Le Bonheur Immatériel

 « Quand je réfléchis à ce qu’est le Je, je trouve une pensée que je peux concevoir clairement et distinctement, indépendamment de tous les attributs qui appartiennent à la substance matérielle. » Toute l’essence de la pensée réside dans une substance immatérielle. « Par le mot de pensée j’entends tout ce qui passe en nous de telle sorte que nous l’apercevons immédiatement par nous-même. » Descartes assimile pensée et conscience, assimilation qui sera critiquée par Freud, disant qu’il peut exister des pensées

envies, car la satisfaction n’est pas toujours pleine et l’obtention n’est pas toujours facile. Par ailleurs, l’objet du désir peut être assimilé à un manque intense. En effet, le désir se manifeste lorsque l’on veut acquérir une chose matérielle ou immatérielle qui n’est pas à notre disposition. Lors d’un froid glacial d’hiver il est préférable d’être fortement vêtu mais si l’individu ne possède pas d’habits il ressentira un manque et aura froid. Cet individu se focalisera sur des vêtements chauds, il

comparaison entre les différentes civilisations. De nouvelles valeurs s’imposent : la nature qui détermine le devenir de l’homme, le bonheur terrestre qui devient un but, le progrès par lequel chaque époque s’efforce de mieux réaliser le bonheur collectif. Le nouvel esprit philosophique qui se constitue est basé sur l’amour de la science, la tolérance et le bonheur immatériel. Il s’oppose à toutes les contraintes de la monarchie absolue ou de la religion. L’essentiel est alors d’être utile à la collectivité

"glacé" (v.5) ; "passé" (v.6) => Ce sont des êtres glacés appartenant au passé. Ils sont sans identitées, ce sont des fantômes. champ lexical de la mort : "morts" (v.3) ; "spectres" (.6) ; "âme" (v.10) => montre qu'ils sont morts / personnes immatérielles. II. Le dialogue a. Les points communs présent de l'indicatif : "bat-il" (v.9) ; "vois-tu" (v.10) => Les deux spectres sont bloqués dans le présent. Il n'y a pas de futur possible. Ils sont morts (appartiennent tout deux au passé) opposition

le tout. De plus, on ne peut connaître aucune des parties car pour connaître celles-ci, il faut connaître le tout. Étant des être doubles, spirituels et corporels, il est impossible de connaître avec certitude et absolument ce qui est matériel et immatériel c) L’amour propre Le «moi» est naturellement égoïste. Il n’aime et ne considère que soi. Lorsqu’il se tourne vers soi pour s’aimer, il ne trouve que défauts et misères. Ceci nous amène à nous mentir à nous-mêmes, à s’illusionner, à devenir hypocrite

donc dans notre bonheur et le fait que nous nous sentions bien. D’autre part, ce qui nous fait vivre est le fait de ne pas être dans une vie de frustration et de souffrance. Par exemple, si on prend le film American Beauty, le personnage principal « plaque » tout pour accomplir ses désirs et atteindre ce qu’il croit être son bonheur. Il s’achète donc une voiture de sport et se met à charmer des demoiselles de 30 ans de moins que lui. Mais, ainsi, il se sent mieux et vit dans le bonheur ce qui le pousse

la nomme Dieu. Nous ne pouvons cependant pas dire ce qu'est cette intelligence suprême, cela dépasse notre entendement, nous pouvons bien plus l'adorer que la connaître. « L'homme est libre dans ses actions et comme tel animé d'une substance immatérielle ». À l'inverse de la perfection de l'univers, le monde humain est un monde de désordre. Partout le mal y règne. Pour que l'homme soit capable de créer un tel désordre, il faut qu'il ait en lui un pouvoir d'agir par lui-même, qu'il soit libre

psychique est, pour elle, coextensif à la conscience" : Jean-Paul Sartre "L’inconscient est une méprise sur le Moi, c’est une idolâtrie du corps" : Alain 3) AUTRUI « L’enfer, c’est les autres » : Sartre "Le vaniteux fait dépendre son propre bonheur de l’activité d’autrui" : Marc Aurèle "Autrui joue toujours dans la vie de l’individu le rôle d’un modèle, d’un objet, d’un associé ou d’un adversaire." : Sigmund Freud "Pour obtenir une vérité quelconque sur moi, il faut que je passe par l'autre

Sujet : Comment l'économie est elle susceptible d'amener au bien être? L'adage populaire selon laquel « l'argent ne fait pas le bonheur mais y contribue » s'est trouvé confirmé depuis une trentaine d'années par les enquêtes montrant une dissociation relative entre les progressions du niveau de vie et la satisfaction des individus. En effet le Produit intérieur brut (PIB) mesure la richesse crée par les différents agents économiques (marchant ou non marchands) à l’intérieur d’un pays, mais c’est

L’auteur intègre ensuite les sentiments à l’analyse économique : le bonheur des européens s’enracine dans la consommation matérielle. Si les plus riches sont aussi les plus heureux c’est parce qu’ils auraient plus que les autres les moyens de réaliser les possibilités que la société de consommation leur offre. Les Trente Glorieuses ont rendu les européens dépendant à la croissance qui, plus encore que la richesse, est source de bonheur car elle donne à l’individu l’espoir de s’élever au dessus de sa