Le Cercle Vicieux De La Déflation

pendre Montague Norman" - gouverneur de la BoE - s'était-il exclamé alors... Ces politiques vont faire basculer les économies dans une crise de surendettement et de debt deflation. Cercle vicieux, décrit par I. Fisher en 1933, où la déflation aggrave l'endettement réel, et où les ventes à tout prix pour se désendetter aggravent la déflation. 2. Néanmoins, la guerre, l'après-première guerre mondiale, et la crise de 1929, circonstances exceptionnelles, vont engendrer un "effet de déplacement" dans les

faire sortir une économie d’une trappe à liquidités est l’inflation attendue qui dissuade les gens de thésauriser l’argent. Le rétablissement du Japon Vers 2003, le pays s’est rétabli (PIB supérieur à 2%, baisse du chômage et fléchissement de la déflation). Ce sont les exportations de biens manufacturés qui ont permis cette reprise, vers les USA (le Japon a profité de la croissance de la Chine car beaucoup de produits industriels chinois incorporent des composants fabriqués au Japon). Mais si la

|Keynes perçoit la gravité de la crise qui se manifeste|Demande anticipée |Nouvelle économie | | |et des salaires | |par la déflation, la baisse de la production et la |Economie de marché compatible avec une certaine |keynésienne : | | | | |montée du chômage : cela

spécialisation industrielle ou financière Possible pour les gouvernements, problématique pour les acteurs privés Médiocre car absence de légitimité vis-à-vis des citoyens Quel rapport avec les traités Européens ? Danger de fracture de la zone euro, de déflation et stagnation si application brutale 6. Vers un gouvernement économique de l’Euro Meilleure que dans les traités actuels pour autant que les coûts de coordination ne soient pas élevés Si possibilité d’endettement et taille suffisante du budget

l’on sait qu’entre 21-29 la production industrielle augmente de seulement 50 % et que la hausse annuelle des cours pendant la même période est de 18 %, soit une hausse totale de plus de 300 %. Autant dire que c’était une porte ouverte pour un cercle vicieux de spéculation qui comme le dit le texte, atteint son apogée lors des trois ans précédant la crise. Il est reste dans la mémoire collective l’histoire de cette jeune fille écrivant à un journal financier pour lui demander de l’aider à investir

QUINTON CH 2 : Comment expliquer l’instabilité de la croissance ? Notions du programme Notions complémentaires Fluctuations économiques, crise Cycle, choc économique, désinflation, d’offre, Choc de croissance potentielle, dépression, demande, cycle déflation. du crédit Acquis de première Inflation, politique monétaire, politique budgétaire, politique conjoncturelle, chômage, demande globale Rappels première : Inflation : Perte du pouvoir d'achat de la monnaie qui se traduit par une augmentation générale

économies, des risques liés à l’inflation ou encore une croissance économique jugée insuffisante. I Les déséquilibres monétaires 1.1 L’inflation : définition et mesure Doc 1 page 158 1°) Inflation est la hausse durable du niveau général des prix. Déflation  est la baisse du niveau général des prix. Désinflation est un ralentissement de l’inflation 2°) Un indice des prix qui reflète correctement l’évolution des prix est nécessaire : l’indice des prix sert à déterminer le pouvoir d’achat, a calculer

économie de sous emploie. L’idée étant de stimuler la consommation l’Etat a deux moyens d’actions, les dépenses et la fiscalité. Politique contra-cyclique, qui veut contrecarrer la tendance. Dans le cadre d’une insuffisance de la demande, cercle vicieux de la déflation, politique keynesienne, tente de relancer la demande Par les dépenses : En mettant en place des politiques de grands travaux, en augmentant les traitements des fonctionnaires ou en augmentant les effectifs des fonctionnaires, l’Etat

toile de fond la période qui va du krach de 1929 aux États-Unis jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, à savoir la période de la crise des années 30. Ce fut la plus importante dépression économique du siècle dernier, qui s'accompagna d'une importante déflation et d'une explosion du chômage. Cette crise déstabilisa tout le monde occidental, l’Europe risquait de sombrer dans les mouvements totalitaristes, le capitalisme même était en péril. C’est donc dans ce contexte qu’il faut situer ce débat initié,

augmenter leur production. A partir de ce moment, l’enchaînement des conséquences de la relance de la demande est le même que si c’était l’Etat qui la relancer. Ici, l’Etat passe par le multiplicateur de dépenses. Dans ces deux cas, nous entrons dans un cercle vertueux. Cette théorie est celle de Keynes qui préconise donc la hausse des dépenses publiques afin que la demande gonfle et qu’elle permette le plein emploi dû à la hausse de la production. L’autre alternative pour le gouvernement est de choisir