Le Bourreau C Est Chacun De Nous

Lettres et Art du Spectacle Mémoire soutenu par Manon Pricot Session 2012 - 2013 1 Résumé de la pièce Une partie de l’histoire se déroule au Québec, l’autre au Liban. A la mort de leur mère Nawal, les jumeaux Simon et Jeanne, se voient remettre chacun une lettre : l’une est destinée à leur père qu’ils pensaient mort, l’autre à leur frère dont ils ignoraient l’existence. Nawal leur confie la mission de les retrouver afin de leur remettre ces lettres. Malgré les incitations du notaire Hermile Lebel

de cela, la prison perpétuelle suffirait. A quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyiez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais reprend-on, -il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance au

de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance

de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance

rend plusieurs fois à Bicêtre pour voir les condamnées à mort et assister au ferrement des bagnards avant leur départ pour Toulon. Han d’Islande, son premier roman, met en scène l’exécution du héros Ordener, mais du point de vu des spectateur et du bourreau. Dans les années 1830, la peine de mort est un sujet d’actualité. En 1826, d’abord à Genève, puis à Paris, se réunissent de nombreux abolitionnistes qui reprennent et approfondissent les argument de Beccaria, un juriste italien ami des philosophes

l'autre. Ceci est paradoxal. Sartre donne l'exemple du bourreau face à sa victime. Le bourreau trouve son plaisir quand la victime s'humilie et se renie (dans la torture). Cependant, même si la torture provoque un tel reniement de la victime, quand on arrive au résultat ou la victime n'est qu'un corps pantelant et abandonné, ou elle n'a plus de désir puisqu'elle a reniée sa liberté alors elle n'est plus la pour rien même plus pour son bourreau. Définition du masochisme : vient de Léopold Von Sacher-Masoch

mais suite à leur échec, ils font la rencontre de Vautrin, un personnage mystérieux qui tente de les pervertir. Ces trois textes présentent des points communs, pour commencer, dans chacun des ces textes, les personnages principaux sont fascinants. On peux déjà remarquer que le destin des personnages principaux de chacun des extraits est tragique, dans le roman d'Alexandre Dumas, Milady de Winter est promise à la mort, comme l'indique les phrases L4-5,L9 et L13 « Mourez en paix ». Dans Le Père Goriot

personne ne répond. Quand il va se rasseoir, la porte s’ouvre et Inès, une jeune femme, rentre avec le garçon. SCENE 3 Inès Serrano s’avance. Elle demande à Garcin où se trouve Florence mais Garcin ne le sait pas. Inès prend Garcin pour un bourreau de l’enfer. Celui-ci lui décline son indentité : « Joseph Garcin, publiciste et homme de lettre. » Inès se présente sèchement. Garcin lui montre l’absence de glace, la porte verrouillée, et propose de « conserver entre eux une extrême politesse »

d´annoncer la nouvelle au roi. Cependant, Marguerite décrit l´état du royaume (sans discipline ni puissance militaires, peuplé de vieillards...) on voit que le roi et son royaume sont malades. Monsieur le Médecin du Roi, “chirurgien, bactériologue, bourreau et astrologue”, révèle que le roi n´est pas opérable. Comme astrologue, il sait qu´une catastrophe inévitable va arriver. Le roi veut ignorer tout le désordre qui s´étend à son royaume. Il pense que la situation pourra changer avec sa volonté de

de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance