Le Bourreau des cœurs

jeune homme entra dans le salon, quelques joueurs s'y trouvaient déjà. Trois vieillards à têtes chauves étaient nonchalamment assis autour du tapis vert ; leurs visages de plâtre, impassibles comme ceux des diplomates, révélaient des âmes blasées, des coeurs qui depuis longtemps avaient désappris de palpiter, même en risquant les biens paraphernaux d'une femme. Un jeune Italien aux cheveux noirs, au teint olivâtre, était accoudé tranquillement au bout de la table, et paraissait écouter ces pressentiments

ceux qu'on voudrait aimer. « Entre Dieu et Diable... Je prierai l'un ou convoiterait l'autre. J'emploierai tous les moyens mais je te promets qu'on s'aimera. On ne se quittera pas. Je serai ton ange gardien ou je serai le diable, ton amant et ton bourreau. J'utiliserai toutes les ruses et les plus beaux mots d'amour pour te garder. Je te tiens entre mes mains et tu ne t'échapperas plus. » Aimer, c'est savourer, au bras d'un être cher, La quantité de ciel que Dieu mit dans la chair... Il me regardait

du nouveau, donnez-leur-en toujours ; Agitez ces esprits qu'on ne peut satisfaire... Mais qu'est-ce qui vous prend ? est-ce extase, colère ? LE POETE Cherche un autre valet! tu méconnais en vain Le devoir du poète et son emploi divin ! Comment les coeurs à lui viennent-ils se soumettre ? Comment des éléments dispose-t-il en maître ? N'est-ce point par l'accord, dont le charme vainqueur 4 Reconstruit l'univers dans le fond de son coeur? Tandis que la nature à ses fuseaux démêle Tous les fils animés

jeune homme entra dans le salon, quelques joueurs s'y trouvaient déjà. Trois vieillards à têtes chauves étaient nonchalamment assis autour du tapis vert ; leurs visages de plâtre, impassibles comme ceux des diplomates, révélaient des âmes blasées, des coeurs qui depuis long-temps avaient désappris de palpiter, même en risquant les biens paraphernaux d'une femme. Un jeune Italien aux cheveux noirs, au teint olivâtre, était accoudé tranquillement au bout de la table, et paraissait écouter ces pressentiments

le passage. Passage de la scène 5 : scène qui contraste fortement avec la scène précédente, placée sous le signe de la fête et du mariage. Dans la scène 5, le décor est plus intime (« la nuit »), plus propice aux confessions et à la mise à nu des cœurs. Étudiez la composition du passage. Donnez un titre à chacune des parties. Première partie : dialogue entre deux personnages, Simone et le presseur. Confessions sur la déportation. Seconde partie : entrée en scène d’un troisième protagoniste, Léon

le passage. Passage de la scène 5 : scène qui contraste fortement avec la scène précédente, placée sous le signe de la fête et du mariage. Dans la scène 5, le décor est plus intime (« la nuit »), plus propice aux confessions et à la mise à nu des cœurs. Étudiez la composition du passage. Donnez un titre à chacune des parties. Première partie : dialogue entre deux personnages, Simone et le presseur. Confessions sur la déportation. Seconde partie : entrée en scène d’un troisième protagoniste, Léon

peines seront plus douces, quand les prisons ne seront plus l’horrible séjour du désespoir et de la faim, quand la pitié et l’humanité pénétreront dans les cachots, lorsqu’enfin les exécuteurs impitoyables des rigueurs de la justice ouvriront leurs cœurs à la compassion, les lois pourront se contenter d’indices plus faibles, pour ordonner l’emprisonnement. La prison ne devrait laisser aucune note d’infamie sur l’accusé dont l’innocence a été juridiquement reconnue. Chez les Romains, combien voyons-nous

tragédie, qui le plus souvent donne son nom a la pièce. Selon leur position par rapport au crime tragique, les furieux se divisent eux mêmes en deux catégories: les furieux bourreaux qui agissent et les furieux victimes qui subissent. Le furieux bourreau n'est pas un caractère mais un trajet théâtral menant le personnage d'un état final, il est fait d'une succession étapes; ce trajet constitue l'action tragique.   b. le trajet théâtral du furor dans Médée   trajet théâtral dans la mesure ou le

ont fait leur lit Près du lit de la Seine Et qui s’ lav’nt à midi Tous les jours de la s’main’ Dans la Seine Dm A Paris ( 11) F. Lemarque (1948) Dm Accordeon – guitare folk Dm 1) A Paris Quand un amour fleurit Ça fait pendant des s’main’s Deux cœurs qui se sourient Tout ça parce qu’ils s’aim’nt A7 A Paris Au printemps Sur les toits, les girouett’s Tourn’t et font les coquett’s Avec le premier vent Qui passe indifférent 3/ Et les autres Ceux qui en ont assez Parc’ qu’ils en ont vu d’ trop Et

jeune homme entra dans le salon, quelques joueurs s’y trouvaient déjà. Trois vieillards à têtes chauves étaient nonchalamment assis autour du tapis vert ; leurs visages de plâtre, impassibles comme ceux des diplomates, révélaient des âmes blasées, des cœurs qui depuis long-temps avaient désappris de palpiter, même en risquant les biens paraphernaux d’une femme. Un jeune Italien aux cheveux noirs, au teint olivâtre, était accoudé tranquillement au bout de la table, et paraissait écouter ces pressentiments