Le Cercle Vicieux De La Déflation

qu’auparavant. Un niveau trop élevé d’inflation est jugé négatif ou dangereux pour le pouvoir d’achat de certaines catégories sociales (ceux qui ne peuvent obtenir une bonne indexation de leurs revenus) et pour la croissance économique. Déflation La déflation peut être définie comme le contraire de l’inflation, à savoir une situation de baisse générale et durable des prix. Ce phénomène a pour particularité d’être généralement auto-entretenu, à l’instar de l’inflation, dans la mesure où là aussi

consommation est faible, l’investissement a dû s’adapter, il est alors difficile de relancer la croissance. La finance a accentué les choses ; un cercle vertueux était espéré, tout devait converger (taux d’intérêt et taux d’inflation) mais c’est un cercle vicieux s’est produit. Ce n’est pas la dette publique qui est le problème, c’est la contrepartie de la déflation des bilans privés ; une fois le privé aura retrouvé un niveau acceptable la dette publique diminuera aussi : Il faut s’occuper d’abord de

progressive et générale des prix DÉSINFLATION Temps LE COURANT KEYNÉSIEN o Déflation : l'entreprise vend à perte Prix DÉSINFLATION Seuil de rentabilité Temps Prix STAGFLATION inflation o Stagflation : addition de l'augmentation de l'inflation et de la baisse de la croissance. croissance Temps LE COURANT KEYNÉSIEN • Le procédé est simple. Il s'agit de substituer le cercle vicieux par le cercle vertueux. Crise économique politique des grands travaux création d'emplois

Chapitre d'équation 1 Section 1 Inflation, anticipations d’inflation et risques de déflation pour la zone euro Clemente De Lucia ’économie de la zone euro traverse une profonde récession. Au premier trimestre 2009, le PIB a reculé de 2,5% t/t, la pire performance jamais enregistrée, après s’être déjà contracté au cours des deux trimestres précédents. L’acquis de croissance pour 2009 s’inscrit déjà à -4%. Les résultats des enquêtes publiées font état de légers signes d’amélioration pour le deuxième

est donc tout à fait envisageable qu’une bonne partie des pertes actuelles se transforment en profits exceptionnels au cours des trimestres futurs, on a d’ailleurs pû le voir lors de l’annonce des chiffres du trimestre dernier, des banques. Un cercle vicieux s'est alors enclenché. Car une banque doit aussi respecter des règles de prudence (dites Bâle II) et s'assurer qu'elle détient un montant suffisant de capital au regard des sommes qu'elle prête aux ménages ou aux entreprises (fonds propres). Ainsi

l’inflation s’explique par un choc sur la demande ou sur l’offre 3 Document 3 : Les coûts économiques et sociaux de l’inflation et de la déflation Questions : 1) Définissez inflation, déflation, désinflation (Document 1) Inflation : hausse durable et cumulative du niveau général des prix. Désinflation : ralentissement de l’inflation. Déflation : baisse des prix et de la production. 2) Caractérisez l’évolution des prix en France depuis 1950 en distinguant les périodes inflationnistes

de la surveillance, des règles et des sanctions ou d’agression ouverte en donnant le moins possible et en se taillant la part du lion donnent naissance à une résistance sous-jacente des subordonnés menant à une plus grande hostilité, dans un cercle vicieux. Chez les subordonnés, cette hostilité se traduit par un manque notable de coopération avec le patron par méfiance et une affirmation d’indépendance sanctionnée par le leader en entraînant une aggravation de cette hostilité. Quand à son influence

lundi noir). Les événements de cette journée déclenchèrent une crise économique mondiale qui mena à une importante déflation et à un accroissement significatif du chômage. Le jeudi noir et ses conséquences directes La foule se presse devant la Bourse de New York après le krach Après le Jeudi noir le 24 octobre, aux États-Unis, l'un des problèmes principaux était qu'avec la déflation, une même somme d'argent permettait d'acquérir de plus en plus de biens au fur et à mesure de la chute des prix

économiques et sociales sont nombreuses et rapides. Le secteur financier est la première victime du krach : les faillites bancaires s’enchaînent. Victimes de la crise financière et de la surproduction, les industries sont également touchées. La déflation s’installe : les prix s’effondrent pour compenser le déficit des ventes (TBI). L’agriculture n’est pas épargnée (TBI). Pour faire face à la baisse des prix ont détruit ainsi des stocks agricoles. Le chômage augmente massivement à la suite des faillites

les réserves du secteur bancaire. Dans une perspective de lutte contre la crise et par conséquent, contre le manque de liquidités, le fait de mettre de l'argent en circulation s'avère être capital puisque cela permet de contourner une éventuelle déflation. L'augmentation des réserves du secteur bancaire, a quant à elle, pour but de pousser les banques à accorder à nouveaux des prêts pour relancer l'activité économique. Cette politique a donc permis d'éviter que la crise des subprimes devienne une