Le Cercle Infernal

L’auteur nous exprime ici que le désir renvoi à une privation et donc affirme que le désir est souffrance. Mais Schopenhauer n'a t'il pas une vision trop pessimiste du désir et du bonheur et même de la vie ? Ne pouvons-nous pas être heureux ce cercle infernal des désirs ? Le désir est lié est à la souffrance, selon Schopenhauer c’est une évidence. En effet, lorsque nous voulons quelque chose, c’est qu’à priori nous en avons besoin même s’il ne s’agit pas d’un besoin indispensable. A nos

passivité, l'esprit est la victime et comme l'orage cela fait partie de notre condition et de la fatalité humaine «  Longs ennuis » : l'ennui est la mère de tous les vices, c'est une malédiction, une fatalité V.3. Le cercle donne un aspect cyclique : on est enfermé, pris dans ce cercle dont on ne peut pas sortir ; « Embrassant = contenant, comme si nous étions pris au piège V.4. personnification du ciel ; comparaison entre le jour et la nuit pour les opposer en les réunissant ; l'orage = la nuit

d’intense permission : pouvoir faire ce que l’on veut quand on le veut. 3. La phrase «  La ronde des vélomoteurs creuse un sillon dans le sol indifférent, (....) et c’est pour cela aussi,(....) le camion bleu et l’autobus vert afin que s’achève le cercle » émet l’idée que la fatalité est en marche, que tout va se jouer au croisement des destins entre la ronde des jeunes filles, la dame en bleu et la ronde du camion. 4. Il n’y a aucune mention de date ni d’heure : « l’air chaud... la lumière

pacifiste appartenant au domaine des Arts Visuels. Ses dimensions sont 404cm x 264cm. Elle est exposée à la Galerie Neue Meister de Dresde en Allemagne. Le Tryptique, à l’origine une disposition religieuse, représente ici par chronologie un cercle vicieux infernal : celui de l’éternel retour au front des soldats. Le format très grand donne l’impression d’être dans le décor. Dans le premier tableau les soldats sont de dos comme si le spectateur les suivait. Les couleurs dominantes sont le rouge, le

s’approprie-il un genre et un registre, le théâtre tragique, et un mythe, Phèdre ? Objectifs : - Caractéristiques de la Tragédie Classique : équilibre et parallélismes - La Tragédie au XXº siècle (lecture cursive) : La machine infernale, Cocteau - Du mythe à la tragédie antique et à Racine : le travail de l’écriture - les thèmes, le héros tragique : fatalité et tiraillement  - Caractéristiques d’un genre et d’un registre, le tragique. - Les figures de

monotone vous vous mettez à désirer autre chose, ou quelqu'un d'autre puis l’ennuie se réinstalle. Dom juan en est un exemple car il enchaîne conquete sur conquete sans s’attacher réellement car il n’arrive pas a subvenir a ses plaisirs. Ce cercle infernal menant de la souffrance du désir à l'ennui de la satisfaction jusqu'à la souffrance d'un nouveau désir indique que l'on ne peut désirer sans souffrir, mais que l'on souffre de ne pas désirer. b) Pour ma part , je pense qu’on ne peut desirer

jusqu'à Phébé, mère des bienfaisantes rosées (06). Toutefois, secouant le poids qui me courbe vers la terre, je dirai pourquoi un cercle noir se forme sur les contours défaillants de l'astre, pourquoi son front de neige se rougit d'une teinte de pourpre. Non, jamais, comme le croit le vulgaire (07), une magicienne hurlant dans les sombres profondeurs des cavernes infernales n'a arraché la Lune à sa demeure céleste ; non, la force d'un enchantement nocturne .... Jamais il ne fut nécessaire de la délivrer

il y a plus que un vivant que l'on observe au premier plan, en train de porter un blésé, sans doute entre la vie et la mort. A l'arrière plan, on observe, un feu infernale. Et enfin sur la quatrième panneau, la prédelle, on observe des soldats, qui sommeil, ou qui sont mort, on ne sais pas vraiment. On peux constater que c'est un cercle vicieux, car sur le premier panneau latéral il parte au front, sur le panneau central c'est la fin de la guerre, sur le second panneaux latéral il fuient le front

la prédelle : On peut apercevoir des corps allongés, est ce le repos ? Ou la mort ? Nul ne le sait La matin les soldats partent au combat, l'après-midi il reste que les ruines de la guerre et le soir il rentre au camp. Cela représente le cycle infernal de la guerre.   La couleur : Dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le rouge est

l’homme utilise bien volontiers. « Elle […] a établit dans l’homme une seconde nature » (fragment 41). La raison ne peut lutter, car l’homme n’en a pas la volonté. L’imagination est l’instrument de l’homme, l’imagination enferme l’homme dans un cercle infernal, car elle donne une illusion agréable et juste à celui qui en fait en preuve. L’imagination est vaine. Mais l’imagination est aussi un moyen pour l’homme de ne pas voir en face sa condition d’homme misérable. Moyen que l’homme ne contrôle pas