Le Bonnet rouge

l’allégorie de la Liberté, c'est une fille du peuple, vivante et fougueuse, qui incarne la révolte et la victoire. Coiffée du bonnet phrygien, les mèches flottant sur la nuque, elle évoque la Révolution de 1789, les sans-culottes et la souveraineté du peuple. Le drapeau, symbole de lutte, faisant un avec son bras droit, se déploie en ondulant vers l’arrière, bleu, blanc, rouge. Du sombre au lumineux, comme une flamme. La pilosité de son aisselle a été jugée vulgaire, la peau devant être lisse aux

symboles comme : le drapeau national, l'hymne national, la Marseillaise (chant de guerre pour défendre cette liberté), Marianne, apparue à la même époque, symbolise la nation et la République. Elle est le plus souvent coiffée d'un bonnet rouge, le bonnet phrygien, symbole de liberté ➢ L'égalité est liée à la liberté, le premier article de la constitution affirme que la République "assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion". Le

ces hommes saintement !… –Il est un Dieu qui rit aux nappes damasséesDes autels, à l'encens, aux grands calices d'or ;Qui dans le bercement des hosannah s'endort,Et se réveille, quand des mères, ramasséesDans l'angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir,Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Rimbaud, Poésie, 1870 Problématique: Pourquoi la religion est complice de la guerre ? PlanI)- Peinture et dénonciation de la guerreII)- La satire de dieu et de la religionIII)- La nature

correspond totalement à la fiction du livre. De plus, nous remarquons que les deux filles ont vêtit le même bonnet. Cela est unindice pour affirmer que la couverture correspond à la narration du livre. En effet, à un moment, il est dit que les filles s’achètent le même bonnet (« J’ai dû faire comme si rien ne me plaisait pouréviter qu’elle achète n’importe quoi, je n’ai pas pu l’empêcher de choisir un bonnet pour elle et pour moi, le même » p.236). b) Maintenant, observons sur cette première de couverture

fr/blatouche/sculotte.jpgOn reconnait un sans-culotte à sa tenue : il porte un pantalon long, généralement rayé, ce qui le différencie des aristocrates, culottes courte et bas de soie. Il est chaussé de sabots, parfois remplis de paille. Coiffé du bonnet phrygien rouge (faisant penser à l'affranchissement des esclaves) avec cocarde tricolore, il tient en main, dans les occasions importantes, la fameuse pique, emblème du militant. Selon le Père DUCHESNE, journal parut en 1793, un sans-culotte n’a ni biens

l’allégorie de la Liberté, c’est une fille du peuple, vivante et fougueuse, qui incarne la révolte et la victoire. Coiffée du bonnet phrygien, les mèches flottant sur la nuque, elle évoque la Révolution de 1789, les sans-culottes et la souveraineté du peuple. Le drapeau, symbole de lutte, faisant un avec son bras droit, se déploie en ondulant vers l’arrière, bleu, blanc, rouge. Du sombre au lumineux, comme une flamme. La pilosité de son aisselle a été jugée vulgaire, la peau devant être lisse aux yeux

l’allégorie de la Liberté, c'est une fille du peuple, vivante et fougueuse, qui incarne la révolte et la victoire. Coiffée du bonnet phrygien, les mèches flottant sur la nuque, elle évoque la Révolution de 1789, les sans-culottes et la souveraineté du peuple. Le drapeau, symbole de lutte, faisant un avec son bras droit, se déploie en ondulant vers l’arrière, bleu, blanc, rouge. Du sombre au lumineux, comme une flamme.  Son habit jaune, dont la double ceinture flotte au vent, glisse au-dessous des seins

central est en hauteur sur des bois. Sa robe laisse voir sa poitrine, qui rappelle les figures antiques. Elle tient dans sa maingauche un fusil à baillonnette et dans sa main droit elle brandit le drapeau tricolore. Elle est coiffée d'un bonnet rouge (le bonnet phrygien). Sur sa gauche se tient un jeune garçon, armé d'un pistolet, une sacoche en bandoulière et une casquette béret sur la tête, il regarde vers le spectateur. Aux pieds de la femme se trouve un homme qui se relève et la regarde. Au troisième

Révolution, célèbrent dès 1790, à travers l’arbre, leur amour de la Liberté. Des fêtes civiques ont lieu en 1793 près de l’arbre de la liberté. Et il fut célébrer le 2 mars 1848 par Victor Hugo | Marianne | Elle a une origine antique : le bonnet phrygien par les affranchis de l’Empire romain, c'est-à-dire les esclaves libérés par leur maître et dont les descendants étaient considérés comme citoyens de l’Empire. | un emblème officiel les valeurs républicaines françaises | apparaît

faisant pair avec la couleur de sa peau, d'un jean bleu grisé par le temps et troué au niveau du genou gauche. Son visage, remplie de crasse, et lasse de la vie se mêlait parfaitement à ses cheveux pleins de poussière recouvert partiellement par un bonnet trop petit pour lui, à sa barbe telle la forêt amazonienne possédant des poils se hérissant dans tous les sens. Ces éléments en disait long sur son mode de vie. Il avait passé la nuit sur un trottoir sale et délabré, tenant compagnie à quelque rats