Le Champ Lexical Du Massacre

Commentaire de texte Louis-Ferdinand Céline, auteur né en 1894 et mort en 1961, est l’un des plus écrivains les plus traduits et diffusés dans le monde. À la suite de sa rencontre, en 1926, avec la danseuse américaine Elizabeth Craig, Céline écrit son premier roman en 1932 : Voyage au bout de la nuit . Ce dernier lui vaudra le prix Renaudot. Le roman débute lorsque, après avoir vu défilé un cortège militaire, Ferdinand Bardamu, un étudiant en médecine décide

sensible à travers l'évocation du massacre de ses proches : ceux qui « savaient [son nom] sont morts autour de lui ». On comprend également que l'exil qu'il subit est un arrachement insupportable, par l'obstination avec laquelle il fixe l'horizon de son pays qui s'éloigne inexorablement, mais aussi par des signes tels que sa valise, dont le contenu dérisoire laisse deviner une fuite précipitée, et, bien sûr, sa petite-fille de six semaines, probable rescapée du massacre, qu'il emmène dans son exil. Monsieur

vendeuse. IV A partir d'un passage, montrer le style de l'auteur « A l'intérieur, sous le flamboiement des becs de gaz, qui, brûlant dans le crépuscule, avaient éclairé les secousses suprêmes de la vente, c'était comme un champ de bataille encore chaud du massacre des tissus. Les vendeurs, harassés de fatigue, campaient parmi la débâcle de leurs casiers et de leurs comptoirs, que paraissait avoir saccagés le souffle furieux d'un ouragan. On longeait avec peine les galeries du rez-de-chaussée

et il commence à dénoncer les infâmes atrocités que les enfants subissent. Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellementDans la même prison le même mouvement. Lors du vers 5 et 6 , on retrouve le champ lexical du temps : « Quinze heure ; de l’aube au soir ; éternellement » Hugo insiste énormément sur la longue durée du temps de travail des enfants. Déjà que les enfants ne devrait pas travailler mais là ils travaillent à ne plus en vivre sans arrêt.

départ, Von Papen veut s’attirer la sympathie du lectorat pour mieux le manipuler et le rallier à sa thèse : il tente de nous émouvoir en se présentant comme la solution à (je cite) « l’inquiétude croissante du peuple » (l.7). Il utilise un champ lexical particulier qui doit toucher le lecteur : « inquiétude » (l.7), « les choses vont très mal » (l.4), « catastrophe » (l.57), « problème social » (l.46). Il nous parle également d’un instant qui semble l’avoir particulièrement ému dans son existence

 » l.4. La différence de ce texte est qu’il n’y a pas de conflits directs entre deux personnages, ici on voit le conflit entre la raison et l’amour, la jalousie d’un personnage. Sa colère est omniprésente par la présence de mots appartenant au champ lexical de la violence comme « venger »l.14 et de la colère « mon courroux » l.15. On a ainsi une forte évocation du meurtre mais aussi un registre pathétique dû à la future perte de son amant : « mes larmes » l.10. Au début comme à la fin Hermione se

trouve refuge au Luxembourg où il achève ce recueil « L'année terrible ». L'insurrection de Paris, la prise de Paris et l'assassinat de généraux marque aussi les esprits de Victor Hugo qui trouve cela scandaleux et qui considère cela comme des massacres durant les guerres civil de la 2eme république. On peut le rapprocher son accusation d'incendie de l'incendie de la bibliothèque des tuileries qui brule lors de l'incendie qui ravagea le palais des tuileries en 1871. Victor HUGO : Hugo (1802-1885)

jamais vu l’animal pour lequel ils s’égorgent »(l.30-32). Le lexique péjoratif qui qualifie les chefs de guerre renforce leur comportement odieux : « ces barbares sédentaires qui, du fond de leur cabinet, ordonnent, dans le temps de leur digestion, le massacre d’un million d’hommes »(l.43-46). Eux-mêmes, en effet, ne s’exposent pas à la mort, et vivent dans le confort et dans l’abondance tandis qu’ils y envoient leurs sujets. À cette culpabilité des rois, de leurs ministres et de leurs généraux, Voltaire

la France. Cette expression exprime un certain défaitisme pour l’avenir de la France. On ressent ici une profonde solitude de l’auteur, ce qui se répète tout au long de cette première partie. L’expression de la tristesse « religieuse » fait écho au champ sémantique de ce passage ou l’église est omniprésente « l’abbaye »(l.3), « l’église »(l.6), « cloître »(l.6), « l’antique abbatial » (l.7), « prière » (l.8), « caveau » (l.8) et « religieuse » (l.11). Dans la suite de ce passage, Chateaubriand se «

de Saint-Germain l’Auxerrois, l’église du Louvre, se met-elle à sonner ? (0,5 pt) 14) A plusieurs reprises, des personnages crient « Vive la messe ! ». Expliquez pourquoi. (1 pt) 15) Dans le chapitre 9, relevez six termes qui appartiennent au champ lexical de l’horreur et de l’atrocité. (1,5 pt) 16) Quelles espérances laisse aux trois jeunes frères la vieille femme de la librairie dont l’enseigne est la tête d’Erasme ? (1 pt) 17) « Quelles étaient les intentions du Vidame ? Quel était le but de cet