Le Bonheur Selon Diderot

de la France. La crise financière s'aggrave à cause de la guerre d’indépendance en Amérique. Louis XV -4- 2 -5- L'encyclopédie : le projet du L'encyclopé siècle siè Le projet d'Enclyclopèdie a occupé la majeure partie de la vie de Diderot. Il n'a pas inventé le principe de l'Encyclopédie car Il existait déjà à l'Antiquité grâce à Aristote et à Pline l'Ancien et était reconnu comme un idéal culturel. La connaissance de toutes les disciplines formaient le philosophe, idéal grec, et le

hommes est mise en relief est mise en relief par la structure des phrases : " ceux qui.... ceux qui... " " haïr " Ligne 5 renvoie à l’intolérance ainsi que " haine et persécution "Ligne11, " supportent " Ligne 12 et " ne détestent pas " Ligne 13. Selon Voltaire ces différences de rites sont insignifiantes : " ces petites nuances " Ligne 10 b/ Un Dieu indéterminé et universel Voltaire ne s’adresse pas au Dieu des chrétiens mais au Dieu de tous les hommes : " Dieu de tous les êtres, de tous les mondes

l'affaiblissement de la monarchie, suivi de la fin de la suprématie française en Europe et du début de la suprématie anglaise. Les principaux représentants de ce mouvement ont été Voltaire, J.-J. Rousseau, B. Franklin, Frédéric II de Prusse, Lavoisier, Diderot et Goethe. Plus précisément les Lumières désignent le mouvement culturel et philosophique qui a dominé en Europe, surtout en France, au XVIIIe siècle. Les penseurs, scientifiques et écrivains nous ont transmit sur cette époque leur esprit critique

philosophie des Lumières remet-elle en cause la Monarchie absolue ? I-Les idées nouvelles au XVIIIe s. A) L'esprit critique : Au 18eme siècle, des personnes réfléchissent aux moyens de faire le bonheur des hommes. Ils critiquent la monarchie absolue, l'Eglise catholique et la société d'ordre qui selon eux sont a l'origine des problèmes de la France. Ces penseurs appelés philosophes diffusent de nouvelles idées de liberté, de démocratie et d'égalité appelés lumières. B) L'influence anglaise :

multipliant les formes de polémique : ils veulent sortir le peuple de l’ignorance par une diffusion très large du savoir, en combattant les préjugés par l’exercice du sens critique. La philosophie des Lumières poursuit des valeurs telles que le bonheur, la raison, la tolérance, la liberté, l’égalité, la bienfaisance et les droits de l’homme ; pour les respecter, les philosophes doivent dénoncer les abus de la religion et du régime politique. Dans cette optique, le regard de l’Autre est très utilisé

LECTURE ANALYTIQUE 2. La harangue du vieux tahitien (extrait), D. Diderot, Supplément au voyage de Bougainville (1773-74) PRESENTATION Officier de la marine royale sous Louis XV, Louis-Antoine de Bougainville reçoit en 1766 la mission d’explorer de nouvelles terres dans l’océan pacifique. Parti en novembre 1766 de Nantes, Bougainville passe le détroit de Magellan en décembre 1767 et parvient sur l’île de Tahiti (découverte en 1767 par l’Anglais Samuel Wallis) en janvier 1768. Dès

religieuse et anticléricale : Diderot s'oppose au caractère divin de la monarchie. Dans les années 1760, Voltaire défend les victimes de l'intolérance religieuse?: les protestants Calas et Sirven, et le jeune chevalier de la Barre.LA FOI DANS LE PROGRESCette observation critique est liée à la foi dans la perfectibilité intellectuelle et morale de l'humanité : le progrès des sciences et des techniques est censé améliorer le sort de l'homme et contribuer à son bonheur. L'ASPIRATION AU BONHEURÀ l'idéal

les philosophes découvrent des manières de vivre et des modèles sociaux différents(ex : voyages de Voltaire et Montesquieu en où règne une monarchie constitutionnelle, correspondances de Denis Diderot avec Catherine II de Russie). Dans ce domaine, le but des philosophes est principalement le bonheur de l'homme, qui nécessite le progrès, par la lutte contre le fanatisme et l'ignorance. Les philosophes des Lumières veulent effacer les discriminations et les inégalités pour une justice plus équitable

une carrière de musicien. A 30 ans, il se met à composer un opéra, Les Muses galantes, qui ne remporte aucun succès. De 1742 à 1760 : Ses débuts C’est sa rencontre avec l’encyclopédiste Diderot en 1740 qui le conduisit à la philosophie. A l’âge de 38 ans, en 1749, alors qu’il va rendre visite à son ami Diderot, emprisonné au Donjon pour avoir écrit la Lettre sur les Aveugles, Il prend connaissance dans un journal de la question posée par l’académie de Dijon : le rétablissement des sciences et des

retrouver les lois naturelles. La critique de la religion : La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers à une mécanique, inspire le déisme de Voltaire et la religion naturelle de Rousseau. Diderot s’interroge sur le principe organisateur du vivant et semble rejeter l’existence de Dieu au profit d’un certain matérialiste. La critique de la politique : La conscience du citoyen nait en sacrifiant son intérêt personnel au profit de l’intérêt