Le But Suprême Du Romancier

du moins d'angoisse et de questionnement, est ce une volonté de rapprocher le lecteur du héros ou bien de montrer que le brigades communistes ne sont pas dénués de sentiments ? Ou bien encore s'est il inspiré de la pensé de Duhamel « Le but suprême du romancier est de nous rendre sensible l'âme humaine, de nous la faire connaître et aimer dans sa grandeur comme dans sa misère, dans ses victoires et ses défaites .» Nous rejoignions à travers cette citation notre deuxième axe, l'image du héros

offrant une image idéalisée de la réalité, et donc dangereux. Pourtant, si la littérature romanesque a perduré depuis le Moyen Age jusqu’à nos jours, c’est que surement, quelque part, le roman trouve une justification suffisante. Le romancier et critique Milan Kundera définit donc en ces termes la morale du roman : « découvrir ce que seul un roman peut découvrir, c’est la seule raison d’être du roman. Le roman qui ne découvre pas une portion jusque là inconnue de l’existence est immoral

de résolution des tensions de l'affaire Dreyfus et où s'imposent les valeurs de la IIIe République. Ce siècle offre une vrai richesse littéraire nourrit par de nouveaux genres tel le romantisme, le naturalisme, le réalisme et le symbolisme. Zola romancier français était considéré comme le chef de file du naturalisme. Citation : Zola : « J'en suis donc parvenu à ce point : le roman expérimental est une conséquence de l'évolution scientifique du siècle ; il continue et complète la physiologie, qui

qualificatif. En effet, il se distingue des autres romanciers réalistes par son souci du style : certes il se veut de « peindre le dessus et le dessous des choses », mais son style n'est pas laissé de côté ce qui amène une touche de lyrisme que l'on ne retrouve pas dans les oeuvres classiques réalistes. Le Réalisme, école du XIXe, décrit avec objectivité les aspects réels de la vie. Ce mouvement artistique nait en 1850 et s'étend sur la seconde moitié du XIXe. Le but étant de représenter les hommes et la société

Il est souvent difficile d'accéder au « cœur » d'autrui. Nous avons accès aux gens qui nous entourent par leur aspect physique, leur comportement, mais on ne sait jamais ce qu'ils ressentent ou pensent dans le fond. Or, « le but suprême du romancier est de nous rendre sensible l'âme humaine, de nous la faire connaître et aimer dans sa grandeur comme dans sa misère, dans ses victoires et dans ses défaites » (Georges Duhamel, Essai sur le roman). Problématique et annonce du plan : À travers ses personnages

toujours bizarre." Charles Baudelaire (1821-1867) "Car le mot, qu’on le sache, est un être vivant." Victor Hugo (1802-1885) "Que l’importance soit dans ton regard, non dans la chose regardée." André Gide (1869-1951) "La poésie n’a pas d’autre but qu’elle-même." Charles Baudelaire (1821-1867) "La poésie n’est pas une chose rassurante, c’est une aventure colossale." Eugène Guillevic (1907-1997) "La poésie demande un génie particulier, qui ne s’accommode pas trop avec le bon sens. Tantôt

quels moyens spécifiques donne-t-il accès à la vie affective ? » et inversement : « Le roman n'a-t-il pas des limites dans la connaissance du cœur humain ? » Chercher des idées Montrez comment, en partant d'un cas particulier (un personnage), le romancier peut donner une image du cœur humain. Comparez à cet égard le roman aux autres genres : qu'est-ce qui le rapproche du théâtre ? de la poésie lyrique ? Qu'est-ce qui l'en distingue (les moyens spécifiques du roman) ? Cherchez quel(s) type(s) de

Plan : Introduction : La IIIe République est marquée par la montée du capitalisme et de l’ambition sociale ; les romancier se font l’écho de ce monde d'arrivisme. Le roman naturalisme Bel-Ami rédigé en 1885 par Guy de Maupassant est l'histoire de l'ascension d'un homme sans scrupule dans le milieu de la presse, grâce à son mauvais esprit et aux femmes. I/ Héros ou héros --> Antihéros.A. Le héros de roman « Héros » est un nom masculin qui vient du grec « héros » signifiant demi-dieu.Le héros

réception des chefs-d’œuvre qui sont d’abord incompris puis féconds et imprègnent toute la culture littéraire postérieure mais aussi la société entière et l’Histoire. Dans cette citation des Mémoires d’outre-tombe : « On renie souvent ces maîtres suprêmes ; on se révolte contre eux ; on compte leurs défauts ; on les accuse d’ennuie, de longueur, de bizarrerie, de mauvais goût, en le volant et en se parant de leurs dépouilles ; mais on se débat en vain sous leur joug. Tout se teint de leurs couleurs ;

voulut en finir avec la lecture en brûlant tous les livres de son royaume. En 303, Dioclétien appliqua cette même mesure pour les chrétiens. Près d’un siècle plus tard, les œuvres de Protagoras furent brûlées à Athènes. En 1559, la congrégation de la suprême inquisition publia le premier indexe des livres prohibés, un liste de livres, l’Enfer, que l’église considérait comme dangereux pour la foi et la moralité des catholiques romains. Ainsi que nous l’avons bien compris le livre est le fléau des dictateurs