Le Cercle Infernal

en poussière... Et le voici qui repose sous pierre… Avec encore un peu de poussière sous le pied. Ha ! poussière, poussière que l'on retrouve parfois au fond des soupières… Allons assez rigolé… Ensemble si vous le voulez bien…Brisons ce cercle infernal. J'ai ce cornet, vous commencez à avoir les boules… Il est noir, il est vide, ça fait un bout de temps que je l'ai… Il me suffit d'un geste pour que tout cela cesse. Il essaie de souffler dans le petit cornet PFFF, c'est difficile, PFFF

regrets. La différence est donc claire :d'un coté animal rumine pour mettre fin à la digestion. De Tautre homme rumine dans la mesure ou il lui est impossible de digérer ce qu'il a ingéré. Ruminer devient alors pour la conscience une sorte de cercle infernal qui tourne sans cesse qui jamais ne s'arrête à la manière d'une roue diabolique qu'une main invisible s'emploierait à relancer. En ce sens la rumination est bien perpétuelle » au sens ou la conscience tel le prisonnier, serait condamnée à perpétuité

goût nous rend heureux, en effet on mange pour se donner du plaisir, donc pour cela il faut un produit qui en soit capable, qu'il donne cette sensation en bouche qui nous fera acheter à nouveau ce produit. On est donc manipulé, on est dans ce cercle infernal, une fois qu'on y a gouté, on ne peut plus s'en passer. Pour ce qui est du prix, c'est plutôt vicieux. En effet, ils se vantent en permanence de leurs bas-prix, des promotions faites, des réductions. Le client achetant un de ces produits est

donnait. J'ai voulu dire « l'enfer c'est les autres ». Mais « l'enfer c'est les autres » a été toujours mal compris. On a cru que je voulais dire par là que nos rapports avec les autres étaient toujours empoisonnés, que c'était toujours des rapports infernaux. Or, c'est tout autre chose que je veux dire. Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l'autre ne peut être que l'enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont, au fond, ce qu'il y a de plus important en nous-mêmes, pour

l’occasion me donnait. J’ai voulu dire : l’enfer c’est les autres. Mais "l’enfer c’est les autres" a été toujours mal compris. On a cru que je voulais dire que nos rapports avec les autres sont toujours empoisonnés, que c’était toujours des rapports infernaux. Or, c’est tout autre chose que je veux dire. Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l’autre ne peut être que l’enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont au fond ce qu’il y a de plus important en nous-mêmes pour

l'amour où chacun aime un autre qui ne l'aime pas » La structure d'Andromaque est celle d'une chaîne amoureuse à sens unique : Oreste aime Hermione, qui veut plaire à Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime son mari Hector qui est mort. C'est un cercle infernal. L'arrivée d'Oreste à la cour de Pyrrhus marque le déclenchement d'une réaction qui, de maille en maille, va faire exploser cette chaîne. L'amour et la haine : Ces deux thèmes sont profondément liés chez Racine. L'amour est passion, mais aussi

des profits * multiplication des postes de travail : tâches identiques et interchangeable : plusieurs équipes en chaîne continue : hausse de la productivité des équipements * conséquences macro-économiques : * mise en place du cercle vertueux de la croissance. Les gains de productivité permettent de rentrer dans une spirale fordiste : * hausse des salaires : consommation de masse * production à moindre coût : économies d’échelle et standardisation : production

Cesser de haïr : s’affranchir du désir instinctif de se venger, de punir, c’est renoncer à la vengeance. C’est une victoire sur la haine. Edgar Morin écrit «pardonner, c'est résister à la cruauté du monde», et plus loin il rajoute : «Renoncer au cycle infernal vengeance-punition est tout le problème de la civilisation». « Voulez-vous être heureux un instant ? Vengez-vous. Voulez-vous l’être toujours ? Pardonnez », disait Lacordaire. Quand nous subissons une offense grave, une agression

compagnon blessé, presque mort. Cet homme est en réalité un autoportrait d'Otto Dix, et c'est pour cette raison que c'est le seul personnage vivant du tableau dont on voit le visage, c'est le seul à avoir son humanité. L’arrière-plan présente un feu infernal. -Dans le panneau inférieur, que l'on appelle une prédelle, est représenté ce qui semble être un endroit où des soldats sont endormis. Cette prédelle fait penser au lieu où dorment les soldats, entassés les uns à côté des autres, dans un petit

Prosper Mérimée lui, met en scène Orso dans Colomba. C’est un personnage pris dans un conflit entre lui-même : en effet, Orso, est poussé par sa sœur à la vengeance de l’assassinat de leur père alors que sa raison lui dicte de ne pas entrer dans le cercle vicieux de la vendetta. Le conflit réside donc entre sa raison et les règles sociales de sa famille, entre sa culture traditionnelle et la culture qu’il a acquise sur le continent (Orso est revenu en Corse à la suite de la mort de son père. Il faisait