sans bénéfice pour notre confort personnel. Il nous suffit aussi de méditer sur la colère, qui peut avoir diverses origines, dont la plus remarquable n'est pas celle que nous nourrissons à l'égard d'autrui

La technique trouble-t-elle l'ordre des choses ? Aristote définit la technique comme « une disposition permanente acquise, créatrice, accompagnée de raison ». C'est à dire que la technique est une façon rationnelle d'ordonner des éléments matériels pour atteindre un objectif voulu : la réalisation d'une œuvre. C'est en cela que la technique est indéniablement humaine, elle a toujours été inhérente à l'homme et son humanité reste sa caractéristique première. C'est l'outil qui sépare l'homme de l'animal

ou à la fin du mois de mars. Ce fut une aubaine pour tous les citoyens de statut social différent de faire affaire, de tisser les liens par échange d’expériences. Et, au cours de ces cérémonies heureuses et festives, la joie, l’enthousiasme et le bonheur étaient partagés entre les citoyens de la cité. C’est à cet instant favorable de ces festivités que les arts du spectacle sont mis en scène. Ce fut une instance pour ces acteurs, de mettre en valeur leurs savoir-faire, de mettre en scène les arts