Le Champ Lexical De Mort

univers sordide appuyé par la personnification de la famine qui devient un personnage symbolique: «  Gervaise souffrait encore des faims qu’elle entendait râler autour d’elle » (l.1-2), « La faim ne le faisait même plus sortir » (l. 11-12). Le champ lexical de la faim est très présent dans le texte : «  faim » (l.1), « ne pas avoir du pain tout les jours » (l. 3), « odeurs de cuisine » (l.4), « ventre vide » (l.5), « mioches affamés » (l.6), « des familles qui se mangeait pour tromper leur estomac »

attends la mort. Tout d’abord nous étudierons les différents procédés narratifs utilisés puis la façon dont le narrateur nous décrit l’atmosphère dans laquelle il évolue et enfin la description de Kyo à travers les pensées de celui-ci. I-Procédés narratifs * Caractéristiques stylistiques : Champ lexical de la mort qui rythme le texte : « morts », « cadavres », « funèbre »…. Répétitions nombreuse : « qu’il est beau de mourir de sa mort, d’une mort […] » Antithèse : « d’une mort qui ressemble

annoncer la mort de Thésée à sa femme Phèdre. Oenone pousse donc Phèdre à déclarer sa flamme à Hippolyte. Ici, C’est la déclaration d’amour de Phèdre à Hippolyte. En quoi l’audace de Phèdre la rend-elle pathétique ? I/La déclaration d’amour a. Aveu arraché Interjection « ah !cruel » « Eh bien ! » Elle coupe la parole v.670 Hippolyte « et je vais … » Coupures inégales = v.672 déstructuré = Phèdre ne se maîtrise plus b. La cause du trouble Champ lexical de l’amour associé au champ lexical de la maladie

figures d’opposition = antithèses, d’amplification, d’insistance- champ lexical du destin, de l’impuissance, de la souffrance, de la faute, de la mort. | LYRIQUE | Définition : expression des états d’âme et des émotions= joie + douleur de l’amour, désespoir, mélancolie, plainte, mélancolie, regret...Genres auquel il appartient= poésie, roman, théâtre.[+ ÉLÉGIAQUE= texte lyrique qui exprime la mélancolie- thème= malheur en amour ou mort.]But : faire partager au lecteur ses sentiments | Forte présence

univers assez noir avec la mort, la vieillesse, le temps qui passe vite… qui est très présent dans certaines descriptions. Avec, comme on peut le constater un champ lexical de la vieillesse dans l'extrait d'Un barrage contre le Pacifique aux lignes 18-23 : " le cheval était trop vieux, bien que plus vieux que la mère pour ce cheval (…) puis il creva ". Ici, la vieillesse à emporté le cheval ce qui est en relation avec la mort car après la vieillesse arrive toujours la mort. Egalement dans l'extrait

temps est assimilé à un vampire, symbolisant la mort el la destruction. En effet, la comparaison entre le temps et un vampire qui se nourrit de la vie du poète et de la vie en général est renforcée par l’emploi du champ lexical de la nourriture: « Le Temps mange la vie » (vers 12) ; « aliment » ( vers 11) et « ronge » (vers 13). De plus, la notion que le temps se fortifie en prenant la vie d’autrui est renforcée à travers l’emploi du champs lexicale de la vitalité et de la force : « vigueur » ;

Nicolas Boileau rédige en 1660 ses Satires, recueil poétique destiné à critiquer la société qui l'entoure. Dans l'un des poèmes, l'auteur s'intéresse aux « embarras de Paris » et se moque de la vie parisienne qu'il connaît bien puisqu'il est né et mort dans la capitale. On repère trois mouvements dans ce texte : il est d'abord question, jusqu'au vers 14, des nuisances sonores qui agacent le poète ; jusqu'au vers 30, il relate sa confrontation avec une ville dangereuse avant de mentionner un accident

en seconde partie nous étudierons les sentiments que cela à provoquer chez le poète et comment celui ci nous racontera se désastre. Après avoir analysé ce poème nous pouvons remarquer avec quelle force le poète décrit la scène, il utilise le champ lexical de l’effroi pour dénoncer le mal qu'endurent le narrateur mais également la peur du poète lui-même : « j'ai peur », « je n'ose pas »,  « je n'ose plus », « tête épouvantée », « on écoute en frissonnant ». Ici l’auteur utilise une gradation à travers

d’abord, nous voyons dans le champ lexical du texte montre la dangerosité de la nuit. On observe la répétition de mots dangereux du soir comme « criminel » (v. 1), « complice » (v.2 et 24), « bête fauve » (v.4), « démons malsains » (v.11), « la Prostitution » (v.15) , « l’ennemis » (v.18), « catins et d’escrocs » (v.24) et « voleurs » (v.15) mais aussi de l’animalité « pas de loups » (v.2), « un ver » (v.20), « glapir » (v.22) et « rugissement » (v.30). Ce champ lexical montre la dangerosité mais aussi

d’Arthur Rimbaud, qu’il écrit en octobre 1870 alors qu’il avait a peine 16 ans, lors de guerre franco-prussienne. L’auteur témoigne de sa révolte contre la guerre puisque lors d'une fugue, il traversa un champ de bataille jonché de cadavres. Dans ce poème l’auteur parle avant tout le la guerre, la mort tout en introduisant des éléments idyllique, dans un cadre champêtre. Après avoir montré comment le poète nous dépeint la nature puis l'homme, nous verrons l'interaction réunissant les aspects