Le But De La Comédie Est Il De Faire Rire Les Spectateurs

Peut-on dire de Tartuffe qu’il s’agit d’une comédie? Tartuffe est une des Grandes Comédies écrite (en 1664) par Molière. Malgré que se soit officiellement une comédie, certains éléments peuvent nous en faire douter. L’intrigue n’est pas particulièrement plaisante, de même pour les sujets abordés qui ne sont pas légers, du fait que par l’intermédiaire de la pièce, l‘auteur critique l’hypocrisie religieuse et les ravages de la fausse dévotion et spécifiquement la Compagnie du Saint-Sacrement. C’est

Classiques Larousse Adaptations théâtrales : Mise en scène de JL. Benoît 1998, Comédie Française (VHS) Mise en scène de P.Fox 2004, Théâtre Royal du Parc, Bruxelles (DVD) Introduction : Si Molière a écrit de nombreuses comédies à fonction critique où finalement le rire est peu présent, on peut dire des Fourberies de Scapin qu’il s’agit d’une vraie pièce de divertissement qui a pour but d’amuser et de faire rire le spectateur. C’est pour cela qu’elle nous semble tout à fait adaptée à des élèves de

en scène par un metteur en scène. Le but de ce metteur en scène est alors de diriger la troupe qui doit faire vivre ces dialogues sur une scène devant un public, on assiste alors à une pièces de théâtre. On comprend alors que c'est un bien genre particulier car même si le théâtre peut être lu, il est préférable de le voir, contrairement au roman et à la poésie. De ce théâtre, on retient deux registres importants, qui influent sur le spectateur, la comédie, qui propose de « corriger les vices

LA COMEDIE La comédie de l'époque classique est très fortement dominée par la figure de Molière même si les auteurs comiques étaient fort nombreux[11]. La comédie est beaucoup moins encadrée par des règles explicites que la tragédie car, considérée comme un genre mineur, les théoriciens ne s'y intéressent guère. I- La Comédie de Molière (1622-1676) la basse comédie basée sur le comique de geste (Les Fourberies de Scapin) la comédie basée sur les comiques de geste, de situation et de caractère

comporte de façon absurde ou mécanique suscite le rire car son attitude dérange l'ordre social, régi par des règles, la rationalité ou le réel. Au XVIIe siècle,

divertissement des populations. Ainsi, le théâtre permettrait de faire rire et d'oublier ennuis et soucis durant le temps de la représentation. Nous allons donc nous demander si le théâtre n'est qu'un divertissement. Le théâtre ne serait-il destiné qu'à nous divertir ou à nous faire réfléchir ? Nous verrons tout d'abord que le divertissement est bel et bien l'une des fonctions principale de cet art. Ensuite nous verrons qu’il peut avoir pour but de nous pousser à la réflexion. Puis, nous constaterons que

Il existe 4 grands genres théâtraux : la tragédie, la comédie, la farce et le drame. Je vais tout d’abord parler de la tragédie. La tragédie a été présente du 17e siècle au 18e siècle. Elle est représentée par deux grands auteurs, Corneille et Racine. Elle a tout d’abord un but moral, mais elle cherche à éveiller chez les spectateurs un sentiment de pitié, de terreur ou d’admiration. Elle est construite en cinq actes, et on y retrouve des unités de lieu, de temps et d’action. Le dénouement

l’une de vos pareilles » | 11). Le couple Sotenville infantilise George Dandin, reprenant sans cesse dans des phrases négatives sa façon de parler pour un honnête homme : « il n’est pas respectueux » 13, « vous ne devez pas dire » 17. Dandin veut faire entendre son discours, mais celui-ci est constamment contesté et réprimandé quant à ses formes et usages, ce qui rabaisse le personnage principal. Pourtant, on remarque que Dandin finalement domine : s’énervant de l’entêtement de ses beaux-parents

destinée à leurrer, à tromper un ennemi pour le faire tomber dans un piège.En 1737, Marivaux achève Les Fausses Confidences, dont le titre énigmatique est en lui-même un stratagème: une ruse de guerre, destinée à leurrer, à tromper un ennemi pour le faire tomber dans un piège.En 1737, Marivaux achève Les Fausses Confidences, dont le titre énigmatique est en lui-même un stratagème: une ruse de guerre, destinée à leurrer, à tromper un ennemi pour le faire tomber dans un piège. En 1737, Marivaux

que l’on imite et dont elle reprend les principaux éléments en les exagérant ou bien en les utilisant de façon décalée. Ces principaux procédés sont l’hyperbole, l’ironie… Dans la parodie, il y a souvent présence du burlesque. De plus elle suscite le rire et le grotesque tient une place à part entière. L’objectif est le divertissement mais aussi la dénonciation alors on peut appliquer la phrase de Horace « Castigat ridendo mores » soit « Divertir en corrigeant les mœurs ». Le Marivaudage : A l’époque